Petit et Grand écran (ciné, télé, dvd...)
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- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Chernobyl Diaries: Le début est vraiment sympa, les 20 dernières minutes laisse par contre à désirer et le final est bidon mais il y avait de l'idée.
La première partie du film pourrait clairement faire une bonne base pour un scénar de JDR post-apo du genre de 7 jours de paix
La première partie du film pourrait clairement faire une bonne base pour un scénar de JDR post-apo du genre de 7 jours de paix
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Pour les amateurs de fantastique, la deuxième édition du PIFFF (Paris International Fantastic Film Festival) aura lieu du 16 au 25 novembre 2012 au Gaumont Opéra.
Quelques titres du programme ont été dévoilés, et y a déjà des trucs qui font envie : Silent Hill Revelation 3D de Michael J. Bassett (Wilderness, Solomon Kane) ; l'anthologie V/H/S ; The Flying Swords of Dragon Gate de Tsui Hark (The Blade, Il était une fois en Chine...) ; John Dies at the End the Don Coscarelli (Phantasm, Bubba Ho-Tep)... ... ... + une nuit Clive Barker avec la projection du director's cut inédit de Cabal !
Quelques titres du programme ont été dévoilés, et y a déjà des trucs qui font envie : Silent Hill Revelation 3D de Michael J. Bassett (Wilderness, Solomon Kane) ; l'anthologie V/H/S ; The Flying Swords of Dragon Gate de Tsui Hark (The Blade, Il était une fois en Chine...) ; John Dies at the End the Don Coscarelli (Phantasm, Bubba Ho-Tep)... ... ... + une nuit Clive Barker avec la projection du director's cut inédit de Cabal !
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
ça c'est un film pour Tony :
http://www.youtube.com/watch?v=0tFaQYSFLuE
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je l'ai déjà DL mais j'ai aps encore osé le regarder car c'est produit par The Asylum un studio super honteux qui sorte des films petit budgets en même tps que de vrai films à gros budget. Celui là c'est pour Lincoln chasseur de vampires.
Mon préféré étant Transmorpher (écrit avec la police de Transformers bien sûr) qui mélange les scénar de terminator et transformer !
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Moi j'ai même pas osé le DL car j'me suis trop tapé de bouses ces derniers temps, tu me dira ce que ça vaut ^^
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
je viens de remettre les mains sur les chroniques de la guerre de lodoss et bien c est parti pour un matage intensif
en exil dans l aisne depuis longtemp
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Week-end cinéma avec les 2 premiers films de la trilogie Musashi, très bon films où on suit bien l'évolution du héros.
Abraham Lincoln chasseur de Vampire et Abraham Lincoln VS Zombies perso je ne sais pas lequel des 2 films était le pire, d'un coté un blockbuster hollywoodien, de l'autre une sous production avec des mecs ayant des fausses barbes grillées a 3 kilomètres et un jeu d'acteur magnifique... A rater si possible
Mon pire cauchemar, je m'attendais a un film assez lourd et au final c'est plutôt pas mal, avec des perso intéressants et une histoire sympa.
Abraham Lincoln chasseur de Vampire et Abraham Lincoln VS Zombies perso je ne sais pas lequel des 2 films était le pire, d'un coté un blockbuster hollywoodien, de l'autre une sous production avec des mecs ayant des fausses barbes grillées a 3 kilomètres et un jeu d'acteur magnifique... A rater si possible
Mon pire cauchemar, je m'attendais a un film assez lourd et au final c'est plutôt pas mal, avec des perso intéressants et une histoire sympa.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
desba a écrit :Week-end cinéma avec les 2 premiers films de la trilogie
Abraham Lincoln chasseur de Vampire et Abraham Lincoln VS Zombies perso je ne sais pas lequel des 2 films était le pire, d'un coté un blockbuster hollywoodien, de l'autre une sous production avec des mecs ayant des fausses barbes grillées a 3 kilomètres et un jeu d'acteur magnifique... A rater si possible
Tu es courageux d'avoir mater les 2 d'affilés
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
J'ai surtout faillit m'endormir devant le premier et j'aurai voulu m'endormir devant le second ^^
C'était du grand cinéma, presque aussi grand que du Prometheus ou du Sanctum :p
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Épisode 2 de la troisième saison de Walking Dead... un des pire épisode de la série avec surtout la scène du nettoyage d'un block de la prison avec les prisonniers trouvés et la course poursuite Benny Hill entre rick et l'un des prisonnier dans des bâtiments où se trouvent encore des zombies.
La disparition de tous les zombies entre l'épisode 1 et 2 est aussi très drôle car ils se réfugient dans une pièce poursuivit pas des dizaines de zombies a la fin de l'épisode 1 et seulement 2/3 sont là au début de l'épisode 2.
Et dire qu'il doit y avoir 16 épisodes... va encore y avoir masse de remplissage
La disparition de tous les zombies entre l'épisode 1 et 2 est aussi très drôle car ils se réfugient dans une pièce poursuivit pas des dizaines de zombies a la fin de l'épisode 1 et seulement 2/3 sont là au début de l'épisode 2.
Et dire qu'il doit y avoir 16 épisodes... va encore y avoir masse de remplissage
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
j'ai kiffé la scène où le "méchant" ouvre les 2 battants de la porte en même temps et tout le monde tape sur les zombies. Il ne manquait plus qu'une petite musique jazz et on se serait cru dans la scène de shawn of the dead où ils tabassent un zombie en musique (le beau-père du héros de mémoire) devant la maison ^^desba a écrit :Épisode 2 de la troisième saison de Walking Dead... un des pire épisode de la série avec surtout la scène du nettoyage d'un block de la prison avec les prisonniers trouvés et la course poursuite Benny Hill entre rick et l'un des prisonnier dans des bâtiments où se trouvent encore des zombies.
La disparition de tous les zombies entre l'épisode 1 et 2 est aussi très drôle car ils se réfugient dans une pièce poursuivit pas des dizaines de zombies a la fin de l'épisode 1 et seulement 2/3 sont là au début de l'épisode 2.
Et dire qu'il doit y avoir 16 épisodes... va encore y avoir masse de remplissage
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je vois que je ne suis pas le seul à être déçu par la saison 3. On se ballade d'incohérence en trou de scénario, là. Y'a pas que les zombies qui se téléportent (et encore, je te trouve gentil de ne parler que des zombies qui dépop d'un épisode à l'autre, ils se téléportent pas mal pendant les épisodes aussi).
Non, ce qui me choque le plus, c'est l'absurdité des décisions du groupe. Ils sont, mieux que personne, conscients que l'humanité est en voie d'extinction, et ils condamnent à mort les gens qu'ils rencontrent. Dans la saison 2, tout le procès du gamin qu'ils ont ramassé est incompréhensible: le gars est abandonné par ses potes, et les personnages principaux lui sauvent la vie et le soignent... Pour ensuite le torturer (les informations obtenues par son interrogatoire ne seront JAMAIS utilisées dans le scénar) et décider de le condamner à mort, juste au cas où il essaierait de rejoindre les mecs qui l'ont abandonné, en traversant la forêt sur sa jambe boîteuse. A moins d'être paranoïaque, je ne vois pas comment on peut trouver cette décision logique.
Pareil avec les prisonniers miraculeusement survivants des sous-sols de la prison: ils devraient tomber à genou devant les SEULS autres êtres humains qu'ils rencontrent depuis presque un an, qui leur disent que la civilisation, terminé-au-revoir-n'y-pensez-même-plus-les-gars-y'a-plus-que-nous... Et ces derniers survivants décident de... S'entretuer. Ok les gars, c'est super. A la limite, qu'un des prisonniers soit à moitié malade mental et veuille tuer un membre du groupe, ça passe. Mais là, tout le scénario donne raison au héros d'exécuter les prisonniers ou de les isoler s'ils supplient assez fort, par principe de précaution. C'est juste fou...
Non, ce qui me choque le plus, c'est l'absurdité des décisions du groupe. Ils sont, mieux que personne, conscients que l'humanité est en voie d'extinction, et ils condamnent à mort les gens qu'ils rencontrent. Dans la saison 2, tout le procès du gamin qu'ils ont ramassé est incompréhensible: le gars est abandonné par ses potes, et les personnages principaux lui sauvent la vie et le soignent... Pour ensuite le torturer (les informations obtenues par son interrogatoire ne seront JAMAIS utilisées dans le scénar) et décider de le condamner à mort, juste au cas où il essaierait de rejoindre les mecs qui l'ont abandonné, en traversant la forêt sur sa jambe boîteuse. A moins d'être paranoïaque, je ne vois pas comment on peut trouver cette décision logique.
Pareil avec les prisonniers miraculeusement survivants des sous-sols de la prison: ils devraient tomber à genou devant les SEULS autres êtres humains qu'ils rencontrent depuis presque un an, qui leur disent que la civilisation, terminé-au-revoir-n'y-pensez-même-plus-les-gars-y'a-plus-que-nous... Et ces derniers survivants décident de... S'entretuer. Ok les gars, c'est super. A la limite, qu'un des prisonniers soit à moitié malade mental et veuille tuer un membre du groupe, ça passe. Mais là, tout le scénario donne raison au héros d'exécuter les prisonniers ou de les isoler s'ils supplient assez fort, par principe de précaution. C'est juste fou...
Modifié en dernier par Drahe le 23 oct. 2012, 19:56, modifié 1 fois.
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je me souviens surtout de cette scène là qui est en musique:Tony bernouilli a écrit :j'ai kiffé la scène où le "méchant" ouvre les 2 battants de la porte en même temps et tout le monde tape sur les zombies. Il ne manquait plus qu'une petite musique jazz et on se serait cru dans la scène de shawn of the dead où ils tabassent un zombie en musique (le beau-père du héros de mémoire) devant la maison ^^
http://www.youtube.com/watch?v=T8QKrhQLHNU
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@Drahe: J't'ai dis, lis la BD, au moins jusqu'à la fin de la prison, fait abstraction des dessins vu que tu ne les apprécie pas particulièrement et ensuite tu nous dira si pour toi la série est toujours la meilleur des 2 adaptations.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Déjà, le tome 2 du comic s'ouvre sur un retour sur Shane, ça donne envie.desba a écrit :@Drahe: J't'ai dis, lis la BD, au moins jusqu'à la fin de la prison, fait abstraction des dessins vu que tu ne les apprécie pas particulièrement et ensuite tu nous dira si pour toi la série est toujours la meilleur des 2 adaptations.
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Le comic est une tuerie mais la série apparemment est critiquée par les fans.
Je recommande vivement le premier car il est sans pitié
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Disons que la série se veux relativement tous publiques (enfin au dessus de 16 ans quoi) alors que la BD se permet d'être beaucoup plus trash et crue et est de par le fait moins lisse et moins politiquement correct et donc beaucoup plus intéressante.P.A. a écrit :Le comic est une tuerie mais la série apparemment est critiquée par les fans.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
News qui envoie du lourd : Disney vient de racheter LucasFilm et ses filiales (ILM, LucasArts...) à George Lucas. Un nouveau film est d'ores et déjà prévu pour 2015.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Une nouvelle trilogie de prévu par disney mais bon ça risque de sentir l’appât commercial à plein nez.
Star Wars épisode 7 avec des gunwok une nouvelle race mixte entre les gungans et les ewoks ça va le faire... ou pas.
En tout cas je suis étonné que disney n'ait pas déjà annoncé un reboot de la franchise, enfin bon ça va venir d'ici quelques années.
Et 4 milliards de dollars pour Lucas dans l'affaire.
Quand la passion, de l'argent, domine le monde...
Star Wars épisode 7 avec des gunwok une nouvelle race mixte entre les gungans et les ewoks ça va le faire... ou pas.
En tout cas je suis étonné que disney n'ait pas déjà annoncé un reboot de la franchise, enfin bon ça va venir d'ici quelques années.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
ça aura de la gueule, ou pas...
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je trouve tout les "fans" injuste avec cette annonce. J'ai l'impression que c'est symptomatique d'ailleurs, à chaque annonce de Star Wars, tout le monde monte au créneau pour crier au scandale.
Je pense très honnêtement que ça peut donner un bon truc parce que:
1 - les partenariats Lucas/Disney ne datent pas de la veille, tout le monde avait été sur le cul à la sortie de l'attraction Star Tours dans les parcs Disney. Et il faut se rappeler que Monkey Island, produit par LucasArt, est calqué sur une attraction Disney (et a très largement inspiré Pirate des Caraïbes par la suite, dont les deux premiers opus étaient bons)
2 - Marvel et Pixar ont également été racheté par Disney, qui a notamment mis la main à la pâte pour The Avengers, que beaucoup considère comme l'un des meilleurs film de la lignée, et la firme à même réussis l'exploit de donner un reboot digne de ce nom à Spider Man. De plus, je n'ai pas souvenir que Disney est matraqué une licence...
3 - George Lucas ne trempais déjà plus dans la réalisation de Star Wars depuis une année
4 - Il a toujours clairement annoncé que Star Wars serait constitué de trois trilogies
5 - Lucas restera comme consultant pour le film
6 - Lucas, qui a créé toute la cosmogonie de Star Wars, n'a jamais vraiment été un bon réalisateur ni un bon dialoguiste. La preuve: L'épisode que tout le monde préfère (ou du moins en grande majorité) est L'Empire Contre-Attaque, qu'il n'a pas réalisé. Et tout les dialogues marquants sont en général des improvisations des acteurs.
Pour finir, même si c'est du fan service, je pense vraiment qu'ils moyens de faire un truc bien. Le nom du réalisateur n'a pas encore été annoncé, et le film n'est même pas en phase d'écriture, autant attendre et voir ce que ça donne au lieu de râler gratuitement.
Je pense très honnêtement que ça peut donner un bon truc parce que:
1 - les partenariats Lucas/Disney ne datent pas de la veille, tout le monde avait été sur le cul à la sortie de l'attraction Star Tours dans les parcs Disney. Et il faut se rappeler que Monkey Island, produit par LucasArt, est calqué sur une attraction Disney (et a très largement inspiré Pirate des Caraïbes par la suite, dont les deux premiers opus étaient bons)
2 - Marvel et Pixar ont également été racheté par Disney, qui a notamment mis la main à la pâte pour The Avengers, que beaucoup considère comme l'un des meilleurs film de la lignée, et la firme à même réussis l'exploit de donner un reboot digne de ce nom à Spider Man. De plus, je n'ai pas souvenir que Disney est matraqué une licence...
3 - George Lucas ne trempais déjà plus dans la réalisation de Star Wars depuis une année
4 - Il a toujours clairement annoncé que Star Wars serait constitué de trois trilogies
5 - Lucas restera comme consultant pour le film
6 - Lucas, qui a créé toute la cosmogonie de Star Wars, n'a jamais vraiment été un bon réalisateur ni un bon dialoguiste. La preuve: L'épisode que tout le monde préfère (ou du moins en grande majorité) est L'Empire Contre-Attaque, qu'il n'a pas réalisé. Et tout les dialogues marquants sont en général des improvisations des acteurs.
Pour finir, même si c'est du fan service, je pense vraiment qu'ils moyens de faire un truc bien. Le nom du réalisateur n'a pas encore été annoncé, et le film n'est même pas en phase d'écriture, autant attendre et voir ce que ça donne au lieu de râler gratuitement.
"Diplomatie 15%"
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Monsieur Mike, sachez que ces fans râlent pour la bonne et simple raison que... bon !
Ensuite sachez que... Voilà !
Ne trouvez-vous pas que cela se justifie amplement?
Non mais t'as raison on gueule sans savoir mais c'est juste une crainte que ça devienne largement n'importe quoi.
Il est clair que pour le moment on ne peux qu’affabuler sur ce que ça donnera mais vu la dernière trilogie en date il est normal que la prudence, voir le pessimisme, règne un peu.
Donc oui, on verra ce que ça donnera en 2015 mais perso je n'attends rien de bien glorieux, au moins si c'est bien je serai agréablement surprit et si c'est pourri je pourrai faire mon vieux con et dire, "Ba, j'l'avais dis! c'était mieux avant!"
Ensuite sachez que... Voilà !
Ne trouvez-vous pas que cela se justifie amplement?
Non mais t'as raison on gueule sans savoir mais c'est juste une crainte que ça devienne largement n'importe quoi.
Il est clair que pour le moment on ne peux qu’affabuler sur ce que ça donnera mais vu la dernière trilogie en date il est normal que la prudence, voir le pessimisme, règne un peu.
Donc oui, on verra ce que ça donnera en 2015 mais perso je n'attends rien de bien glorieux, au moins si c'est bien je serai agréablement surprit et si c'est pourri je pourrai faire mon vieux con et dire, "Ba, j'l'avais dis! c'était mieux avant!"
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- Djez
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
+1desba a écrit :"Ba, j'l'avais dis! c'était mieux avant!"
Y a rien d'autre à ajouter.
Djez en 3 jeux...
Un jeu de rôle : BLACKSAD
Un jeu de société : FLOTILLA
Un jeu vidéo : INDIANA JONES & THE FATE OF ATLANTIS
VISITEZ CHEZ DJEZ !
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Un jeu de société : FLOTILLA
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Evelyne Thomas power!Djez a écrit :+1desba a écrit :"Ba, j'l'avais dis! c'était mieux avant!"
Y a rien d'autre à ajouter.
Pour les quelques films que j'ai vu récemment au cinéma:
Paperboy:
Un film assez noir et déjanté qui prend pour cadre la Floride, fin des années 60. Entre le racisme du sud, la chaleur torride de l'été, la beauté blonde d'une héroïne post-hippie bien allumée, les vapeurs glauques des everglades...
Un film bien écrit, mais qui comporte parfois plus de sexe que de lisibilité, et qui s'assimile plus au drame familial qu'au regard politique ou moral sur la société. A voir pour son érotisme diffus, et sa perversité.
---- LE SPOIL, C'EST LA VIE! ----
Looper:
Un film de science-fiction avec Brice Willousse, ou comment les vieux cons les mieux payés d'Hollywood sont capables de saboter un film moderne en réclamant leurs scènes d'action à la testostérone, façon années 80 (on pourrait appeler ça le "syndrome de Stalone").
Comme d'habitude avec les block-busters, on voit la fin arriver dans les 15 premières minutes, l'intrigue est truffée d'incohérences multiples, les personnages sont clichés, toutes les scènes sont téléphonées, etc...
Un héros sans charisme est payé en 2040 pour abattre et faire disparaître le corps de témoins gênants pour la mafia de 2070, qui renvoie ces personnes dans le passés grâce à une machine à voyager dans le temps tellement illégale que seule la mafia en possède (et pas du tout l'armée, ni des méga-corpo, non non, juste la mafia...)
Je retiens des passages cultes tels que Brice Willousse: "Ne parle pas de voyages dans le temps, putain, sinon on y passera toute la journée, ça n'a pas d'importance!" Ok... Dans la science-fiction, les paradoxes temporels n'ont évidemment ni importance ni intérêt, ce qui compte que c'est Brice Willousse montre qu'il en a une grosse paire. Ou encore: "Ah, au fait, dans les années 2010, 10% de la population a développé une mutation télékinétique, mais ça sert juste à déplacer des trucs légers, donc ça sert à rien et c'est ringard." Oui, tout à fait, les mutations à base de pouvoir psychiques sont totalement useless à leur naissance. Attention, ça ne veut pas dire que le seul personnage enfant du film sera un mutant 2e génération surpuissant destiné à être le grand méchant du futur, pas du tout. Oubliez cette information, gentil spectateur. Pour finir le tout, une fois que Brice Willousse a brisé la boucle temporelle qui l'enchainait à son destin, le monde est sauvé, et on ne saura jamais comment ce putain de gosse de 10 ans est devenu le Ben-Landen / Magneto du futur. Bah non, ça n'avait aucun intérêt d'expliquer l'histoire du méchant charismatique, tout le monde s'en fout en fait.
Bref, une fois qu'on s'est enfoncé du pop-corn dans les narines pour faire remonter les effluves de caramel au cerveau et se liquéfier les neurones, il est possible d'écrire des conneries comme:
Le Parisien (5 étoiles sur 5): "Rian Johnson (...) réussit un thriller d'anticipation diablement efficace, porté par un suspense de tous les instants, un casting impeccable et des effets spéciaux à dose homéopathique." Si c'est une allusion au placebo qui remplace le scénar, je suis d'accord.
Première (4 étoiles sur 5): "(...) un film absolument inattendu qui ne cesse de prendre de la hauteur jusqu'à un final vertigineux. " Vu que le film n'a pas de chute, il ne reste effectivement que le vertige de la nullité.
Les Fiches du Cinéma (4 étoiles sur 5): "Rian Johnson construit avec rigueur et intelligence un toboggan narratif où le temps fait des boucles, et sur lequel on se laisse aisément glisser."
Les Inrockuptibles (5 étoiles sur 5): "Un coup de maître époustouflant."
Elle (5 étoiles sur 5): "Looper s'impose comme un nouveau mastodonte de la science-fiction." Belle allusion au côté dinosaure de Brice...
Skyfall:
Bon, bon, je n'ai jamais aimé James Bond. Je le vomis, je le méprise, je le conchie... Voilà, j'assume mon manque total d'objectivité (si tant est que la notion ait un sens quand on parle de jugement de goût).
Mais depuis Casino Royal, j'ai repris espoir. James Bond commence à jouer dans des films dont le scénario n'imite pas le rythme d'un conte de fées, avec intervention d'éléments inexplicables et spectaculaires toutes les 2mins30 pour ne pas lasser les enfants. Franchement, c'est pas mal. James Bond est devenu blonde... Bon, pourquoi pas, l'acteur a insufflé au personnage un côté froid et blasé qui rend l'agent secret en fin de carrière plus réaliste.
La production a dû se dire que le succès des trois derniers films était seulement dû à la couleur de cheveux, car...
Javier Bardem... En blonde?
Sérieusement? On parle bien du mec qui a réussit à tenir son rôle de ménage à trois entre Penélope Cruz et Scarlett Johansson dans Vicky, Christina, Barcelona...
Puis à incarner un psychopathe glaçant dans No country for old man.
Javier Bardem, l'espagnol tout en poils et en muscles, avec un fin sourire amusé aux lèvres... Bref, la virilité méditerranéenne!
Mais en blonde.
Ok...
Je suis convaincu que lorsqu'un acteur parait "bon" ou "mauvais" à l'écran, la qualité de son apparition dépend souvent plus de l'équipe technique (de la maquilleuse au monteur en passant par l'éclairagiste et la costumière) qui l'enfonce ou le rattrape, que de son propre jeu d'acteur.
Donc, on a beau prendre un bon acteur... Si on lui refile une teinture ridicule, on balafre son charisme, c'est tout
Le film en lui-même est plutôt bien foutu pour un James Bond. On y voit ce que veut voir le spectateur popcornophage: flingues, bagnoles, filles sexy, héros qui triomphe à la fin.
Par contre, il y a quelque chose qui fait sérieusement tiquer dans l'intrigue.
Pas une des incohérences du scénario, on ne va pas faire un procès de cohérence à un 007, ce serait facile et gratuit.
Non, pire que ça, il s'agit du thème majeur qui a supporté tous les James Bond: le sexe. Et dans Skyfall, ça déconne sérieusement. On est passé de l'érotisme publicitaire à une brochure de vulgarisation sur le complexe d'Oedipe.
Malgré une dragouille franchement plate (qui se voudrait piquante, raté), avec la fille qui a failli le tuer, James Bond est principalement amoureux de sa maman Judi Dench. Il se pose quelques questions sur l'homosexualité en jouant à touche-pipi avec son frère Javier Bardem le blondinet. La soi-disant James Bond girl de l'opus est aussi inutile qu'hystérique: il ne cherche pas à la séduire, il se la tape froidement dans une scène tellement inoubliable d'érotisme que je suis sorti persuadé qu'il ne l'avait pas touchée, et elle crève bêtement, tuée par Javier Bardem pendant une partie de "jouons à Guillaume Tell avec du cognac et des pistolets à poudre."
Finalement, une fois Berenice Marlohe rayée du scénario dans lequel elle se trouvait par hasard, nos deux frères ennemis se battent pour retrouver l'amour de maman frigide. Mais cette dernière a curieusement été blessée à mort, lorsque Javier la Blonde a lancé un commando de 20 mercenaires suréquipés la descendre dans le manoir de la famille Bond. Il faut dire qu'il y a ajouté sa petite touche perso en canardant l'endroit avec une gatling montée sur hélico de combat, et quelques grenades incendiaires (pour la couleur).
S'apercevant que maman M. est touchée, et ne supportant pas l'idée de vivre sans elle, Blondie essaye de se faire sauter le caisson avec elle, d'un petit coup de desert eagle dans la tempe.
C'est alors le retour du fils prodigue, le blondinet original Bond, qui poignarde son frangin dans le dos (littéralement), pour voir sa maman mourir, et retourner assumer son homosexualité dans de nouvelles aventures.
Bon... Voilà voilà... En fait, Skyfall, ça restera surtout un tube d'Adèle.
Je ne suis pas désolé pour le spoil, bon visionnage!
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
j'ai vu dernièrement "the brave" dont le réalisateur et acteur est johny depp, marlon brando y apparait aussi, c'est un film de 1996.
un film dur mais beau sur le thème de l'existence et la mort, je l'ai trouvé intriguant, mais aussi terriblement touchant!!
film tiré d'ailleurs d'un roman, qui me donne envie de le lire!!
un film dur mais beau sur le thème de l'existence et la mort, je l'ai trouvé intriguant, mais aussi terriblement touchant!!
film tiré d'ailleurs d'un roman, qui me donne envie de le lire!!
- Djez
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@Morglum : moi aussi j'ai vraiment bien aimé The Brave, je n'attendais rien de spécial du film, et j'ai trouvé que c'était une très bonne surprise.
Djez en 3 jeux...
Un jeu de rôle : BLACKSAD
Un jeu de société : FLOTILLA
Un jeu vidéo : INDIANA JONES & THE FATE OF ATLANTIS
VISITEZ CHEZ DJEZ !
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@djez: c'est une petite perle je trouve, mais à l'époque il avait été mal accueilli par la critique et du coup johny depp n'a pas voulu le diffuser aux states!!!
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
J'ai vu The Day, film post-apo dans la ligné de La Route, les perso sont sympa, l'histoire aussi et j'aime bien l’héroïne, le film mériterait une suite rien que pour elle et son perso qui est franchement bon.
Bref un ptit film qui passe bien.
http://www.imdb.com/title/tt1756799/
Bref un ptit film qui passe bien.
http://www.imdb.com/title/tt1756799/
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Les films sympas du moment
Argo:
Le film est très bien réalisé, mais reste très américain dans l'âme. Il se concentre sur une opération menée en Iran à la toute fin des années 60. Un agent de la CIA monte un plan rocambolesque et risqué pour extrader des employés de l'ambassade américaine qui ont réussir à fuir leur lieu de travail au moment où celle-ci fut prise d'assaut par des manifestants iraniens. Il va les faire passer pour l'équipe technique d'un film de science-fiction stupide, croisement improbable de Flash Gordon et de parodie grotesque de Star Wars.
Le film est bien rythmé, intelligent, la tension est permanente et les personnages savent se montrer plus ou moins futés. L'époque semble bien restituée, sans trop de clichés. Le seul problème est la contradiction interne dans l'intention du film: il signale au début que la CIA a armé les extrémistes iraniens, puis célèbre l'action pacifique d'une opération de la CIA en Iran pour sauver des Américains des extrémistes iraniens...
Quoiqu'il en soit, le passage de Ben Affleck derrière la caméra vaut le coup, il semble meilleur réalisateur qu'acteur.
Thérèse Desqueyroux:
Un beau film à l'esthétique impeccable, qui restitue assez bien le livre de François Mauriac... Mais aura du mal à se laisser regarder indépendamment de toute culture littéraire. Audrey Tautou et Gilles Lelouche jouent très bien, sans le surjeu caractéristique des mauvais acteurs français. Les dialogues sont efficaces et la mise en scène intelligente.
Défaut du film: il n'a aucun sens si on le regarde sans connaître un peu le propos de certains romans d'André Gide, et des auteurs qui préfigurent l'existentialisme. Privé d'une réflexion explicite sur la gratuité de l'acte et l'absurdité de l'existence, Thérèse Desqueyroux ne serait qu'un drame un peu creux. C'est au spectateur de projeter ses réflexions dans ce film support. Un acte cinématographique intéressant, d'un élitisme assumé.
Les cinq légendes:
Assez dégoûté de l'avoir vu en VF, sous prétexte que la journée, l'UGC des Halles passe plutôt les "films pour enfant" en VF, j'ai pourtant apprécié le film. Un assez beau conte de Nowel, particulièrement beau, qui traite de la magie de l'enfance. Ne jamais sous-estimer les histoires qui s'adressent aux enfants, ce sont parfois les plus habiles.
A royal affair:
Un très beau film historique sur l'influence difficile des Lumières dans le royaume arriéré du Danemark au XVIIIe siècle. Que ce soit la vie libertine des nobles, la rudesse des intrigues politique ou l'histoire d'amour de la reine: tout est excellent, et chacun des acteurs magnifie son personnage! Il y a du sang, du sexe, de la sueur et de la philosophie... un bonheur à regarder!
Cogan, Killing them softly:
Je ne m'attendais pas à voir un aussi bon film en allant regarder un film de gangster avec Brad Pitt. Les personnages sont bruts, crus et presque réalistes (tout en gardant le rythme et l'action qui font les bons films de truands). Enfin, un film hollywoodien récent prend le temps de poser ses personnages, et s'installe dans un rythme un peu lent, pour faire monter la tension à feu doux. C'est avec un plaisir sadique qu'on voit l'intrigue se resserrer autour des personnages pour les étrangler lentement.
Le film situe un tueur à gage, engagé pour calmer le milieu de la mafia de la côte est après le braquage d'un tripot. Il amène un regard cynique sur le milieu de la pègre... Tout cela sur le fond des discours électoraux américains, qui s'insinuent dans le film en permanence, à chaque fois qu'un personnage allume une radio ou regarde la télé. Le versant politique et implicite du film surgit à la fin, dans le dernier dialogue.
Brad Pitt a enfin trouvé un film qui lui plait, et dans lequel il n'est pas en mode "je fais ce rôle pour le pognon". Cette fois-ci, il joue dans ce qu'il croit, il a co-produit le film qui a eu visiblement beaucoup de mal à sortir (symptôme qui ne trompe pas: la demi-douzaine de logos de productions différents en début de film).
Au final, ce n'est pas un block-buster, mais un film engagé, intelligent et diaboliquement bien réalisé qui s'est glissé en contrebande dans le box-office. A voir absolument!
America is not a country, it's a buisness.
Argo:
Le film est très bien réalisé, mais reste très américain dans l'âme. Il se concentre sur une opération menée en Iran à la toute fin des années 60. Un agent de la CIA monte un plan rocambolesque et risqué pour extrader des employés de l'ambassade américaine qui ont réussir à fuir leur lieu de travail au moment où celle-ci fut prise d'assaut par des manifestants iraniens. Il va les faire passer pour l'équipe technique d'un film de science-fiction stupide, croisement improbable de Flash Gordon et de parodie grotesque de Star Wars.
Le film est bien rythmé, intelligent, la tension est permanente et les personnages savent se montrer plus ou moins futés. L'époque semble bien restituée, sans trop de clichés. Le seul problème est la contradiction interne dans l'intention du film: il signale au début que la CIA a armé les extrémistes iraniens, puis célèbre l'action pacifique d'une opération de la CIA en Iran pour sauver des Américains des extrémistes iraniens...
Quoiqu'il en soit, le passage de Ben Affleck derrière la caméra vaut le coup, il semble meilleur réalisateur qu'acteur.
Thérèse Desqueyroux:
Un beau film à l'esthétique impeccable, qui restitue assez bien le livre de François Mauriac... Mais aura du mal à se laisser regarder indépendamment de toute culture littéraire. Audrey Tautou et Gilles Lelouche jouent très bien, sans le surjeu caractéristique des mauvais acteurs français. Les dialogues sont efficaces et la mise en scène intelligente.
Défaut du film: il n'a aucun sens si on le regarde sans connaître un peu le propos de certains romans d'André Gide, et des auteurs qui préfigurent l'existentialisme. Privé d'une réflexion explicite sur la gratuité de l'acte et l'absurdité de l'existence, Thérèse Desqueyroux ne serait qu'un drame un peu creux. C'est au spectateur de projeter ses réflexions dans ce film support. Un acte cinématographique intéressant, d'un élitisme assumé.
Les cinq légendes:
Assez dégoûté de l'avoir vu en VF, sous prétexte que la journée, l'UGC des Halles passe plutôt les "films pour enfant" en VF, j'ai pourtant apprécié le film. Un assez beau conte de Nowel, particulièrement beau, qui traite de la magie de l'enfance. Ne jamais sous-estimer les histoires qui s'adressent aux enfants, ce sont parfois les plus habiles.
A royal affair:
Un très beau film historique sur l'influence difficile des Lumières dans le royaume arriéré du Danemark au XVIIIe siècle. Que ce soit la vie libertine des nobles, la rudesse des intrigues politique ou l'histoire d'amour de la reine: tout est excellent, et chacun des acteurs magnifie son personnage! Il y a du sang, du sexe, de la sueur et de la philosophie... un bonheur à regarder!
Cogan, Killing them softly:
Je ne m'attendais pas à voir un aussi bon film en allant regarder un film de gangster avec Brad Pitt. Les personnages sont bruts, crus et presque réalistes (tout en gardant le rythme et l'action qui font les bons films de truands). Enfin, un film hollywoodien récent prend le temps de poser ses personnages, et s'installe dans un rythme un peu lent, pour faire monter la tension à feu doux. C'est avec un plaisir sadique qu'on voit l'intrigue se resserrer autour des personnages pour les étrangler lentement.
Le film situe un tueur à gage, engagé pour calmer le milieu de la mafia de la côte est après le braquage d'un tripot. Il amène un regard cynique sur le milieu de la pègre... Tout cela sur le fond des discours électoraux américains, qui s'insinuent dans le film en permanence, à chaque fois qu'un personnage allume une radio ou regarde la télé. Le versant politique et implicite du film surgit à la fin, dans le dernier dialogue.
Brad Pitt a enfin trouvé un film qui lui plait, et dans lequel il n'est pas en mode "je fais ce rôle pour le pognon". Cette fois-ci, il joue dans ce qu'il croit, il a co-produit le film qui a eu visiblement beaucoup de mal à sortir (symptôme qui ne trompe pas: la demi-douzaine de logos de productions différents en début de film).
Au final, ce n'est pas un block-buster, mais un film engagé, intelligent et diaboliquement bien réalisé qui s'est glissé en contrebande dans le box-office. A voir absolument!
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- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Quelques films vus récemment:
Le roi du curling: Cette comédie norvégienne est hilarante, parodique et très bien réussie, servie par des acteurs bourrés de force comique. Le sujet lui-même est grotesque: une équipe de curling doit arrêter les championnats parce que son joueur-phare, un maniaque obsédé par la précision au millimètre, devient psychotique et souffre d'hallucinations. Une fois sous calmants, il se révèle incapable de lancer le palet et doit abandonner la compétition. Sur ordre de sa psy, il doit rester loin du stade de curling, cloîtré chez sa femme: une névrosée en lycra léopard, amoureuse d'un chiwawa, qui a transformé sa demeure en maison de barbie grandeur nature.
Jusqu'au jour où son meilleur ami, mentor et entraineur, est diagnostiqué pour un cancer du poumon qui le condamne à court terme. Seul espoir: une opération hors-de-prix aux USA pourrait lui sauver la vie. Au même instant, le gagnant de la loterie nationale décide de verser tous ses gains comme récompense du prochain championnat de curling, pour créer l'attention autour de ce sport trop peu connu à son goût.
Pour sauver son mentor, Truls va devoir abandonner ses cachets et tutoyer ses hallucinations pour remporter le tournoi avec son équipe: un masseur obsédé sexuel qui couche avec chacun de ses clients hommes ou femmes, un passionné d'ornithologie qui passe 12h par jour caché sous une bâche en forêt pour observer les oiseaux migrateurs, et son ami dépressif qui n'a pas fermé l'oeil en deux mois, depuis qu'il sait que son père est devenu transformiste chanteur dans une boîte gay.
Une aventure épique, qui détourne tous les clichés du film sur le héros qui réussit sa quête grâce à la force de l'amitié. Ce film est dédié à tous les (vrais) fous qui essayent d'être heureux.
Paulette: Une comédie française assez amusante, racontant l'histoire d'une veuve, vivotant en HLM sur sa retraite, au bord de l'expulsion. Pour se renflouer, elle va tenter de vendre du cannabis. Le personnage principal est amusant grâce à son cynisme et son racisme assumé. Lorsque son petit-fils métis lui demande "Mamie, pourquoi tu m'aimes pas?" et que Paulette répond: "Parce que t'es noir!", la moitié de la salle éclate de rire, et l'autre n'ose pas.
Même si elle respecte les codes des productions françaises et trimballe son lot de clichés (après tout, le film ne prétend pas être un documentaire), cette comédie met en avant quelques acteurs qui renouvellent le paysage du cinéma français, et présente un personnage qui fait rire en restant profondément cynique et raciste jusqu'à la fin heureuse: "Je t'aime bien en fin de compte mon petit Bamboula... C'est sûr, j'aurai préféré que tu sois blanc, mais bon... C'est comme ça..."
Pour conclure: un bon petit film qui s'installe confortablement dans la cassure de cette insupportable mode du politiquement correct.
Alceste à bicyclette: Deux acteurs, autrefois séparés par l'extrême hypocrisie du milieu du spectacle, se retrouvent à l'île de Ré pour discuter d'un projet de théâtre. Le premier, joué par Lambert Wilson (on ne l'avait pas revu depuis Comme les autres en 2008, ce film sur l'adoption par des couples homos), incarne la vedette montante: il cartonne dans un plagiat français de Dr House sans talent, sur TF1 évidemment, et veut s'offrir un rôle de théâtre classique en montant lui-même une représentation du Misanthrope. L'autre, animé par Fabrice Luchini (qui enchaîne les succès depuis qu'il se sent vieux, et s'autorise à se foutre ouvertement de la gueule des journalistes homologués france-télévision qui l'interrogent, et on le comprend), est devenu un ermite depuis sa dépression. Il vit à l'île de Ré (tient? salut Lionel!) et peint vaguement des toiles érotiques pour se calmer les nerfs entre deux ballades à vélo. Il a abandonné le métier d'acteur et ne tient pas à revenir.
C'est pourquoi le personnage de Lambert Wilson va ruser, et commencer les répétitions comme dans un jeu. Petit à petit, on voit les acteurs s'emparer du personnage haineux d'Alceste, l'un trop hypocrite pour l'incarner avec justesse, l'autre trop misanthrope pour s'en détacher. La vie personnelle des deux acteurs va s'imbriquer avec les répétitions et influencer sur leur plus ou moins bonne interprétation du personnage de Molière.
Au final, sans être un film miroir, c'est un cinéma qui parle des acteurs eux-mêmes. Bien que le film soit réussi, et sa fin impeccable, on peut difficilement s'empêcher de trouver vain ce scénario, qui déroule des ratiocinations sans fin sur l'art de réciter un texte. Ce que révèle peut-être à la moitié de l'intrigue un étrange personnage: Zoé, actrice porno qui assiste indifférente à l'une de leur répétitions, et qui, pour leur donner la réplique, joue avec un naturel exquis le rôle de Célimène à la première lecture, avant de s'envoler à Budapest, plaque tournante du film X européen. Ce n'est pas que le film soit mauvais ou manque de style, mais le contenu lui-même est parfois creux.
Une histoire d'amour: Je suis sorti de la salle au bout de 35 minutes. Ce film plat et chiant prend des acteurs bons ou moyens, et réussit à les rendre aussi poignants d'émotion qu'une starlette de Plus belle la vie. Tout dans ce film part d'un ingrédient intéressant, et en tire un résultat médiocre par un ratage complet. Benoît Poelvoorde est dirigé comme une merde et doit sortir un texte tellement absurde qu'il passe pour un mauvais acteur. Même chose pour le reste du casting. Les dialogues sont parfaitement clichés. L'intrigue, une histoire d'amour entre un richissime suicidaire et une prostituée timide, est tournée en ridicule par une constante recherche du pathétique dans la réalisation. La musique est potable, mais tombe toujours au mauvais moment. Tout sonne faux, ou surjoue avec sérieux, comme s'il fallait absolument exagérer une émotion pour qu'elle se reflète à l'écran. Bref, un cinéma réservé aux autistes atteints du syndrome d'Asperger, pour leur apprendre à déchiffrer les expressions faciales grâce à un défilé de caricatures. Et un gâchis lamentable du talent des acteurs.
Django Unchained: Tarantino continue de se parodier lui-même, produisant de la série B au format long. Un film à ne pas prendre au sérieux, qui prend plaisir à étaler beaucoup d'hémoglobine et de testostérone sur 2h45 de pellicule. Comme d'habitude avec les films de Tarantino, la BO est une contre-histoire de la chanson américaine qui a parfois plus d'intérêt que l'image. Comme d'habitude aussi, c'est un détournement perpétuel des séries B du genre. Ici, ce sont les téléfilms à bonne conscience sur l'injustice de l'esclavage. On prend le même scénario, on rajoute quelques hectolitres de faux sang, un personnage atypique, des méchants vraiment pas gentils, une jolie fille dans les champs de coton et de la dynamite pour la scène de fin. Au début du film, la salle est surprise quand on tue quelqu'un... A la fin, elle éclate de rire à chaque meurtre gratuit perpétré par le héros, et c'est voulu. Niveau effets spéciaux, tout le film est un long commentaire d'une découverte récente par l'industrie du cinéma: une balle ne se contente pas de traverser la chair: elle explose à l'intérieur en laissant des gros trous et en faisant gicler 1D12 décilitres de faux-sang par munition.
Alors que Tarantino a débuté sa carrière par des intrigues déconstruites (de Reservoir Dogs à Pulp Fiction), ici l'histoire a été aplatie, les intrigues secondaires collées les unes aux autres dans une succession forcée au lieu de s'intriquer... Et c'est chiant.
Le montage révèle que l'intrigue a souvent été rabotée, donnant juste assez d'informations-flashback nécessaires pour comprendre la prochaine scène de massacre... Idem pour les très courtes séquences explicatives: les plans d'action et autres scènes demandant une concentration intellectuelle sont réduites au minimum: on en a juste assez pour comprendre que ça va faire crack, pan et boum. D'un point de vue cinématographique, c'est soit une adaptation pour débile mental, soit un foutage de gueule assumé, jeté à la face des critiques qui ont trouvé qu'il y avait trop de dialogues dans Inglourious basterds.
Bref... C'est du pulp.
Le roi du curling: Cette comédie norvégienne est hilarante, parodique et très bien réussie, servie par des acteurs bourrés de force comique. Le sujet lui-même est grotesque: une équipe de curling doit arrêter les championnats parce que son joueur-phare, un maniaque obsédé par la précision au millimètre, devient psychotique et souffre d'hallucinations. Une fois sous calmants, il se révèle incapable de lancer le palet et doit abandonner la compétition. Sur ordre de sa psy, il doit rester loin du stade de curling, cloîtré chez sa femme: une névrosée en lycra léopard, amoureuse d'un chiwawa, qui a transformé sa demeure en maison de barbie grandeur nature.
Jusqu'au jour où son meilleur ami, mentor et entraineur, est diagnostiqué pour un cancer du poumon qui le condamne à court terme. Seul espoir: une opération hors-de-prix aux USA pourrait lui sauver la vie. Au même instant, le gagnant de la loterie nationale décide de verser tous ses gains comme récompense du prochain championnat de curling, pour créer l'attention autour de ce sport trop peu connu à son goût.
Pour sauver son mentor, Truls va devoir abandonner ses cachets et tutoyer ses hallucinations pour remporter le tournoi avec son équipe: un masseur obsédé sexuel qui couche avec chacun de ses clients hommes ou femmes, un passionné d'ornithologie qui passe 12h par jour caché sous une bâche en forêt pour observer les oiseaux migrateurs, et son ami dépressif qui n'a pas fermé l'oeil en deux mois, depuis qu'il sait que son père est devenu transformiste chanteur dans une boîte gay.
Une aventure épique, qui détourne tous les clichés du film sur le héros qui réussit sa quête grâce à la force de l'amitié. Ce film est dédié à tous les (vrais) fous qui essayent d'être heureux.
Paulette: Une comédie française assez amusante, racontant l'histoire d'une veuve, vivotant en HLM sur sa retraite, au bord de l'expulsion. Pour se renflouer, elle va tenter de vendre du cannabis. Le personnage principal est amusant grâce à son cynisme et son racisme assumé. Lorsque son petit-fils métis lui demande "Mamie, pourquoi tu m'aimes pas?" et que Paulette répond: "Parce que t'es noir!", la moitié de la salle éclate de rire, et l'autre n'ose pas.
Même si elle respecte les codes des productions françaises et trimballe son lot de clichés (après tout, le film ne prétend pas être un documentaire), cette comédie met en avant quelques acteurs qui renouvellent le paysage du cinéma français, et présente un personnage qui fait rire en restant profondément cynique et raciste jusqu'à la fin heureuse: "Je t'aime bien en fin de compte mon petit Bamboula... C'est sûr, j'aurai préféré que tu sois blanc, mais bon... C'est comme ça..."
Pour conclure: un bon petit film qui s'installe confortablement dans la cassure de cette insupportable mode du politiquement correct.
Alceste à bicyclette: Deux acteurs, autrefois séparés par l'extrême hypocrisie du milieu du spectacle, se retrouvent à l'île de Ré pour discuter d'un projet de théâtre. Le premier, joué par Lambert Wilson (on ne l'avait pas revu depuis Comme les autres en 2008, ce film sur l'adoption par des couples homos), incarne la vedette montante: il cartonne dans un plagiat français de Dr House sans talent, sur TF1 évidemment, et veut s'offrir un rôle de théâtre classique en montant lui-même une représentation du Misanthrope. L'autre, animé par Fabrice Luchini (qui enchaîne les succès depuis qu'il se sent vieux, et s'autorise à se foutre ouvertement de la gueule des journalistes homologués france-télévision qui l'interrogent, et on le comprend), est devenu un ermite depuis sa dépression. Il vit à l'île de Ré (tient? salut Lionel!) et peint vaguement des toiles érotiques pour se calmer les nerfs entre deux ballades à vélo. Il a abandonné le métier d'acteur et ne tient pas à revenir.
C'est pourquoi le personnage de Lambert Wilson va ruser, et commencer les répétitions comme dans un jeu. Petit à petit, on voit les acteurs s'emparer du personnage haineux d'Alceste, l'un trop hypocrite pour l'incarner avec justesse, l'autre trop misanthrope pour s'en détacher. La vie personnelle des deux acteurs va s'imbriquer avec les répétitions et influencer sur leur plus ou moins bonne interprétation du personnage de Molière.
Au final, sans être un film miroir, c'est un cinéma qui parle des acteurs eux-mêmes. Bien que le film soit réussi, et sa fin impeccable, on peut difficilement s'empêcher de trouver vain ce scénario, qui déroule des ratiocinations sans fin sur l'art de réciter un texte. Ce que révèle peut-être à la moitié de l'intrigue un étrange personnage: Zoé, actrice porno qui assiste indifférente à l'une de leur répétitions, et qui, pour leur donner la réplique, joue avec un naturel exquis le rôle de Célimène à la première lecture, avant de s'envoler à Budapest, plaque tournante du film X européen. Ce n'est pas que le film soit mauvais ou manque de style, mais le contenu lui-même est parfois creux.
Une histoire d'amour: Je suis sorti de la salle au bout de 35 minutes. Ce film plat et chiant prend des acteurs bons ou moyens, et réussit à les rendre aussi poignants d'émotion qu'une starlette de Plus belle la vie. Tout dans ce film part d'un ingrédient intéressant, et en tire un résultat médiocre par un ratage complet. Benoît Poelvoorde est dirigé comme une merde et doit sortir un texte tellement absurde qu'il passe pour un mauvais acteur. Même chose pour le reste du casting. Les dialogues sont parfaitement clichés. L'intrigue, une histoire d'amour entre un richissime suicidaire et une prostituée timide, est tournée en ridicule par une constante recherche du pathétique dans la réalisation. La musique est potable, mais tombe toujours au mauvais moment. Tout sonne faux, ou surjoue avec sérieux, comme s'il fallait absolument exagérer une émotion pour qu'elle se reflète à l'écran. Bref, un cinéma réservé aux autistes atteints du syndrome d'Asperger, pour leur apprendre à déchiffrer les expressions faciales grâce à un défilé de caricatures. Et un gâchis lamentable du talent des acteurs.
Django Unchained: Tarantino continue de se parodier lui-même, produisant de la série B au format long. Un film à ne pas prendre au sérieux, qui prend plaisir à étaler beaucoup d'hémoglobine et de testostérone sur 2h45 de pellicule. Comme d'habitude avec les films de Tarantino, la BO est une contre-histoire de la chanson américaine qui a parfois plus d'intérêt que l'image. Comme d'habitude aussi, c'est un détournement perpétuel des séries B du genre. Ici, ce sont les téléfilms à bonne conscience sur l'injustice de l'esclavage. On prend le même scénario, on rajoute quelques hectolitres de faux sang, un personnage atypique, des méchants vraiment pas gentils, une jolie fille dans les champs de coton et de la dynamite pour la scène de fin. Au début du film, la salle est surprise quand on tue quelqu'un... A la fin, elle éclate de rire à chaque meurtre gratuit perpétré par le héros, et c'est voulu. Niveau effets spéciaux, tout le film est un long commentaire d'une découverte récente par l'industrie du cinéma: une balle ne se contente pas de traverser la chair: elle explose à l'intérieur en laissant des gros trous et en faisant gicler 1D12 décilitres de faux-sang par munition.
Alors que Tarantino a débuté sa carrière par des intrigues déconstruites (de Reservoir Dogs à Pulp Fiction), ici l'histoire a été aplatie, les intrigues secondaires collées les unes aux autres dans une succession forcée au lieu de s'intriquer... Et c'est chiant.
Le montage révèle que l'intrigue a souvent été rabotée, donnant juste assez d'informations-flashback nécessaires pour comprendre la prochaine scène de massacre... Idem pour les très courtes séquences explicatives: les plans d'action et autres scènes demandant une concentration intellectuelle sont réduites au minimum: on en a juste assez pour comprendre que ça va faire crack, pan et boum. D'un point de vue cinématographique, c'est soit une adaptation pour débile mental, soit un foutage de gueule assumé, jeté à la face des critiques qui ont trouvé qu'il y avait trop de dialogues dans Inglourious basterds.
Bref... C'est du pulp.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@propos de Django unchained... Je ne l'ai pas vu, mais le film auquel il fait référence (Django, de Sergio Corbucci) est sans doute le paroxysme de ce que pouvait être le western spaghetti : de l'action too much, des persos caricaturaux à l'extrême, des répliques gratuites, un scénario de comics, le tout au service d'une aventure impitoyablement abusée juste parce que "il faut envoyer du lourd" ! C'est totalement assumé, on adore ou on déteste (moi je suis fan !), mais c'est comme ça !
Donc rien d'étonnant que la version de Tarantino soit "over too much", l'original était justement culte pour cette raison ! ^^
Donc rien d'étonnant que la version de Tarantino soit "over too much", l'original était justement culte pour cette raison ! ^^
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je n'ai pas de soucis avec le "too much": j'ai adoré Inglourious basterds, qui a des leçons à donner dans le genre. Mais ce n'est pas parce que c'est "too much" que ça doit forcément être décérébré. Le problème de Django, au-delà du style recyclage de série B qui ne me dérange pas du tout chez Tarantino, c'est qu'il est mal rythmé, long et plutôt chiant. Le rythme est saccadé, et on sent passer les 2h45, à cause d'une succession de personnages secondaires inconsistants trop vite tués. J'ai un problème avec le fait que tous les seconds rôles du film sont joués par le très talentueux sac d'hémoglobine artificielle.Djez a écrit :@propos de Django unchained... Je ne l'ai pas vu, mais le film auquel il fait référence (Django, de Sergio Corbucci) est sans doute le paroxysme de ce que pouvait être le western spaghetti : de l'action too much, des persos caricaturaux à l'extrême, des répliques gratuites, un scénario de comics, le tout au service d'une aventure impitoyablement abusée juste parce que "il faut envoyer du lourd" ! C'est totalement assumé, on adore ou on déteste (moi je suis fan !), mais c'est comme ça !
Donc rien d'étonnant que la version de Tarantino soit "over too much", l'original était justement culte pour cette raison ! ^^
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
je viens de finir de voir: ZARDOZ avec sean connery, charlotte rampling, film de 1976 de john boorman, je n'ai qu'une chose à dire OMG!!!
à voir en VOST, y a des scènes mythiques et mystiques!!
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- Djez
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
C'est clair, il rends fou ce film ! Mais bon, voir Sean Connery en slip rouge, ça n'a pas de prix !morglum a écrit :je viens de finir de voir: ZARDOZ avec sean connery, charlotte rampling, film de 1976 de john boorman, je n'ai qu'une chose à dire OMG!!!
Sinon moi je viens tout juste de voir The Day histoire de compléter ma culture en film post-apo... Bah je reste sur un sentiment mitigé : y a de vraiment bons trucs, toute la première moitié du film est très sympa, mais en fait dés que l'effet de surprise est passé, le film s'embourbe et la sauce ne prends plus. La globalité reste sympa à voir, mais on est bien loin -pour moi- d'un La Route alors que mon boîtier de DVD prétendait le contraire ! ^^
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je suis persuadé que lorsqu'on lit un commentaire sur un boîtier DVD, qui compare le film contenu dans ce boîtier à un autre film qui sert de référence, c'est un message codé du critique de cinéma, probablement enchaîné dans une cave de la 20th Century Fox. A chaque fois que je vois ces comparaisons, je les traduits par: "ATTENTION: ce film est une bouse sans originalité qui plagie une autre référence culturelle pour rapporter à un producteur qui veut se payer un plus gros jaccuzi! J'écris des compliments sous la contrainte pour ne pas perdre mon travail, pitié n'achetez pas cette merde!"Djez a écrit :en fait dés que l'effet de surprise est passé, le film s'embourbe et la sauce ne prends plus. La globalité reste sympa à voir, mais on est bien loin -pour moi- d'un La Route alors que mon boîtier de DVD prétendait le contraire ! ^^
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je le connais pas celui-là je serai curieux de le voir.Djez a écrit :C'est clair, il rends fou ce film ! Mais bon, voir Sean Connery en slip rouge, ça n'a pas de prix !morglum a écrit :je viens de finir de voir: ZARDOZ avec sean connery, charlotte rampling, film de 1976 de john boorman, je n'ai qu'une chose à dire OMG!!!
Perso je l'ai bien aimé, certes le début est plus sympa que la fin, une fois que tu sais ce qu'il se passe vraiment mais je trouve l'héroïne vraiment intéressante, elle prends de plus en plus d'importance dans le film et j'aime vraiment bien la manière dont elle "monte en puissance".Djez a écrit :Sinon moi je viens tout juste de voir The Day histoire de compléter ma culture en film post-apo... Bah je reste sur un sentiment mitigé : y a de vraiment bons trucs, toute la première moitié du film est très sympa, mais en fait dés que l'effet de surprise est passé, le film s'embourbe et la sauce ne prends plus. La globalité reste sympa à voir, mais on est bien loin -pour moi- d'un La Route alors que mon boîtier de DVD prétendait le contraire ! ^^
Par contre oui, le film est loin de "la route" mais l'ambiance général y est.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
j'ai fini de regarder hier soir THX 11 38 de georges lucas et coppola de 1970, c'est un bon film d'anticipation sur le contrôle des masses par l'appareil d'état!!!!, à voir en version director'cut.
après j'attaquerai le livre d'eli!!
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Le livre d'Eli, c'est un film pour photographe: que des paysages post-apo, avec une bande-son réussie, mais une intrigue à chier. A la limite, on gagnerait à le regarder en VO sans sous-titres qu'on comprenne l'Anglais ou pas, parce que les dialogues n'ont vraiment aucun intérêt, toute l'histoire est transmise par l'image. Le scénar tient sur une bonne dizaine de lignes.morglum a écrit : après j'attaquerai le livre d'eli!!
Vu aujourd'hui:
Sugar Man: C'est un documentaire reconstituant la carrière d'un chanteur pop de Detroit, aussi talentueux que Bob Dylan d'après les dénicheurs de talents qui l'ont poussé à enregistré deux albums, mais qui fait un flop total aux USA. En même temps, ses chansons sont reprises par les militants anti-apartheid en Afrique du Sud, où il est devenu aussi célèbre (et mieux vendu) qu'Elvis Presley ou les Rolling Stones.
L'enquête est intéressante, joue sur quelques faux-suspense, mais n'analyse pas assez la mesquinerie financière des maisons de disques. Auto-censure ou manque d'ambition? Le reportage commence à suivre la piste de l'argent pour savoir où sont passés les bénéfices rapportés par la vente estimée de 500 000 disques en Afrique du Sud, jusqu'à l'ancien propriétaire du label Essex, qui prétend ne rien savoir de tout cela... Puis abandonne la piste de l'argent. Lâchement, le montage sélectionne un passage de l'interviex d'une des filles du chanteur qui suppose que s'ils ne sont pas riches, c'est qu'il doit y avoir beaucoup de piratage, et que peut-être, d'autres sont riches.
Ce côté ventre mou de l'enquête laisse la porte ouverte à toutes les interprétations: qu'on soit un lobotomisé pro-hadopi qui pense que le partage sur le net nuit aux artistes, ou qu'on soupçonne que la maison de disque Essex ou un des distributeurs sud-africains a dissimulé les profits, on peut être d'accord avec le reportage. Un manque d'engagement qui laisse un goût amer.
Au final, ce documentaire lâche si peu de contenu pertinent qu'il ressemble presque plus à une publicité longue, décrivant l'aventure épique des chansons symbolisant la résistance à l'appartheid, sans que le chanteur soit au courant.
La chanson (effectivement magnifique) qui a donné le titre:
http://grooveshark.com/s/Sugar+Man/3Yk5RZ?src=5
Blanca nieves: Un film entièrement muet en noir et blanc.
Maintenant que j'ai perdu la quasi-totalité des lecteurs, je peux écrire ce que je veux. Voir ce conte des frères Grimm, pervers en soi, réécrit dans une intrigue articulée autour du thème de la corrida, art de la cruauté, avec des actrices qui rivalisent de charisme sexuel, ça a rassasié mes pulsions sadiques. Ce film audacieux, négligeant toutes les stratégies commerciales, est incroyablement bien réussi, drôle, intelligent et délicieusement pervers.
C'est une adaptation du conte de Blange-neige dans l'Espagne des années 20. La très innocente Carmencita, fille d'un célèbre toréador blessé dans l'arène, est élevée par sa marâtre, sadique et infidèle. Quand le serviteur de cette femme obscure essaye de tuer cette Blanche-neige devenue adolescente (et étourdissante de beauté), il la noie à demi et la laisse flotter dans la rivière. Devenue amnésique, elle est recueillie par des nains qui vont de ville en ville donner un spectacle de corrida miniature, où le public paye pour les voir toréer des vachettes. Alors qu'elle sauve la vie d'un des nains qui allait se faire piétiner, elle révèle un talent naturel pour l'art de la corrida.
Le muet permet de ce concentrer sur un langage proprement cinématographique, qui n'a rien d'élitiste, et sur une musique somptueuse. La marâtre est mise en scène comme une dominatrice parfaitement sadique et cruelle, beaucoup plus charismatique que la sorcière du conte original.
Bref, à côté de la nullité des adaptations hollywoodiennes de contes européens (ne pas voir Blanche-Neige et le chasseur), ce film les domine, de très très haut, par son intelligence et son humour.
Modifié en dernier par Drahe le 24 janv. 2013, 00:19, modifié 1 fois.
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Vu que c'est un film...Drahe a écrit :toute l'histoire est transmise par l'image.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Il y a un sous-entendu que tu n'as pas capté dans "image". Je développe: tous les éléments de l'intrigue sont pointés à l'écran, rien ne passe par le dialogue. Tu peux le regarder en coupant le son, aucune subtilité de l'histoire ne va t'échapper.desba a écrit :Vu que c'est un film...Drahe a écrit :toute l'histoire est transmise par l'image.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
http://www.youtube.com/watch?v=QqtrQKArgaUDrahe a écrit :Il y a un sous-entendu que tu n'as pas capté dans "image". Je développe: tous les éléments de l'intrigue sont pointés à l'écran, rien ne passe par le dialogue. Tu peux le regarder en coupant le son, aucune subtilité de l'histoire ne va t'échapper.desba a écrit :Vu que c'est un film...Drahe a écrit :toute l'histoire est transmise par l'image.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
bah, j'ai commencé, et justement je trouve les couleurs (peu nombreuse) bien choisis, cela contribue à l'immersion, j'ai l'impression de retrouver une esthétique à la "hero" dans lequel les couleurs étaient ultra-présente!! enfin bref moi j'apprècie même si cela fait livre photo c'est agréable à regarder!!! de plus je n'en suis qu'au début, je vous donnerai mon avis par la suite!!
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Autant pour moi, j'ai pris la remarque à vif, sans raison.desba a écrit : http://www.youtube.com/watch?v=QqtrQKArgaU
@Sambre: effectivement, comme livre-photo c'est agréable à regarder. Et la bande-son est parfaitement exploitable pour des parties de jdr. C'est juste que niveau histoire, c'est un peu navrant, même Madmax demande plus de réflexion de la part du spectateur.
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@drahe: sambre n'est pas intervenu dans la conversation, il me semble, il ne faut pas m'assimiler à elle!!!!! elle aime pas les moutons d'abord!!!
ensuite, si tu vas voir malcom, tu me diras ce que tu en penses! blanca nieves me semble intéressant à voir!!
ensuite, si tu vas voir malcom, tu me diras ce que tu en penses! blanca nieves me semble intéressant à voir!!
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@drahe : j'ai rien dit, j'ai rien fait ! Tu deviens flippant là si tu commences à me voir partout.... (c'est pour ça que les autres "quotas" ne viennent plus, mise à par Kalys qui est "protégée" par Mike). T'aurais assimilé morglum à kaglio, j'aurai pu comprendre mais là... ! J'en suis toute esbobie (même si le correcteur orthographique ne connait pas ce mot ! ).
@morglum : merci de l'avoir remarqué (je ne te cache pas que j'ai cru, un faible instant, être schizophrène).
@morglum : merci de l'avoir remarqué (je ne te cache pas que j'ai cru, un faible instant, être schizophrène).
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Sinon j'ai vu The World, The Flesh ant the Devil, un film post apo de 1959, qui raconte l'histoire d'un black qui croit longtemps être le dernier homme sur terre avant de croiser une charmante blonde... S'en suit tout une intrigue romantique insistant en fin de compte bien plus sur la question de racisme et de "normes sociales" que sur la question de "post apo" qui est en fait ici uniquement prétexte à interroger les préjugés et les convenances... On y remet en questions les notions de racisme, puritanisme, amour, étique, mœurs, sexualité, mariage, mais toujours de façon subtile et allusive. Un film qui de nos jours, du coup, perd beaucoup de son impact mais qu'on devine à l'époque devoir coller une grande claque aux spectateurs, à l'image de son finish qui réussit l'exploit d'être à la fois le plus "bisounours" et le plus osé possible !
Un film que perso j'ai bien aimé, d'un autre temps, mais plein de bonnes idées.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Sambre a écrit :@drahe : j'ai rien dit, j'ai rien fait ! Tu deviens flippant là si tu commences à me voir partout.... (c'est pour ça que les autres "quotas" ne viennent plus, mise à par Kalys qui est "protégée" par Mike). T'aurais assimilé morglum à kaglio, j'aurai pu comprendre mais là... ! J'en suis toute esbobie (même si le correcteur orthographique ne connait pas ce mot ! )
@Sambre: Toutes mes confuses, j'ai lapsussé (prends-toi ça dans la face, correcteur orthographique insensible à la beauté du néologisme égrillard!)
@Djez: ça donne envie ton résumé... Je vais me le dénicher comme film.
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
alors le livre d'eli!!
les images sont souvent plus explicite que les mots pour aborder nos maux, ce que j'écris n'est-il pas beau ou j'en fais trop...
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