La taverne des 3 singes [Nightprowler2]
Modérateurs : Djez, Franck, lax, admin
"Quand j'étais plus petit... Je veux dire: plus petit et plus jeune que maintenant, on m'a toujours élevé en me disant: "Petit, être Izgan c'est être un paria aux yeux de tous, mais c'est être quelqu'un de brave..." Je me suis toujours dit que c'était de la merde et que être brave venait des actions que l'ont faisait et pas de ce qu'ils appellent la "race".
En tout cas j'ai toujours été fort a la traque. Normal à force d'être traqué soit même comme voleur de bétail on finit par connaitre toute les ficelles.
Le fait est que j'ai pas toujours été aussi... petit. C'est juste que une fois on m'a confié la traque d'une femme, et pas n'importe quelle femme, une femme sublime! Tellement que j'en étais tombé amoureux, j'étais un beau gosse a l'époque et j'avais vraiment pas froid aux yeux... En tout cas j'ai finit par la retrouvée, bien qu'elle est disparue de la circulation étrangement, je l'ai retrouvé! Mais visiblement s'te fille était pas ordinaire, aussitôt que je l'ai retrouvé et prévenue le commanditaire: CRAC ! elle m'est tombé dessus, pas au sens littérale hein? Bien que j'aurais bien aimé. Elle me regardait avec des yeux tout rond, comme une roue de roulotte, et la elle me sort une voix d'outre-tombe à pas piquer des hannetons. La voix qui fait que t'as les claouis qui jouent des castagnettes et que t'as qu'une envie: rentrer chez maman voir si elle t'a pas faut une tarte. La tarte, au final, c'est moi qui me la suis prise. Et la plus rien, le néant, je me suis réveillé mes mon corps avait rétréci... Et j'avais une gueule de bois pas croyable, comme si j'avais picoler du bon rhum pendant une semaine.
Je lui en ai voulu, je m'en suis voulu aussi, j'en ai même voulu a Dieu, j'ai tenté de me pendre mais la corde a pété. Comme si depuis j'avais une chance de cocu. Ce qui va plutôt bien avec ce boulot de traqueur remarque. Mais j'ai regardé attentivement ma boucle d'oreille et mon bandeau sur lesquelles y'a mes initiales avec une guitare et un piège à loup, l'emblème de ma famille. T'vois ? La ? Bah je les ai regardés et je me suis dit que je devait prouver à tout le monde que j'avais raison, que c'était bien les actes qui montrait notre bravoure et pas la race, surtout que la je fait des combo avec ma taille... Alors, p'tit mec, à la tienne, et que ça te serve de leçon pour la suite..."
Kilian, le "Grand", à un mec quelconque dans un bar
PS: comme tu le voit je parle bien d'un Izgan ayant eu un problème de croissance. Au passage y'a un système Avantage/Inconvénient ? Et si oui, un truc pour les petits? Si le malus est trop hard je me rabattrais sur un enfant et non pas un Izgan atteint de nanisme...
En tout cas j'ai toujours été fort a la traque. Normal à force d'être traqué soit même comme voleur de bétail on finit par connaitre toute les ficelles.
Le fait est que j'ai pas toujours été aussi... petit. C'est juste que une fois on m'a confié la traque d'une femme, et pas n'importe quelle femme, une femme sublime! Tellement que j'en étais tombé amoureux, j'étais un beau gosse a l'époque et j'avais vraiment pas froid aux yeux... En tout cas j'ai finit par la retrouvée, bien qu'elle est disparue de la circulation étrangement, je l'ai retrouvé! Mais visiblement s'te fille était pas ordinaire, aussitôt que je l'ai retrouvé et prévenue le commanditaire: CRAC ! elle m'est tombé dessus, pas au sens littérale hein? Bien que j'aurais bien aimé. Elle me regardait avec des yeux tout rond, comme une roue de roulotte, et la elle me sort une voix d'outre-tombe à pas piquer des hannetons. La voix qui fait que t'as les claouis qui jouent des castagnettes et que t'as qu'une envie: rentrer chez maman voir si elle t'a pas faut une tarte. La tarte, au final, c'est moi qui me la suis prise. Et la plus rien, le néant, je me suis réveillé mes mon corps avait rétréci... Et j'avais une gueule de bois pas croyable, comme si j'avais picoler du bon rhum pendant une semaine.
Je lui en ai voulu, je m'en suis voulu aussi, j'en ai même voulu a Dieu, j'ai tenté de me pendre mais la corde a pété. Comme si depuis j'avais une chance de cocu. Ce qui va plutôt bien avec ce boulot de traqueur remarque. Mais j'ai regardé attentivement ma boucle d'oreille et mon bandeau sur lesquelles y'a mes initiales avec une guitare et un piège à loup, l'emblème de ma famille. T'vois ? La ? Bah je les ai regardés et je me suis dit que je devait prouver à tout le monde que j'avais raison, que c'était bien les actes qui montrait notre bravoure et pas la race, surtout que la je fait des combo avec ma taille... Alors, p'tit mec, à la tienne, et que ça te serve de leçon pour la suite..."
Kilian, le "Grand", à un mec quelconque dans un bar
PS: comme tu le voit je parle bien d'un Izgan ayant eu un problème de croissance. Au passage y'a un système Avantage/Inconvénient ? Et si oui, un truc pour les petits? Si le malus est trop hard je me rabattrais sur un enfant et non pas un Izgan atteint de nanisme...
"Diplomatie 15%"
- Portoloups
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Ca me semble pas mal du tout Mike, l'idée est originale et la part, même confidentielle, de magie de Nightprowler rend cette situation possible.
Si je peux me permettre il y a peut être deux ou trois points auxquelles je pense et que tu pourrais éventuellement creuser :
> 1) Savoir ce qui a poussé ton personnage a passer du mauvais côté de la loi ? Même si dans l'imaginaire générale Izgane = voleur, ce n'est pas aussi simple que ça. Ceci dit les "cassures" (évènements de background du livre de règle) pourront t'aiguiller.
> 2) Savoir ce qui a poussé ton personnage à passer du statut de voleur à celui de traqueur. Quel a été l'évènement déclencheur ? Pourquoi avoir cherché à se faire une réputation sur ce type de job ? Ton personnage y avait-il des prédispositions particulières ?
> 3) Mais au fait, cette "sorcière", pourquoi ne l'a-t'elle tout simplement pas tué ? Ton personnage le sait-il au moins ? Quelque chose qu'elle aurait dit ?
Voilà pour quelques idées, mais la base est sympa.
Pour ce qui est du personnage, je le vois donc comme un homme dans un corps qui pourrait presque passer pour celui d'un enfant, et non le corps d'un nain. En terme de jeu les malus, mais aussi parfois bonus, sont très contextuels et (de mon point de vue en tout cas) pas rédhibitoires.
On pourrait par exemple imaginer un malus de -1 pour s'enfuir (jambes plus courtes), mais aussi sans doute un bonus de +1 quand il s'agit de courir en se faufilant dans une foule. De même, sauter pourrait éventuellement présenter un malus de -1 (si l'écart à franchir ou l'obstacle au dessus duquel sauter est imposant), mais se glisser dans un endroit serré ou se camoufler derrière une petite caisse pourrait avoir un bonus de +1. Bref, rien d'extrême, et dans beaucoup de cas, l'écart ne sera suffisant pour y associer un malus/bonus.
Si je peux me permettre il y a peut être deux ou trois points auxquelles je pense et que tu pourrais éventuellement creuser :
> 1) Savoir ce qui a poussé ton personnage a passer du mauvais côté de la loi ? Même si dans l'imaginaire générale Izgane = voleur, ce n'est pas aussi simple que ça. Ceci dit les "cassures" (évènements de background du livre de règle) pourront t'aiguiller.
> 2) Savoir ce qui a poussé ton personnage à passer du statut de voleur à celui de traqueur. Quel a été l'évènement déclencheur ? Pourquoi avoir cherché à se faire une réputation sur ce type de job ? Ton personnage y avait-il des prédispositions particulières ?
> 3) Mais au fait, cette "sorcière", pourquoi ne l'a-t'elle tout simplement pas tué ? Ton personnage le sait-il au moins ? Quelque chose qu'elle aurait dit ?
Voilà pour quelques idées, mais la base est sympa.
Pour ce qui est du personnage, je le vois donc comme un homme dans un corps qui pourrait presque passer pour celui d'un enfant, et non le corps d'un nain. En terme de jeu les malus, mais aussi parfois bonus, sont très contextuels et (de mon point de vue en tout cas) pas rédhibitoires.
On pourrait par exemple imaginer un malus de -1 pour s'enfuir (jambes plus courtes), mais aussi sans doute un bonus de +1 quand il s'agit de courir en se faufilant dans une foule. De même, sauter pourrait éventuellement présenter un malus de -1 (si l'écart à franchir ou l'obstacle au dessus duquel sauter est imposant), mais se glisser dans un endroit serré ou se camoufler derrière une petite caisse pourrait avoir un bonus de +1. Bref, rien d'extrême, et dans beaucoup de cas, l'écart ne sera suffisant pour y associer un malus/bonus.
Ok va pour le juvénile et non pas le nain. Mon bg était créé d'un changement possible et les deux me convienne tout a fait ^^
(Sauf que c'est Kilian le jeune et non plus le grand ^^)
Suite du bg:
Dans le même bar ou il a l'habitude trainer, toujours a la personne quelconque (qui a l'air de se contrefoutre de son histoire mais Kilian lui paye a boire donc il reste):
" Cette fille j'ai jamais compris pourquoi elle m'a pas buté net, mais en fait je crois juste que c'était juste pas une tueuse enfin de ce que j'en sais même c'était pas une sorcière psychopathe... Et puis je crois que a choisir je préfère la mort que cet état pitoyable. Donc dans un sens c'est pire que la mort"
Un silence plus loin:
" Tu vois mec, au début, j'étais pas un traqueur, ni même un voleur... j'étais même musicien... Guitariste même que j'étais et j'étais plutôt doué... C'est mon père, Django, et mon oncle Bireli qui mon tout appris il m'ont que j'étais un prodige et tout le tralala... J'y croyais, du moins au début. On faisait des concerts et tout, dans des petits bar j'avais même commencé a avoir une renommé. Et puis un soir on a joué dans un bar classieux j'étais fier j'avais mis ma plus belle chemise et mon père m'avais pris dans ses bras et il avait même versé une larme... La première fois que le voyais montrer autant d'émotion... Mais a la fin le mec qui tenait le bar a essayé de nous arnaquer il a dit "Je payerais jamais des putains de voleur de poule", la mon paternel a pété un plomb a sorti son couteau, lui a tranché net la main, lui mis un pain dans la gueule et lui sort "ça t'apprendra a respecter les Izgan et mon fils, crevure !". L'apocalypse, bref on est rentré. Et un jours que j'étais parti chasser le lapin, j'aperçois une fumée noire comme l'ébène. J'ai compris directe ce que c'était et en revenant j'ai vu mon clan trucidé et les roulottes en feu. Le seul truc que je me rappel vraiment c'est un mec encagoulés marchand a travers les flammes et riant d'un rire strident et sadique... Depuis ce moment j'ai juré de lui faire la peau, la traquant partout... Je sais juste qu'on l'appel le "Prêtre Noir" et c'est une grosse pointure dans le domaine... Je me suis entrainé dur dans la plus pure tradition izgane pour lui faire la peau, je suis donc devenu spécialiste du couteau et de la traque délaissant la guitare bien que j'y rejoue toujours avec le même plaisir et la même nostalgie et je m'efforce de pas perdre la main. J'ai appris que c'est le tenancier du bar qui l'a envoyé du coup ça a été mon premier acte de hors-la-loi: je l'ai attendu à la porte de sortie de son tripot de merde, avec ma guitare et j'ai joué toute les musiques que j'avais joué chez lui auparavant, a la note près. Quand il est sorti j'ai attendu que sa tronche de porc se défigure en entendant ma musique et je lui ai aussitôt envoyé un couteau en plein cœur. Je suis devenu traqueur dans l'espoir de recroiser la route de ce bâtard de Prêtre Noir et de toute façons, mon gars, le seul art qui nourrit son homme est l'art culinaire, c'est bien connu..."
(Sauf que c'est Kilian le jeune et non plus le grand ^^)
Suite du bg:
Dans le même bar ou il a l'habitude trainer, toujours a la personne quelconque (qui a l'air de se contrefoutre de son histoire mais Kilian lui paye a boire donc il reste):
" Cette fille j'ai jamais compris pourquoi elle m'a pas buté net, mais en fait je crois juste que c'était juste pas une tueuse enfin de ce que j'en sais même c'était pas une sorcière psychopathe... Et puis je crois que a choisir je préfère la mort que cet état pitoyable. Donc dans un sens c'est pire que la mort"
Un silence plus loin:
" Tu vois mec, au début, j'étais pas un traqueur, ni même un voleur... j'étais même musicien... Guitariste même que j'étais et j'étais plutôt doué... C'est mon père, Django, et mon oncle Bireli qui mon tout appris il m'ont que j'étais un prodige et tout le tralala... J'y croyais, du moins au début. On faisait des concerts et tout, dans des petits bar j'avais même commencé a avoir une renommé. Et puis un soir on a joué dans un bar classieux j'étais fier j'avais mis ma plus belle chemise et mon père m'avais pris dans ses bras et il avait même versé une larme... La première fois que le voyais montrer autant d'émotion... Mais a la fin le mec qui tenait le bar a essayé de nous arnaquer il a dit "Je payerais jamais des putains de voleur de poule", la mon paternel a pété un plomb a sorti son couteau, lui a tranché net la main, lui mis un pain dans la gueule et lui sort "ça t'apprendra a respecter les Izgan et mon fils, crevure !". L'apocalypse, bref on est rentré. Et un jours que j'étais parti chasser le lapin, j'aperçois une fumée noire comme l'ébène. J'ai compris directe ce que c'était et en revenant j'ai vu mon clan trucidé et les roulottes en feu. Le seul truc que je me rappel vraiment c'est un mec encagoulés marchand a travers les flammes et riant d'un rire strident et sadique... Depuis ce moment j'ai juré de lui faire la peau, la traquant partout... Je sais juste qu'on l'appel le "Prêtre Noir" et c'est une grosse pointure dans le domaine... Je me suis entrainé dur dans la plus pure tradition izgane pour lui faire la peau, je suis donc devenu spécialiste du couteau et de la traque délaissant la guitare bien que j'y rejoue toujours avec le même plaisir et la même nostalgie et je m'efforce de pas perdre la main. J'ai appris que c'est le tenancier du bar qui l'a envoyé du coup ça a été mon premier acte de hors-la-loi: je l'ai attendu à la porte de sortie de son tripot de merde, avec ma guitare et j'ai joué toute les musiques que j'avais joué chez lui auparavant, a la note près. Quand il est sorti j'ai attendu que sa tronche de porc se défigure en entendant ma musique et je lui ai aussitôt envoyé un couteau en plein cœur. Je suis devenu traqueur dans l'espoir de recroiser la route de ce bâtard de Prêtre Noir et de toute façons, mon gars, le seul art qui nourrit son homme est l'art culinaire, c'est bien connu..."
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- Portoloups
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Ok, ok, effectivement ça colle de mieux en mieux Mike. Ca me semble même très bien . Un personnage passionné, loin d'être sans sens moral, mais néanmoins en quête de vengeance. Précipité de l'autre côté de la ligne par les préjugés et la haine gratuite dont ont fait les frais ceux qui étaient chers à son coeur, a-t'il encore le choix ?
Tiens, je ne sais pas si tu as déjà une idée de photo pour ton personnage, mais je suis tombé sur cette photo, en guise d'inspiration :
Celui à la guitare en haut à droite est intéressant (bon, ok, en enlèvant la plaque d'immatriculation au milieu, oui )
Tiens, je ne sais pas si tu as déjà une idée de photo pour ton personnage, mais je suis tombé sur cette photo, en guise d'inspiration :
Celui à la guitare en haut à droite est intéressant (bon, ok, en enlèvant la plaque d'immatriculation au milieu, oui )
Les photos de jeunes gitans jouant de la guitare en habit traditionnel étant plutôt dure à trouver moi je propose:
mon portrait
mon portrait
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- Portoloups
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Comme expliqué dans un des mes précédents messages, tous les joueurs feront par défaut parti de la même bande.
Quelques mots maintenant concernant la bande au sein de laquelle les personnages vont évoluer et sur une partie de son mode de gestion.
Une des idées de cette "campagne" ou plutôt table de Nightprowler 2ième édition sera de faire évoluer le groupe du statut d'un simple gang de quelques membres à celui peut être aussi important qu'une Guilde.
Ce concept de campagne que je vous propose a plusieurs impacts :
> a) Les membres de la bande :
Tous les membres de la bande ne seront pas forcément que des PJ. A terme, il devrait même y avoir potentiellement plus de PNJ que de PJ. Les PJ pourront faire appel aux PNJ sur les coups qu'ils vont monter. Il n'est toutefois pas possible de réquisitionner toutes les ressources du gang en même temps. Un partie de ses membres est en effet nécessaire pour faire fonctionner les activités courantes. Dans la pratique, c'est le PJ disposant du plus d'Influence au sein de la bande qui déterminera combien de PNJ pourront être réquisitionnés. La règle sur l'Influence vous sera détaillée dans un prochain post.
> b) La direction de la bande :
"Tout bon gang doit avoir un chef de gang". Oui mais non.
Du moins pas exactement. Avoir un chef de gang PJ n'est pas possible du fait du concept de table tournante. D'un autre côté, réserver ce rôle à un PNJ alors que ce sont les PJ qui vont faire grandire la bande ne me convenait pas non plus.
Heureusement pour moi, les 2 révoltes historiques des bandeaux noirs dans la Principauté, bien que matées, ont désormais semées les graines des idées républicaines. Nous considérerons donc que le gang des joueurs s'inspire de ces idées et que sa direction est assurée par un "comité" regroupant tous les PJ et quelques PNJ.
N'hésitez comme d'habitude pas si vous avez des questions ou des idées.
Quelques mots maintenant concernant la bande au sein de laquelle les personnages vont évoluer et sur une partie de son mode de gestion.
Une des idées de cette "campagne" ou plutôt table de Nightprowler 2ième édition sera de faire évoluer le groupe du statut d'un simple gang de quelques membres à celui peut être aussi important qu'une Guilde.
Ce concept de campagne que je vous propose a plusieurs impacts :
> a) Les membres de la bande :
Tous les membres de la bande ne seront pas forcément que des PJ. A terme, il devrait même y avoir potentiellement plus de PNJ que de PJ. Les PJ pourront faire appel aux PNJ sur les coups qu'ils vont monter. Il n'est toutefois pas possible de réquisitionner toutes les ressources du gang en même temps. Un partie de ses membres est en effet nécessaire pour faire fonctionner les activités courantes. Dans la pratique, c'est le PJ disposant du plus d'Influence au sein de la bande qui déterminera combien de PNJ pourront être réquisitionnés. La règle sur l'Influence vous sera détaillée dans un prochain post.
> b) La direction de la bande :
"Tout bon gang doit avoir un chef de gang". Oui mais non.
Du moins pas exactement. Avoir un chef de gang PJ n'est pas possible du fait du concept de table tournante. D'un autre côté, réserver ce rôle à un PNJ alors que ce sont les PJ qui vont faire grandire la bande ne me convenait pas non plus.
Heureusement pour moi, les 2 révoltes historiques des bandeaux noirs dans la Principauté, bien que matées, ont désormais semées les graines des idées républicaines. Nous considérerons donc que le gang des joueurs s'inspire de ces idées et que sa direction est assurée par un "comité" regroupant tous les PJ et quelques PNJ.
N'hésitez comme d'habitude pas si vous avez des questions ou des idées.
- Djez
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- Contact :
Djez en 3 jeux...
Un jeu de rôle : BLACKSAD
Un jeu de société : FLOTILLA
Un jeu vidéo : INDIANA JONES & THE FATE OF ATLANTIS
VISITEZ CHEZ DJEZ !
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- Portoloups
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Gibier de potence !Djez a écrit :Un portrait de Siksitt L'Horloger
...
Je me suis rendu compte que vous manquiez sans doute un peu d'informations concernant les différents peuples humains que l'on peut rencontrer dans les Cités Franches. Voici donc quelques informations. Elles restent assez synthétiques, et surtout axées sur leur physique, mais elles devraient vous aider à vous faire une idée. Si vous désirez des informations complémentaires, n'hésitez comme d'habitude pas à me faire signe !
> Les Uméloriens : peuple dirigeant de la Principauté, descendant de Mélor, peau blanche et cheveux du blond au noir.
> Les Cassars : également fils de Mélor, ils ont retrouvés leur mode de vie d’autrefois. Ils sont divisés, vivent de chasse et de cueillette, parfois de l’agriculture archaïque, et guerroient entre tribus.
> Les Khalers : ils ont la peau mate, marquée par le soleil. Traditionnellement, les hommes portent une djellaba et les femmes de longues robes.
> Les Izganes : la peau blanche et les cheveux noirs, les Izganes sillonnent inlassablement le Monde Connu dans leur village de caravane.
> Les Stövengers : grands et musclés, les yeux verts ou bleus, de longs cheveux blonds ou roux. Marins venus du nord, ils sont facilement reconnaissables et très mal vus (préjugés liés à d'anciennes attaques Stövenger).
> Les Djazars : aussi mal vus que les Stövengers à cause des nombreuses rumeurs venus de leur lointaine patrie, ils ont la peau très foncée, du brun au noir.
> Les Keshites : ils sont le plus mythique de tous les peuples humains au sein des Sept Cités. Leur peau tire sur le jaune cuivré, les cheveux lisses et noirs. Ils est extrêmement rare d'en rencontrer dans la Principauté.
> Enfin n'oublions pas les Solomans. Ce peuple physiquement assez proche des Khalers a mené à plusieurs reprises des guerres et tentatives d'invasions pour s'emparer des Cités Franches. Autant dire qu'ils sont loin d'être les bienvenus, et il est souvent plus rusé pour eux de se faire passer pour des Khalers.
bon c'est décidé je vais faire un Passeur Stövenger. Et c'est son ancien statut de marin qui en fait un bon gars, il connait déjà les personnes louches ac qui marchander pour récupéré et revendre des marchandises...
et il va ressemblé a ça: Kharon dit "le Cardhu"
Sa colle pas trop ac la description physique "type" que tu as fait mais je pense que le personnage reste assez dans l'esprit de cette fière race de combattants
Je t'envoi le BG sous peu...
et il va ressemblé a ça: Kharon dit "le Cardhu"
Sa colle pas trop ac la description physique "type" que tu as fait mais je pense que le personnage reste assez dans l'esprit de cette fière race de combattants
Je t'envoi le BG sous peu...
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
- Portoloups
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Ca me va très bien Stoning. Tous les représentants d'un peuple ne sont pas aussi stéréotypés que ce qui est décrit, encore heureux. Il ne s'agit là que de la physionomie la plus représentative de la race.
On ne trouveras bien sûr jamais de Stövenger bridés (mais ce peut être le cas d'un métis Stövenger - Keshites), mais par contre un Izgane peut être blond par exemple. Donc un Stövenger brun ne me pose aucun souci, d'autant que le look que tu lui a trouvé colle bien je trouve.
Kharon dit "le Cardhu" sera bien son nom ? D'où cela lui vient-il ?
Autre remarque : je te l'ai déjà dit par MP, mais le background que tu lui as inventé me plait bien. N'hésites pas à le poster une fois que tu auras fait tes quelques retouches.
On ne trouveras bien sûr jamais de Stövenger bridés (mais ce peut être le cas d'un métis Stövenger - Keshites), mais par contre un Izgane peut être blond par exemple. Donc un Stövenger brun ne me pose aucun souci, d'autant que le look que tu lui a trouvé colle bien je trouve.
Kharon dit "le Cardhu" sera bien son nom ? D'où cela lui vient-il ?
Autre remarque : je te l'ai déjà dit par MP, mais le background que tu lui as inventé me plait bien. N'hésites pas à le poster une fois que tu auras fait tes quelques retouches.
« Le Cardhu* »? D’où ça me vient? Paye moi une chope pendant comment je te raconte comment ça m’est arrivé…
Ca s’est passé un soir, alors qu’on devait récupérer un chargement de la meilleur eau de vie que tu puisse trouver. Sur le chemin qui devait nous mener sur la côte le vent à commencer a forcir et la tempête menaçait d’arriver a tout moment. Un légère pluie a commencer à tombé lorsqu’on est arrivé avec Nicolass et 1 autre gars qu’on avait recruté depuis que les affaires marchaient pas trop mal, Aha il a pas été déçu de sa 1ière sortie en mers…
Nicolass a allumé un feu, pour qu’on puisse se guider pour le retour et prévenir nos amis, pendant que moi et le gamin on sortais la barque de sa cachette et qu’on la tirait jusqu'à la flotte.
C’était pas la première fois avec Nicolass qu’on utilisaient cet endroit pour les transactions quand la garde surveillait trop notre coin près du port. Un sale coin pour amateur, y a des récifs partout sur 2 lieues mais Nicolass nous avait dégoté un passage, certes pas facile a négocier chargé mais un truc dans nos cordes. Après un voyage mouvementé jusqu’au navire de notre fournisseur habituel le gamin était déjà blanc comme un linge et la pluie était bien là maintenant. L’échange vite réglé pour retourné a terre le plus vite possible, Nicolass a pas voulu prendre le risque de mettre la cargaison dans notre seule barque alors il a acheter le canot de sauvetage du vaisseau. Une bonne idée qu’il a eu se soir là, la petite barque qu’on avait aurait eu toute les peines du monde à retourner jusqu'à la plage avec le lourd chargement d’alcool.
Alors nous voilà repartir dans nos 2 petites coquilles de noix chargé plus qu’il n’est raisonnable face a l’océan qui se déchaîne pour nous envoyé nous fracassé contre les récifs. Nicolass a pris le petit avec lui pour manœuvré notre frêle esquif et je suis monté dans le canot. Avec pour seul point de repère le feu mourant sous les assaut des éléments au loin sur la plage et les lumière du bateau derrière nous le voyage de retour aller être difficile.
Alors que mes compagnons prenez de la distance je m’acharnais a manœuvrer dans leur sillage, la pluie m’aveuglant, une bourrasque plus violente que les autres ma détourné de la passe et ma propulsé contre un récif qui a percé ma coque, mon bateau prenez l’eau… Alors que je tentais de me sortir de ce cauchemars, la mer semblait vouloir m’engloutir en me propulsant sur ses croc acérés qui pointé parfois leurs sombres reflets au creux des vagues. Après une lutte interminable où l’eau montait de plus en plus dans ma barque par des orifices de plus en plus nombreux elle réussi a me jeter contre un énorme roc mais je ne me déclarai pas vaincu, je n’était pas passé par le sang et la mort pour mourir noyé.
Tant bien que mal je me suis accroché a celui qui m’avait jeté a bas, par chance mon canot c’est accroché dans un pic a quelque pas. Après avoir vu que je ne tiendrai pas longtemps face aux vagues j’ai décidé que quitte a mourir autant que sa soit en tenant quelque chose plutôt que d’attendre qu’une lame plus puissante que les autres m’emporte ou que l’épuisement me fasse lâché prise. Alors je devait nager jusqu'à se qui resté de mon canot, je savais que la cargaison était retenu par un filet munie d’une corde si, par chance elle n’avait pas était déjà emporté par les flots. Suite a une nage effrénée pour ma survie j’ai réussi a atteindre mon épave exténué par l’effort. Je me suis attaché avec la corde a la cargaison encore dans le canot afin que la mer ne puisse par me reprendre a nouveau sans songé que le poids pourrait très bien me faire couler si le canot été délogé de son récif. Là j’ai tenté de lancé la corde pour qu’elle s’accroche au roc auquel j’étais accroché. A mainte reprise son poids alourdi par l’eau ma emporté a l’eau mais, miraculeusement, mon canot a encaissé les assauts acharnés des éléments en furie et j’ai donc pu me hissé jusqu'à lui a chaque fois.
Je garde un souvenir flou du temps pendant lequel je lutté avec ma simple ligne pour tenté de muselé cette bête que je distingué seulement par sa grande ombre luisante au travers de la pluie. Quand je finit enfin par accrocher ma corde au sommet et que je me préparé a repartir mon esquif se disloqua dans une craquement sonore. Ce n’est que par un pur instinct de survie que j’ai sauté en m’accrochant avec le peu de force qui me resté a la corde… Quand j’ai enfin ressortie la tête de l’eau le poids de la cargaison toujours accroché a moi ma refait sombré dans les ténèbres. J’ai bien cru que j’allais y resté cette fois mais dans un ultime effort j’ai émergé de cet enfer noir et j’ai enroulé la corde autour du récif pour ensuite m’effondrer…
Le lendemain quand Nicolass ma repêché j’avais dérivé sur une demi-lieue et mon corps était tiraillé entre le poids de la cargaison et mon attache de fortune sur un énorme roc noir a moitié noyer.
Et voilà tu sais pourquoi maintenant on me surnomme "le Cardhu", parce que avec un simple rocher j'ai mis la mer en échec alors qu'elle était bien décidé a me prendre cette nuit là.
*Cardhu: mot clanique stovenger signifiant "rocher noir"
Ca s’est passé un soir, alors qu’on devait récupérer un chargement de la meilleur eau de vie que tu puisse trouver. Sur le chemin qui devait nous mener sur la côte le vent à commencer a forcir et la tempête menaçait d’arriver a tout moment. Un légère pluie a commencer à tombé lorsqu’on est arrivé avec Nicolass et 1 autre gars qu’on avait recruté depuis que les affaires marchaient pas trop mal, Aha il a pas été déçu de sa 1ière sortie en mers…
Nicolass a allumé un feu, pour qu’on puisse se guider pour le retour et prévenir nos amis, pendant que moi et le gamin on sortais la barque de sa cachette et qu’on la tirait jusqu'à la flotte.
C’était pas la première fois avec Nicolass qu’on utilisaient cet endroit pour les transactions quand la garde surveillait trop notre coin près du port. Un sale coin pour amateur, y a des récifs partout sur 2 lieues mais Nicolass nous avait dégoté un passage, certes pas facile a négocier chargé mais un truc dans nos cordes. Après un voyage mouvementé jusqu’au navire de notre fournisseur habituel le gamin était déjà blanc comme un linge et la pluie était bien là maintenant. L’échange vite réglé pour retourné a terre le plus vite possible, Nicolass a pas voulu prendre le risque de mettre la cargaison dans notre seule barque alors il a acheter le canot de sauvetage du vaisseau. Une bonne idée qu’il a eu se soir là, la petite barque qu’on avait aurait eu toute les peines du monde à retourner jusqu'à la plage avec le lourd chargement d’alcool.
Alors nous voilà repartir dans nos 2 petites coquilles de noix chargé plus qu’il n’est raisonnable face a l’océan qui se déchaîne pour nous envoyé nous fracassé contre les récifs. Nicolass a pris le petit avec lui pour manœuvré notre frêle esquif et je suis monté dans le canot. Avec pour seul point de repère le feu mourant sous les assaut des éléments au loin sur la plage et les lumière du bateau derrière nous le voyage de retour aller être difficile.
Alors que mes compagnons prenez de la distance je m’acharnais a manœuvrer dans leur sillage, la pluie m’aveuglant, une bourrasque plus violente que les autres ma détourné de la passe et ma propulsé contre un récif qui a percé ma coque, mon bateau prenez l’eau… Alors que je tentais de me sortir de ce cauchemars, la mer semblait vouloir m’engloutir en me propulsant sur ses croc acérés qui pointé parfois leurs sombres reflets au creux des vagues. Après une lutte interminable où l’eau montait de plus en plus dans ma barque par des orifices de plus en plus nombreux elle réussi a me jeter contre un énorme roc mais je ne me déclarai pas vaincu, je n’était pas passé par le sang et la mort pour mourir noyé.
Tant bien que mal je me suis accroché a celui qui m’avait jeté a bas, par chance mon canot c’est accroché dans un pic a quelque pas. Après avoir vu que je ne tiendrai pas longtemps face aux vagues j’ai décidé que quitte a mourir autant que sa soit en tenant quelque chose plutôt que d’attendre qu’une lame plus puissante que les autres m’emporte ou que l’épuisement me fasse lâché prise. Alors je devait nager jusqu'à se qui resté de mon canot, je savais que la cargaison était retenu par un filet munie d’une corde si, par chance elle n’avait pas était déjà emporté par les flots. Suite a une nage effrénée pour ma survie j’ai réussi a atteindre mon épave exténué par l’effort. Je me suis attaché avec la corde a la cargaison encore dans le canot afin que la mer ne puisse par me reprendre a nouveau sans songé que le poids pourrait très bien me faire couler si le canot été délogé de son récif. Là j’ai tenté de lancé la corde pour qu’elle s’accroche au roc auquel j’étais accroché. A mainte reprise son poids alourdi par l’eau ma emporté a l’eau mais, miraculeusement, mon canot a encaissé les assauts acharnés des éléments en furie et j’ai donc pu me hissé jusqu'à lui a chaque fois.
Je garde un souvenir flou du temps pendant lequel je lutté avec ma simple ligne pour tenté de muselé cette bête que je distingué seulement par sa grande ombre luisante au travers de la pluie. Quand je finit enfin par accrocher ma corde au sommet et que je me préparé a repartir mon esquif se disloqua dans une craquement sonore. Ce n’est que par un pur instinct de survie que j’ai sauté en m’accrochant avec le peu de force qui me resté a la corde… Quand j’ai enfin ressortie la tête de l’eau le poids de la cargaison toujours accroché a moi ma refait sombré dans les ténèbres. J’ai bien cru que j’allais y resté cette fois mais dans un ultime effort j’ai émergé de cet enfer noir et j’ai enroulé la corde autour du récif pour ensuite m’effondrer…
Le lendemain quand Nicolass ma repêché j’avais dérivé sur une demi-lieue et mon corps était tiraillé entre le poids de la cargaison et mon attache de fortune sur un énorme roc noir a moitié noyer.
Et voilà tu sais pourquoi maintenant on me surnomme "le Cardhu", parce que avec un simple rocher j'ai mis la mer en échec alors qu'elle était bien décidé a me prendre cette nuit là.
*Cardhu: mot clanique stovenger signifiant "rocher noir"
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
- Portoloups
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Sympa Stoning, merci, j'aime bien ! Bon, avec un background comme celui-ci il va falloir que tu montes un peu tes compétences en natation et en navigation
Pour que les autres appréhendent bien ton personnage, il faudrait que tu postes aussi la première partie de ton background (les deux parties que tu m'as envoyé par MP), à moins que tu ne préfères que cela reste entre nous.
J'ai aussi mis à jour la première page avec vos photos ... et vos avis de recherche (4 Affranchis, pourquoi ne suis-je pas surpris ? Voilà une belle brochette de brigands ma foi !).
@Prêtre : j'ai essayé de faire aussi bien que toi pour les avis de recherche, mais je n'y suis sans conteste pas arrivé. Si tu as un peu de temps pour améliorer ces avis, ce sera avec plaisir.
Pour que les autres appréhendent bien ton personnage, il faudrait que tu postes aussi la première partie de ton background (les deux parties que tu m'as envoyé par MP), à moins que tu ne préfères que cela reste entre nous.
J'ai aussi mis à jour la première page avec vos photos ... et vos avis de recherche (4 Affranchis, pourquoi ne suis-je pas surpris ? Voilà une belle brochette de brigands ma foi !).
@Prêtre : j'ai essayé de faire aussi bien que toi pour les avis de recherche, mais je n'y suis sans conteste pas arrivé. Si tu as un peu de temps pour améliorer ces avis, ce sera avec plaisir.
LOL vi c'était prévu, de toute façon mon perso a un passé marin donc il aura des base et peu etre vi un peu plus en natation vu le BG^^Portoloups a écrit :Sympa Stoning, merci, j'aime bien ! Bon, avec un background comme celui-ci il va falloir que tu montes un peu tes compétences en natation et en navigation
je vais faire encore quelque petite modif sur mon BG et après je mettrais les 2 parties que je t'es envoyé, ya pas vraiment de "partie caché" pour se perso.
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Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
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- Portoloups
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Ne tombe pas. Ne tombe pas. Non ! Ne… tombe… pas…
La goutte de sueur s'immobilise sous mon nez. Le garde, en dessous, ne m’a pas encore vu. Je me retiens au mur, cachée dans le conduit qui descend du toit. La goutte vibre un peu... certainement la tension de mon corps... Bouge ! Va-t-en de là ! va donc te perdre sur ma langue asséchée... Trop tard…
Le temps se ralentit pendant que cette perle d'eau tombe vers lui… s’il me trouve, je suis mort ! Elle finit sa chute sur son épaule. Je retiens mon souffle; il se dandine... un pied... puis l’autre… et finit par reprendre sa ronde. J’attends encore un instant; je reprend mon souffle; J’ai les poumons en feu. J’ai vraiment arrêté de respirer aussi longtemps ?
Je tire une fois sur la corde et sens mes acolytes me donner du mou. Ma descente reprend. Avec agilité, j’atterris dans la pièce sans un bruit, nimbée de la seule lueur rouge de la lune. Lune rouge ? Hé hé, cet elfe de Niall dirait que c’est un mauvais présage.
« Il » est posé là, tout près. Je m’approche précautionneusement de ce coffre en bois noir précieux que Bartoleno, notre chef, nous a ordonné de voler. Presque religieusement, je le prends dans mes bras… Atch ! Il pèse son poids !
Je tire deux fois sur la corde pour être remonté, mais elle tombe un peu plus à côté de moi… pfff… comment voulez-vous travailler dans ces conditions ?
« ALERTE !!! »
Putain ! Je vais finir par croire que ce crétin d’elfe avait raison…
La goutte de sueur s'immobilise sous mon nez. Le garde, en dessous, ne m’a pas encore vu. Je me retiens au mur, cachée dans le conduit qui descend du toit. La goutte vibre un peu... certainement la tension de mon corps... Bouge ! Va-t-en de là ! va donc te perdre sur ma langue asséchée... Trop tard…
Le temps se ralentit pendant que cette perle d'eau tombe vers lui… s’il me trouve, je suis mort ! Elle finit sa chute sur son épaule. Je retiens mon souffle; il se dandine... un pied... puis l’autre… et finit par reprendre sa ronde. J’attends encore un instant; je reprend mon souffle; J’ai les poumons en feu. J’ai vraiment arrêté de respirer aussi longtemps ?
Je tire une fois sur la corde et sens mes acolytes me donner du mou. Ma descente reprend. Avec agilité, j’atterris dans la pièce sans un bruit, nimbée de la seule lueur rouge de la lune. Lune rouge ? Hé hé, cet elfe de Niall dirait que c’est un mauvais présage.
« Il » est posé là, tout près. Je m’approche précautionneusement de ce coffre en bois noir précieux que Bartoleno, notre chef, nous a ordonné de voler. Presque religieusement, je le prends dans mes bras… Atch ! Il pèse son poids !
Je tire deux fois sur la corde pour être remonté, mais elle tombe un peu plus à côté de moi… pfff… comment voulez-vous travailler dans ces conditions ?
« ALERTE !!! »
Putain ! Je vais finir par croire que ce crétin d’elfe avait raison…
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Un petit appel pour toutes les personnes qui auraient envie de tester Nightprowler 2 mais qui ne seraient sont pas encore lancés :
Cette table n'est pas limitée à 5 joueurs. Elle fonctionne plus sur un mode de type "mercenariat" qui permet d'avoir un groupe de joueurs tournant sur la table.
Ceci permet de participer à la campagne sans avoir forcément à être présent à toutes les parties. On peut même ne participer qu'à une seule partie test à ce titre. Les joueurs avec lesquels vous jouerez ne seront pas forcément toujours les mêmes.
Seules limitations : le nombre maximum de joueurs par partie (comme classiquement), et le fait que les joueurs n'ayant pas encore découvert le monde sont prioritaires.
Les rues de Samarande et Béjofa n'attendent plus que vous
Cette table n'est pas limitée à 5 joueurs. Elle fonctionne plus sur un mode de type "mercenariat" qui permet d'avoir un groupe de joueurs tournant sur la table.
Ceci permet de participer à la campagne sans avoir forcément à être présent à toutes les parties. On peut même ne participer qu'à une seule partie test à ce titre. Les joueurs avec lesquels vous jouerez ne seront pas forcément toujours les mêmes.
Seules limitations : le nombre maximum de joueurs par partie (comme classiquement), et le fait que les joueurs n'ayant pas encore découvert le monde sont prioritaires.
Les rues de Samarande et Béjofa n'attendent plus que vous
- Portoloups
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"Avis à la population,
Oyez gentes Dames et gentils Damoiseaux, habitants et néanmoins serviteurs de la Principauté des Sept Citées.
En ce 18ième jour de Mélor, par décision de la Cour Suprême de Samarande, les jugements suivants ont été rendus :
Emilien Brandevinier est reconnu coupable de vol avec agression aggravé sur la personne d’Anthelme de Jiffrezac.
Il sera puni par une peine d’intérêt commun : envoyé à Antalia sur les galères de la marine Princière, il y servira pour les 15 prochaines années.
Par ailleurs, pour palier quelque peu au préjudice moral subit par Sir de Jiffrezac, une confiscation des biens d’Emilien Brandevinier sera effectuée. La vente aux enchères sera intégralement reversée à la famille des de Jiffrezac.
Diane Bagodin est reconnu coupable de haute trahison. Les accusations de connivences avec une nation ennemie, les l'Empire Soloman, et la présomption de délivrance a ceux-ci d’information stratégique par l'accusée ont été retenues. Diane Bagodin n’a en effet pas été en mesure de démontrer que ces accusations étaient fausses. Elle sera mise à mort par pendaison au lever de soleil du 20ième jour de Mélor.
Bénédictin Braorde a été reconnu coupable de malversations lors de la négociation du re-équipement en arme de la caserne de la Flêche d’Argent. Le Tribunal a toutefois été sensible aux arguments de la défense quant à la bien meilleure qualité de ses armes par rapport à celles de son concurrent Abdel Ab’Mhoukris. Son acte n’aurait donc été motivé que par le souci de la préservation des forces de défenses Samariniennes. Le jugement est en délibéré et Bénédiction Braorde devra attendre celui-ci dans sa demeure privée de « Vieille Vigne ».
Le jeune Médard Filetoupier a été reconnu coupable de vol à l’étalage avec récidive. Il purgera une peine de 2 ans dans la prison « Colonel Rostin » de Samarande, aussi surnommée « Prison borgne ».
Mastro Pacolinni a été reconnu coupable de scientifisme et déclaré héréticus par la Sainte Eglise d’Arlam. Ses manipulations pour faire croire au plus grand nombre que l’Oeuvre d’Arlam serait ronde ont été reconnues comme des tentatives de déstabilisation honteuses et sans aucun fondement. Mastro Pacolinni est actuellement en fuite et est recherché par la Milice, appuyé par des forces de la Sainte Inquisition. Une récompense de 50 Couronnes est offerte à quiconque permettra sa capture.
Alexime de Briac a été reconnu innocent dans l'affaire de la mort de deux mendiants le long du canal du Sahar. Sa défense a en effet bien mis en avant l'élan de pitié qui l'a conduit à mettre fin à la vie de tourment et de douleur qui étreignait les malheureux. Libérés de la souffrance, la famine, et la maladie, ils rejoignent Arlam en paix. Autre preuve de l'esprit charitable du Noble Seigneur, si il en fallait, celui a promis qu'il pourvoierait sur ses propres deniers à l'enterrement dans une fosse commune des deux pauvres hères."
Oyez gentes Dames et gentils Damoiseaux, habitants et néanmoins serviteurs de la Principauté des Sept Citées.
En ce 18ième jour de Mélor, par décision de la Cour Suprême de Samarande, les jugements suivants ont été rendus :
Emilien Brandevinier est reconnu coupable de vol avec agression aggravé sur la personne d’Anthelme de Jiffrezac.
Il sera puni par une peine d’intérêt commun : envoyé à Antalia sur les galères de la marine Princière, il y servira pour les 15 prochaines années.
Par ailleurs, pour palier quelque peu au préjudice moral subit par Sir de Jiffrezac, une confiscation des biens d’Emilien Brandevinier sera effectuée. La vente aux enchères sera intégralement reversée à la famille des de Jiffrezac.
Diane Bagodin est reconnu coupable de haute trahison. Les accusations de connivences avec une nation ennemie, les l'Empire Soloman, et la présomption de délivrance a ceux-ci d’information stratégique par l'accusée ont été retenues. Diane Bagodin n’a en effet pas été en mesure de démontrer que ces accusations étaient fausses. Elle sera mise à mort par pendaison au lever de soleil du 20ième jour de Mélor.
Bénédictin Braorde a été reconnu coupable de malversations lors de la négociation du re-équipement en arme de la caserne de la Flêche d’Argent. Le Tribunal a toutefois été sensible aux arguments de la défense quant à la bien meilleure qualité de ses armes par rapport à celles de son concurrent Abdel Ab’Mhoukris. Son acte n’aurait donc été motivé que par le souci de la préservation des forces de défenses Samariniennes. Le jugement est en délibéré et Bénédiction Braorde devra attendre celui-ci dans sa demeure privée de « Vieille Vigne ».
Le jeune Médard Filetoupier a été reconnu coupable de vol à l’étalage avec récidive. Il purgera une peine de 2 ans dans la prison « Colonel Rostin » de Samarande, aussi surnommée « Prison borgne ».
Mastro Pacolinni a été reconnu coupable de scientifisme et déclaré héréticus par la Sainte Eglise d’Arlam. Ses manipulations pour faire croire au plus grand nombre que l’Oeuvre d’Arlam serait ronde ont été reconnues comme des tentatives de déstabilisation honteuses et sans aucun fondement. Mastro Pacolinni est actuellement en fuite et est recherché par la Milice, appuyé par des forces de la Sainte Inquisition. Une récompense de 50 Couronnes est offerte à quiconque permettra sa capture.
Alexime de Briac a été reconnu innocent dans l'affaire de la mort de deux mendiants le long du canal du Sahar. Sa défense a en effet bien mis en avant l'élan de pitié qui l'a conduit à mettre fin à la vie de tourment et de douleur qui étreignait les malheureux. Libérés de la souffrance, la famine, et la maladie, ils rejoignent Arlam en paix. Autre preuve de l'esprit charitable du Noble Seigneur, si il en fallait, celui a promis qu'il pourvoierait sur ses propres deniers à l'enterrement dans une fosse commune des deux pauvres hères."
Mon histoire commence comme celle des autres enfants de ma patrie, sur le pont glacial d’un bateau secoué par les vagues de la haute mer. Quand on veut être un homme chez nous il faut savoir navigué, mais quel connerie.
Se soir là on devait soit disant attaquer un petit village sans défense sur la côte da la Principauté au nord de Ralaar, moi et 4 autres garçons ont été là pour notre passage a l’âge adulte, dans la violence le sang et la mort, comme le veux la tradition de notre tribu… Je me souviens encore de mon père me dire « tu va voir quand on rentrera tu pourra enfin monté cette pucelle que tu regarde tant, car en rentrant mon fils tu sera un homme », je ne suis jamais rentré… et lui non plus.
Un des notre nous avais tout simplement vendu, quand nous avons silencieusement investi le village un cor a raisonner et d’un coup les portes d’un quinzaine de cahute se sont ouvertes a la volé. Alors que de nombreux gardes en armure se déversé dans les rues pour tailler en pièce nos hommes, la retraite été lancé. Jamais je n’aurai cru capable mon ancien camarade Narach de courir aussi vite même pour sauver sa peau. Malheureusement cela ne lui servi pas a grand chose. Prévenu de notre arrivé les gardes nous avaient tous de suite barré toutes chance de retraite jusqu’au navire. Narach fut un des premiers a s’en rendre compte. Alors qu’il tournait a l’angle d’une rue pour disparaître, je vis son corps propulsé en arrière, son corps désarticulé vint finir sa course contre le mur d’une maisonnette, un carreau profondément enfoncé dans sa poitrine.
A cet instant j’ai fait demi tour mais les garde nous encerclé, alors j’ai fait se que tout gosse aurai fait a ma place. Je me suit caché dans un trou, je me suit recroquevillé autant que je pouvait dans mon abri de fortune et j’ai fermé les yeux en espérant que ce n’était qu’un cauchemar. Malheureusement, quand je suit revenu a moi le cauchemar était bien réel. Les villageois célébré leurs victoire en buvant et mangeant alors que plus loin on brûlé les cadavres de ma famille, mes amis… Et attablé avec eux, à célébré leur victoire, le traître Faken vidai chope sur chope. C’est a cet instant je crois que mon esprit est devenu fou. Cet homme devait mourir pour venger ma frère mais pour un simple gamin cela risquai d’être plutôt dur.
J’ai attendu la nuit pour sortir de ma cachette, je suis aller me recueillir près du corps de mes ancien camarade et ainsi leur garantir le passage dans l’au-delà. Ensuite je me suis occupé de Faken… L’ivrogne était tellement saoul qu’il ne m’a même pas reconnu quand je lui ai soigneusement coupé la langue, je n’avais jamais imaginé qu’un petit bout de corps pouvait saigné autant, après qu’il est tenté de ramper vers la porte pour appelé de l’aide je l’ai attaché a son lit. Cet enflure avait réussi a avoir un sauf-conduit jusqu'à Samarande pour notre capture ainsi qu’un joli paquet de pognon. Je le corrigé encore une fois pour me passé les nerfs a cette découverte quand des voix a l’extérieure se rapprocher, puis toqué a la porte de sa cahute. Le moment d’en finir était arrivé. AHAHAHA je vois encore son regard suppliant quand je me suis emparé de la lampe à l’huile, un regard de chien qui supplie qu’on l’épargne… 15 seconde plus tard la maison était en feu et les cries de Faken étaient tous simplement inaudible pour les villageois mais moi il m’ont bercé jusqu'à se que je soit entré dans les bois proche pour me dirigé vers Samarande, le seul endroit où je puisse aller…
Se soir là l’enfant que j’étais est mort pour laisser sa place a l’homme que je suis devenu....
La suite de l'histoire dans un future proche
Se soir là on devait soit disant attaquer un petit village sans défense sur la côte da la Principauté au nord de Ralaar, moi et 4 autres garçons ont été là pour notre passage a l’âge adulte, dans la violence le sang et la mort, comme le veux la tradition de notre tribu… Je me souviens encore de mon père me dire « tu va voir quand on rentrera tu pourra enfin monté cette pucelle que tu regarde tant, car en rentrant mon fils tu sera un homme », je ne suis jamais rentré… et lui non plus.
Un des notre nous avais tout simplement vendu, quand nous avons silencieusement investi le village un cor a raisonner et d’un coup les portes d’un quinzaine de cahute se sont ouvertes a la volé. Alors que de nombreux gardes en armure se déversé dans les rues pour tailler en pièce nos hommes, la retraite été lancé. Jamais je n’aurai cru capable mon ancien camarade Narach de courir aussi vite même pour sauver sa peau. Malheureusement cela ne lui servi pas a grand chose. Prévenu de notre arrivé les gardes nous avaient tous de suite barré toutes chance de retraite jusqu’au navire. Narach fut un des premiers a s’en rendre compte. Alors qu’il tournait a l’angle d’une rue pour disparaître, je vis son corps propulsé en arrière, son corps désarticulé vint finir sa course contre le mur d’une maisonnette, un carreau profondément enfoncé dans sa poitrine.
A cet instant j’ai fait demi tour mais les garde nous encerclé, alors j’ai fait se que tout gosse aurai fait a ma place. Je me suit caché dans un trou, je me suit recroquevillé autant que je pouvait dans mon abri de fortune et j’ai fermé les yeux en espérant que ce n’était qu’un cauchemar. Malheureusement, quand je suit revenu a moi le cauchemar était bien réel. Les villageois célébré leurs victoire en buvant et mangeant alors que plus loin on brûlé les cadavres de ma famille, mes amis… Et attablé avec eux, à célébré leur victoire, le traître Faken vidai chope sur chope. C’est a cet instant je crois que mon esprit est devenu fou. Cet homme devait mourir pour venger ma frère mais pour un simple gamin cela risquai d’être plutôt dur.
J’ai attendu la nuit pour sortir de ma cachette, je suis aller me recueillir près du corps de mes ancien camarade et ainsi leur garantir le passage dans l’au-delà. Ensuite je me suis occupé de Faken… L’ivrogne était tellement saoul qu’il ne m’a même pas reconnu quand je lui ai soigneusement coupé la langue, je n’avais jamais imaginé qu’un petit bout de corps pouvait saigné autant, après qu’il est tenté de ramper vers la porte pour appelé de l’aide je l’ai attaché a son lit. Cet enflure avait réussi a avoir un sauf-conduit jusqu'à Samarande pour notre capture ainsi qu’un joli paquet de pognon. Je le corrigé encore une fois pour me passé les nerfs a cette découverte quand des voix a l’extérieure se rapprocher, puis toqué a la porte de sa cahute. Le moment d’en finir était arrivé. AHAHAHA je vois encore son regard suppliant quand je me suis emparé de la lampe à l’huile, un regard de chien qui supplie qu’on l’épargne… 15 seconde plus tard la maison était en feu et les cries de Faken étaient tous simplement inaudible pour les villageois mais moi il m’ont bercé jusqu'à se que je soit entré dans les bois proche pour me dirigé vers Samarande, le seul endroit où je puisse aller…
Se soir là l’enfant que j’étais est mort pour laisser sa place a l’homme que je suis devenu....
La suite de l'histoire dans un future proche
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
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Je commence à avoir une bonne idée de vos personnages. Cela va grandement m'aider à vous préparer des aventures plus personnalisées.
Daemon, Docteur Huygues, il ne manque plus que les backgrounds de vos personnages. Avez-vous pu avancer ou bloquez-vous sur certains points? J'essaye de poster de temps à autres des textes d'ambiance, pour permettre de mieux appréhender le monde de Nightprowler. Ils peuvent aussi éventuellement vous servir d'inspiration. En tout cas si vous bloquez sur un point de contexte ou autre, faites-moi signe.
Dès qu'un créneau propice se libère un vendredi soir un ou samedi soir de semaine A ou C (pas en semaine B, je suis déjà pris sur Kuro, sauf empêchement), je proposerai une partie. Donc autant que vos personnages soient prêts dans l'idée, et qu'il ne nous reste qu'à les finaliser sur le papier.
Stoning, pense de ton côté à poster la fin du récit pour Kharon dit "le Cardhu"
Daemon, Docteur Huygues, il ne manque plus que les backgrounds de vos personnages. Avez-vous pu avancer ou bloquez-vous sur certains points? J'essaye de poster de temps à autres des textes d'ambiance, pour permettre de mieux appréhender le monde de Nightprowler. Ils peuvent aussi éventuellement vous servir d'inspiration. En tout cas si vous bloquez sur un point de contexte ou autre, faites-moi signe.
Dès qu'un créneau propice se libère un vendredi soir un ou samedi soir de semaine A ou C (pas en semaine B, je suis déjà pris sur Kuro, sauf empêchement), je proposerai une partie. Donc autant que vos personnages soient prêts dans l'idée, et qu'il ne nous reste qu'à les finaliser sur le papier.
Stoning, pense de ton côté à poster la fin du récit pour Kharon dit "le Cardhu"
Après mon arrivée a Samarande et mettre fait dépouillé et laissé pour mort dans une ruelle sombre quand 3 types me sont tombé dessus à ma sortie d’un bordel j’ai pas mal erré. J’ai enchaîné les petits boulots, mais y a pas grand monde qui accepte qu’un fils d’ancien ennemi travail chez eux, il te regarde du coin de l’œil, on la peur au ventre dès que tu hausse la voix et te jette de chez eux, avec l’appui de la garde si tu décampe pas assez vite…quel bande de facho tous ces gars…
Et puis, un jours, il a bien fallu que la situation empire. J’étais retourné a la rue depuis pas mal de temps et le besoin était devenu très grand… J’ai appris un peu par hasard que, sur le port, les navires stovengers devenez plus régulier et plus chargé. L’envi de rentré chez moi fut grande mais le destin en a voulu autrement. Quand enfin un nouveau navire des miens se présenta je cherchai tout de suite a avoir des nouvelles de ma famille… Un ancien camarade de mon père était a bord et il me désigna rapidement a son capitaine et les voyants sortir leur armes et se dirigé a grand pas vers moi j’ai vite compris qu’il ferai mieux déguerpir en vitesse. Plus tard j’appris que Faken n’avait pas agis seul et que son complice, Torrk « le Tourmenteur », était activement a ma poursuite pour me faire écarteler.
Néanmoins certains de mes frères furent plus malin que lui, et me voyant cherché désespérément un moyen de survivre m’en on proposé un…La contrebande.
Je m’en rappel comme si c’était hier encore, le capitaine Yarn dit « le Tranchelard » et crois moi on parle pas de viande là… Bref se grand type se pointe vers moi a l’auberge et m’offre un vers. Au départ je le sentais pas, 2 autres types nous observais du coin de l’œil ou plutôt observais Yarn. Le bonhomme là il me propose du travail, risqué mais plutôt bien payer mais s’est tous de suite et la dessus il me sort de sa poche 10 couronnes. J’ai dit oui en même temps que je faisait disparaître les pièce qui aller attiré des 2 autres. Quelques minute plus tard on est sorti et on a pris la direction du port. Là Yarn ma embarqué dans une ruelle et ma mis un glaive de chez nous dans la main et m’a dit « ya 2 types qui vont arrivé dans quelque instant si tu arrive a tant sortir je t’embauche a plein temps », tu parle d’un boulot. Quand les types se sont pointé le premier avait déjà le crane en 2 avant que l’autre ai pu réagir, par contre le 2ième à été plus costaud j’ai faillit y perdre mon œil mais j’ai finit par le laissé dans le caniveau.
Après Yarn ma présenté a un ami a lui, Nicolass en lui disant de me prendre avec lui pour son boulot. Le lendemain soir je déchargé des caisses de son navire en pleine nuit et sans lumière pour les stocker dans un entrepôt souterrain, et les livrer a différents fournisseurs à prix réduit, plus notre petite commission, dans toute la ville et même parfois en dehors qui eux bien sûr faisait une marge de bénéfices très intéressante…
Nicolass m’enseigné les ficelles du métier et moi j’assuré ses arrières en cas de souci ou qu’un gars voulait pas payer la sommes convenu. On s’arrangeait comme ça et sa nous aller bien. Jusqu’au jour où là c’est pas un petit vaurien qui a essayer de doubler Nicolass mais un garde qui avez décidé d’augmenté sa cotisation déjà pourtant salé. Et quand Nicolass la envoyé se faire foutre ça a dégénéré. Je me souviens encore d’égorgé se sale proc qui voulais se vautré dans notre argent gagné a force d’insomnie et de marche forcé. Mais la garde était a nos trousse et avec son cadavre étalé au milieu de la rue elle avait pas l’intention de nous lacher. Nicalass c’est cloué par carreau entre les omoplates et j’ai finit dans l’enfer qu’ils appellent prison avec quelque coup de fouet en prime.
La dedans j’ai pu survivre grâce a des frères déjà enfermé dans cet enfer et qui connaissaient assez « Tranchelard » pour savoir pourquoi j’étais arrivé ici. Même si parfois quand je m’endors j’entend encore les hurlements qui venaient des tréfonds de ce donjon je peut dire que j’en suis sorti et que quand mes frère sortirons ils pourront trouvé quelqu’un qui pourra les aider autant qu’ils l’ont fait pour moi.
Et puis, un jours, il a bien fallu que la situation empire. J’étais retourné a la rue depuis pas mal de temps et le besoin était devenu très grand… J’ai appris un peu par hasard que, sur le port, les navires stovengers devenez plus régulier et plus chargé. L’envi de rentré chez moi fut grande mais le destin en a voulu autrement. Quand enfin un nouveau navire des miens se présenta je cherchai tout de suite a avoir des nouvelles de ma famille… Un ancien camarade de mon père était a bord et il me désigna rapidement a son capitaine et les voyants sortir leur armes et se dirigé a grand pas vers moi j’ai vite compris qu’il ferai mieux déguerpir en vitesse. Plus tard j’appris que Faken n’avait pas agis seul et que son complice, Torrk « le Tourmenteur », était activement a ma poursuite pour me faire écarteler.
Néanmoins certains de mes frères furent plus malin que lui, et me voyant cherché désespérément un moyen de survivre m’en on proposé un…La contrebande.
Je m’en rappel comme si c’était hier encore, le capitaine Yarn dit « le Tranchelard » et crois moi on parle pas de viande là… Bref se grand type se pointe vers moi a l’auberge et m’offre un vers. Au départ je le sentais pas, 2 autres types nous observais du coin de l’œil ou plutôt observais Yarn. Le bonhomme là il me propose du travail, risqué mais plutôt bien payer mais s’est tous de suite et la dessus il me sort de sa poche 10 couronnes. J’ai dit oui en même temps que je faisait disparaître les pièce qui aller attiré des 2 autres. Quelques minute plus tard on est sorti et on a pris la direction du port. Là Yarn ma embarqué dans une ruelle et ma mis un glaive de chez nous dans la main et m’a dit « ya 2 types qui vont arrivé dans quelque instant si tu arrive a tant sortir je t’embauche a plein temps », tu parle d’un boulot. Quand les types se sont pointé le premier avait déjà le crane en 2 avant que l’autre ai pu réagir, par contre le 2ième à été plus costaud j’ai faillit y perdre mon œil mais j’ai finit par le laissé dans le caniveau.
Après Yarn ma présenté a un ami a lui, Nicolass en lui disant de me prendre avec lui pour son boulot. Le lendemain soir je déchargé des caisses de son navire en pleine nuit et sans lumière pour les stocker dans un entrepôt souterrain, et les livrer a différents fournisseurs à prix réduit, plus notre petite commission, dans toute la ville et même parfois en dehors qui eux bien sûr faisait une marge de bénéfices très intéressante…
Nicolass m’enseigné les ficelles du métier et moi j’assuré ses arrières en cas de souci ou qu’un gars voulait pas payer la sommes convenu. On s’arrangeait comme ça et sa nous aller bien. Jusqu’au jour où là c’est pas un petit vaurien qui a essayer de doubler Nicolass mais un garde qui avez décidé d’augmenté sa cotisation déjà pourtant salé. Et quand Nicolass la envoyé se faire foutre ça a dégénéré. Je me souviens encore d’égorgé se sale proc qui voulais se vautré dans notre argent gagné a force d’insomnie et de marche forcé. Mais la garde était a nos trousse et avec son cadavre étalé au milieu de la rue elle avait pas l’intention de nous lacher. Nicalass c’est cloué par carreau entre les omoplates et j’ai finit dans l’enfer qu’ils appellent prison avec quelque coup de fouet en prime.
La dedans j’ai pu survivre grâce a des frères déjà enfermé dans cet enfer et qui connaissaient assez « Tranchelard » pour savoir pourquoi j’étais arrivé ici. Même si parfois quand je m’endors j’entend encore les hurlements qui venaient des tréfonds de ce donjon je peut dire que j’en suis sorti et que quand mes frère sortirons ils pourront trouvé quelqu’un qui pourra les aider autant qu’ils l’ont fait pour moi.
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
- Portoloups
- Ancien membre du NPQ
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- Enregistré le : 25 juil. 2009, 11:37
- Localisation : Rueil Malmaison (92500) - France
Merci beaucoup pour la suite du background de Kharon, Stoning. Il va falloir qu'on rediscute ensemble de ton personnage. Je pense lui laisser une ou deux combines en poche pour faire transiter (parfois) plus facilement certaines marchandises en ville. Bien sûr, tout ceci aura une contrepartie. La vie dans les citées franches n'est pas facile quand on est dans les rues ...
D'ailleurs en parlant de la rue ...
Ouais gamin, la vie, c’est moche... La pauvreté, c’est une maladie, mon gars... Une fois que tu l’as chopé, tu t’en débarrasses jamais. Elle te colle à la peau, elle te ronge les poches.
Ouais, je sais, toi tu vas guérir...
La pègre. C’est quoi tu crois ? Des gens qui passent leur temps à rien foutre et profitent du travail des autres ? C’est vrai. Mais si tu veux pas qu’un autre te pique ta place, tu devras toujours avoir un oeil devant sur tes ennemis, un oeil derrière sur tes amis et un oeil de côté sur ceux que t’as pas encore foutu dans une catégories...
T’as trois yeux, toi. Ouais gamin, je sais...
Les Familles ? Entre les Félins qui joueront avec toi comme un chat avec une putain de souris, les Izganes qui sont rien que des pourris de voleurs qui te piqueront ton dernier écu, les Gouris qui feront écrouler ta baraque et ces sorciers de Thaumaturges qui t’enverront leurs démons aux trousses, franchement, tu dois choisir entre la peste et le choléra... Avant, y’avait les anciens. Mais ils se sont fait buter...
Tu vas faire ta famille à toi ! C’est ça gamin, c’est ça...
Et la justice ? T’en entendra jamais parler. Sauf au pire moment. Un jour, ils seront là. Parce que quelqu’un t’aura balancé. Et ils te coinceront et t’enverront pourrir dans un cul-de-fosse où tu verras plus jamais la lumière du jour...
Je sais gamin, tu cours vite et ils t’auront jamais...
Et si t’as survécu à tout cela... Ben tu seras pas beaucoup plus loin. Tu seras pas riche, t’auras tout dépensé pour éviter les emmerdes. Ou pour les femmes, si tu as de la chance... T’auras mal aux articulations à force de dormir dans des trous pourris. Tu sentiras déjà sur ta nuque le souffle de la camarde et tu pourras pas t’empêcher de penser à tous ceux dont tu as croisé la route et qui t’attendent déjà au purgatoire d’Arlam...
Mais toi, tu seras riche, hein gamin...
Des jeunes cons viendront t’emmerder constamment. Certains voudront même te pointer parce qu’on leur a raconté que t’avait un magot planqué quelque part et que si tu buvais de la piquette, c’était pour donner le change. Ou alors, un petit morveux viendra "pour apprendre" mais il pourra pas s’empêcher de croire qu’il en sait déjà plus que toi...
Un peu comme toi, hein, gamin... Mais voilà, la vie, c’est moche... T’es là allongé par terre, mort et les tripes à l’air et pour la première fois depuis que t’es venu me voir, tu m’écoutes sans m’interrompre...
D'ailleurs en parlant de la rue ...
Ouais gamin, la vie, c’est moche... La pauvreté, c’est une maladie, mon gars... Une fois que tu l’as chopé, tu t’en débarrasses jamais. Elle te colle à la peau, elle te ronge les poches.
Ouais, je sais, toi tu vas guérir...
La pègre. C’est quoi tu crois ? Des gens qui passent leur temps à rien foutre et profitent du travail des autres ? C’est vrai. Mais si tu veux pas qu’un autre te pique ta place, tu devras toujours avoir un oeil devant sur tes ennemis, un oeil derrière sur tes amis et un oeil de côté sur ceux que t’as pas encore foutu dans une catégories...
T’as trois yeux, toi. Ouais gamin, je sais...
Les Familles ? Entre les Félins qui joueront avec toi comme un chat avec une putain de souris, les Izganes qui sont rien que des pourris de voleurs qui te piqueront ton dernier écu, les Gouris qui feront écrouler ta baraque et ces sorciers de Thaumaturges qui t’enverront leurs démons aux trousses, franchement, tu dois choisir entre la peste et le choléra... Avant, y’avait les anciens. Mais ils se sont fait buter...
Tu vas faire ta famille à toi ! C’est ça gamin, c’est ça...
Et la justice ? T’en entendra jamais parler. Sauf au pire moment. Un jour, ils seront là. Parce que quelqu’un t’aura balancé. Et ils te coinceront et t’enverront pourrir dans un cul-de-fosse où tu verras plus jamais la lumière du jour...
Je sais gamin, tu cours vite et ils t’auront jamais...
Et si t’as survécu à tout cela... Ben tu seras pas beaucoup plus loin. Tu seras pas riche, t’auras tout dépensé pour éviter les emmerdes. Ou pour les femmes, si tu as de la chance... T’auras mal aux articulations à force de dormir dans des trous pourris. Tu sentiras déjà sur ta nuque le souffle de la camarde et tu pourras pas t’empêcher de penser à tous ceux dont tu as croisé la route et qui t’attendent déjà au purgatoire d’Arlam...
Mais toi, tu seras riche, hein gamin...
Des jeunes cons viendront t’emmerder constamment. Certains voudront même te pointer parce qu’on leur a raconté que t’avait un magot planqué quelque part et que si tu buvais de la piquette, c’était pour donner le change. Ou alors, un petit morveux viendra "pour apprendre" mais il pourra pas s’empêcher de croire qu’il en sait déjà plus que toi...
Un peu comme toi, hein, gamin... Mais voilà, la vie, c’est moche... T’es là allongé par terre, mort et les tripes à l’air et pour la première fois depuis que t’es venu me voir, tu m’écoutes sans m’interrompre...
- Pretre
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- Localisation : Cité Sainte d'Avignon
Mon père m’avait toujours dit : « Fiston, la prison est un mal nécessaire dans notre métier. Il te faut l’accepter, et profiter de cette expérience. De toute manière, on sort toujours grandit de ce type d’obstacle. La prison te rend plus fort… même si elle laisse aussi toujours son empreinte, sa marque indélébile dans ton âme. »
Je n’avais jamais vraiment compris ce qu’il voulait dire par là. Mais maintenant je le sais…
Avant tout il faut que je vous dise comment et surtout pourquoi j’ai pu me retrouver embarqué dans cette galère. Car avant tout passage en prison, il y a forcément un moment où le karma vous a quitté. Et franchement ce soir là, Arlam avait du vouloir me faire payer mes « péchés ».
Avec quelques gars on devait se faire une petite sortie tranquille. Tout avait été prévu, cela semblait pour ainsi dire être une promenade de santé. Mais voilà encore la preuve que rien n’est acquis dans notre métier. Que cela nous serve de leçon.
Nous devions simplement pénétrer chez un des bijoutiers de la belle ville de Samarande, afin de lui dérober sa dernière cargaison. Un magnifique joyau d’au moins 60 carats. Le plan était simple : je devais passer par les toits afin d’entrer par le bureau et redescendre ouvrir à « Binocle » notre serrurier, pendant que « Monstre » un énorme barbare humain, et « Sonneur » mon meilleur ami Gouri faisaient le gué.
C’est ainsi que je me suis retrouvé sous une pluie battante, et des toits glissants, parcourant la ville de Samarande. Ombre blanche dans une nuit noire, mais pourtant aussi discret qu’un spectre.
Arrivé au bout du toit, il ne me restait plus qu’à sauter les quelques 6 mètres qui me séparaient de ma cible. On m’avait pourtant prévenu que la distance était grande, mais j’ai le malheureux défaut de ne croire que ce que je vois et de comment dire … hum … être un peu casse-cou pour ne pas dire autre chose. Et là face à cette distance, face à l’obscurité de la ruelle qui se trouvait à 7 mètres en dessous de moi, je me suis demandé si encore une fois, je n’avais pas présumé de mes forces…
Mais que voulez vous, je suis comme cela et on ne me refera pas. J’ai donc pris le recul nécessaire, et j’ai couru de toutes mes forces, et poussé sur mes jambes. Et j’y suis arrivé !! Enfin presque …
Si seulement la pluie n’avait pas rendu l’autre toit encore plus glissant que l’énorme bedaine de Razia la prostitué de « l’Auberge des Sans pensées ». Mais comment pouvait-on payer pour … Argg.
Bon ce n’était pas le moment de penser à ces horreurs, j’étais entrain de tomber vers le vide. D’un rapide retournement du bassin et grâce à mon agilité naturelle et mes griffes, j’ai réussi à me rattraper juste au bord d’une des fenêtres. Seulement j’étais dans une position plutôt gênante. L’un des gardes de la ville se trouvait juste en dessous. Je vous avais prévenu, Arlam a du se pencher sur mon cas ce soir là…
J’ai donc passé de très longues minutes à attendre. Mon cœur battait la chamade. Je le sentais cogner au fond de ma poitrine, me rappelant que j’étais vivant, mais aussi la situation plutôt stressante dans laquelle je me trouvais. Pendant un court instant, j’ai cru qu’il allait lever son regard sur moi, mais il repartit lentement en sifflotant dans la nuit.
C’est les muscles douloureux et les griffes meurtries d’avoir retenu mon poids, que je réussis enfin à me hisser sur le bord de la fenêtre. Elle ne représentait pas un grand obstacle pour moi qui crochetais les serrures avant même de savoir parler. Merci à mes parents pour leur apprentissage de la vie. La suite fut une partie de plaisir. Binocle une fois dans la maison, força le coffre en moins de temps qu’il n’en faut pour que la belle Suzie retire sa robe un soir de spectacle au « Chat ganté ».
Mais ce que nous trouvâmes dans le coffre n’était pas prévu au programme. Un mot laissé à notre attention par « Griffe rouge » cet enfoiré des Félins. Ils avaient ouïe dire de notre petite excursion sur leur territoire, et avaient décidé de nous montrer notre « incompétence », nous laissant aux mains de la justice.
Quel enfoiré !! Si je pouvais m’occuper de son cas…enfin ce n’était pas le moment, il nous fallait fuir le plus vite possible.
« Binocle » était déjà entrain de ranger son matériel, quand nous entendîmes les sifflets d’alarme des gardes, suivit du choc de l’acier contre l’acier. « Monstre » était entré en action. Nous décidâmes donc de fuir par les ruelles. Une fois dans les ruelles, j’indiquais à Binocle de partir vers notre planque la plus proche, pendant que je partais faire une diversion. Je savais qu’il n’avait aucune chance, si nous devions fuir. Il était un très bon cambrioleur, mais ses courtes pattes de nain, le gênaient grandement dans la fuite.
Je pris donc la direction des bruits de combat. Une fois arrivée, je vis « Monstre » au prise avec quatre gardes. Et il arrivait encore à les repousser. Quelle force de la nature !! Sans attendre, je pris une de mes fioles de poivre que j’envoyais au centre de la mêlée. Heureusement, mon compagnon portait toujours son masque. Les gardes furent pris d’une quinte de toux, et c’est les yeux larmoyant, qu’ils virent « Monstre » prendre le large, entrainant « Sonneur » avec lui. Je sentis alors un coup violent à la base de ma nuque, et je m’écroulais regardant mes compagnons s’enfuir. Ma dernière image avant de sombrer fut celle de « Sonneur » s’enfuyant avec son énorme cloche d’église accrochée dans le dos. Le son de cette dernière faisant pendant à la sourde douleur qui envahissait mon crâne.
C’est en prison, que je me réveillais. Entouré de formes sombres et prostrées. De cris, de peines, et de douleurs qui s’écoulaient des sombres cavités dans lesquels nous nous trouvions. J’étais entrain de faire mon baptême du monde des ombres, pour le meilleur et pour le pire.
Mais je ne savais pas encore à quel point ce passage de ma vie allait me marquer à jamais.
Les premiers jours furent difficiles. Je me réveillais la nuit en proie à des cauchemars. Entouré des râles de douleurs, de peur ou pire de plaisir de mes codétenus. Et je restais dans les ténèbres, à essayer de contrôler cette sourde terreur qui envahissait tout mon être. Et puis les choses commencèrent à changer. Je commençais à m’habituer à cette nouvelle vie, profitant de chaque moment pour en faire une nouvelle expérience, un nouvel apprentissage. Et puis la dure réalité de la vie se rappela à moi avec une violence inouïe…
Depuis quelques jours, j’avais des problèmes avec un des matons. Ce dernier avait connu mon père et ce dernier lui avait laissé un souvenir eternel sous la forme d’une belle cicatrice de griffure sur le visage. C’était donc la haine et la colère que je pouvais lire dans son regard à chaque fois qu’il s’approchait de moi et que c’était son jour de travail dans notre quartier. Malheureusement mon caractère grande gueule et impétueux, me joua encore des tours, car à force de ne pas vouloir baisser les yeux, il arriva ce qui devait arriver…
Une nuit, la porte de ma cellule fut ouverte, et avant que j’eu le temps de réagir, je me sentis pris dans une couverture et ceinturé. Je fus conduit de force dans le quartier des Gouris. Je reconnu rapidement à l’odeur caractéristique des proies de mon espèce.
Quand j’entendis la porte se refermer et que je pus enfin retirer la couverture, mon regard se posa sur un des plus énorme Gouri de la création. Son regard torve et plein de concupiscence posé sur moi. Il se lécha les babines, et s’approcha de moi en se caressant ouvertement l’entre jambe. Une sourde terreur m’envahit quand je compris ce que ce monstre des égouts me réservait. Tous mes poils s’hérissèrent et un feulement de terreur sortie alors de ma bouche.
Ce dernier éclata alors de rire et me dis : « mais oui mon Minou, je vais faire de toi mon mignon, tu vas comprendre ce que mon espèce peut apprendre à la tienne et qui est la vraie proie de nous deux. Je vais te faire goûter à ce qui se fait de mieux, et nous verrons qui de nous deux sera la vermine que l’on écrase… »
Et d’une rapidité surhumaine, il se jeta sur moi. Ses membres pourtant lourds et gourds possédaient une force gigantesque et j’eu tout juste la chance de réussir à m’en sortir en mordant de toute mes forces dans la couenne de sa main. Cependant c’est le bras blessé que je me reculais. Il avait réussit à me déchirer un muscle, simplement en tentant de me retenir. Comment allais-je pouvoir m’en sortir ?
Son regard haineux et empli de désir se posa à nouveau sur moi. Il savait que je n’avais aucune échappatoire, et que le garde qui m’avait conduit à lui m’empêcherait probablement de fuir. C’était donc lui ou moi. Sa longue langue rose et rappeuse glissa sur ses lèvres épaisses dans un bruit mouillé. Il se mit à tourner autour de moi en chantonnant une sorte de berceuse. Par Arlam, j’étais clairement en compagnie d’un fou…
Je devais essayer de faire quelque chose. Faisant appel à toute ma rapidité, j’essayai de me jeter sur lui, mais malheureusement mon pied glissa sur un des nombreux étrons qui maculés le sol. Je sentis alors la dureté du sol contre ma mâchoire. Il en profita alors pour se jeter sur moi, et tenta de déchirer le peu de vêtements qui me restaient. Je sentais ses mains avides me parcourir, et son haleine lourde, chaude et fétide envahir mon museau. Son membre turgescent cognait contre ma cuisse.
C’est alors que je réussis à l’attraper et à le serrer de toutes les forces qui me restaient. Sa voix monta d’un seul coup de plusieurs octaves, se transformant en une sorte de couinement aigue. Il tomba à la renverse, mais je réussis à ne pas lâcher ma proie. La peur qui m’avait envahît jusqu’ici se changea alors en une haine profonde et viscérale. Une haine telle que je n’en avais jamais connu… et dans un grognement profond et bestiale, ma nature féline repris son dessus. Profitant de sa faiblesse, je me jetais sur lui, et je lui montrais vraiment qui de nous deux était la proie.
C’est plusieurs dizaines de minutes après, une fois que les cris s’étaient complètement tus que le Garde eu le courage d’ouvrir la porte. Je ne me souviens plus trop de ce qui se passa ensuite. Je sais seulement que jamais plus au cours de ce moment en prison on ne vint me chercher des noises. J’avais gagné le respect du monde de la nuit, mais à quel prix ?
Moi qui depuis tout petit m’opposait aux Félins, je venais d’agir comme eux. Qui étais-je au final ? Cette aventure reste encore en moi, s’écoulant parfois dans mes rêves comme un venin, venant me rappeler ma nature bestiale. Je sais que mes amis Gouris ne m’en veulent pas, et que « Sonneur » a compris mon acte. Mais alors, pourquoi ai-je parfois l’impression de voir dans le regard de certains cette petite lueur de terreur, celle de la proie face à son prédateur ?
Mon père avait raison, on sort toujours grandit d’un passage en prison. Mais il ne m’avait pas dit ce que cela pouvait être douloureux d’entrer dans la cours des grands…
Je n’avais jamais vraiment compris ce qu’il voulait dire par là. Mais maintenant je le sais…
Avant tout il faut que je vous dise comment et surtout pourquoi j’ai pu me retrouver embarqué dans cette galère. Car avant tout passage en prison, il y a forcément un moment où le karma vous a quitté. Et franchement ce soir là, Arlam avait du vouloir me faire payer mes « péchés ».
Avec quelques gars on devait se faire une petite sortie tranquille. Tout avait été prévu, cela semblait pour ainsi dire être une promenade de santé. Mais voilà encore la preuve que rien n’est acquis dans notre métier. Que cela nous serve de leçon.
Nous devions simplement pénétrer chez un des bijoutiers de la belle ville de Samarande, afin de lui dérober sa dernière cargaison. Un magnifique joyau d’au moins 60 carats. Le plan était simple : je devais passer par les toits afin d’entrer par le bureau et redescendre ouvrir à « Binocle » notre serrurier, pendant que « Monstre » un énorme barbare humain, et « Sonneur » mon meilleur ami Gouri faisaient le gué.
C’est ainsi que je me suis retrouvé sous une pluie battante, et des toits glissants, parcourant la ville de Samarande. Ombre blanche dans une nuit noire, mais pourtant aussi discret qu’un spectre.
Arrivé au bout du toit, il ne me restait plus qu’à sauter les quelques 6 mètres qui me séparaient de ma cible. On m’avait pourtant prévenu que la distance était grande, mais j’ai le malheureux défaut de ne croire que ce que je vois et de comment dire … hum … être un peu casse-cou pour ne pas dire autre chose. Et là face à cette distance, face à l’obscurité de la ruelle qui se trouvait à 7 mètres en dessous de moi, je me suis demandé si encore une fois, je n’avais pas présumé de mes forces…
Mais que voulez vous, je suis comme cela et on ne me refera pas. J’ai donc pris le recul nécessaire, et j’ai couru de toutes mes forces, et poussé sur mes jambes. Et j’y suis arrivé !! Enfin presque …
Si seulement la pluie n’avait pas rendu l’autre toit encore plus glissant que l’énorme bedaine de Razia la prostitué de « l’Auberge des Sans pensées ». Mais comment pouvait-on payer pour … Argg.
Bon ce n’était pas le moment de penser à ces horreurs, j’étais entrain de tomber vers le vide. D’un rapide retournement du bassin et grâce à mon agilité naturelle et mes griffes, j’ai réussi à me rattraper juste au bord d’une des fenêtres. Seulement j’étais dans une position plutôt gênante. L’un des gardes de la ville se trouvait juste en dessous. Je vous avais prévenu, Arlam a du se pencher sur mon cas ce soir là…
J’ai donc passé de très longues minutes à attendre. Mon cœur battait la chamade. Je le sentais cogner au fond de ma poitrine, me rappelant que j’étais vivant, mais aussi la situation plutôt stressante dans laquelle je me trouvais. Pendant un court instant, j’ai cru qu’il allait lever son regard sur moi, mais il repartit lentement en sifflotant dans la nuit.
C’est les muscles douloureux et les griffes meurtries d’avoir retenu mon poids, que je réussis enfin à me hisser sur le bord de la fenêtre. Elle ne représentait pas un grand obstacle pour moi qui crochetais les serrures avant même de savoir parler. Merci à mes parents pour leur apprentissage de la vie. La suite fut une partie de plaisir. Binocle une fois dans la maison, força le coffre en moins de temps qu’il n’en faut pour que la belle Suzie retire sa robe un soir de spectacle au « Chat ganté ».
Mais ce que nous trouvâmes dans le coffre n’était pas prévu au programme. Un mot laissé à notre attention par « Griffe rouge » cet enfoiré des Félins. Ils avaient ouïe dire de notre petite excursion sur leur territoire, et avaient décidé de nous montrer notre « incompétence », nous laissant aux mains de la justice.
Quel enfoiré !! Si je pouvais m’occuper de son cas…enfin ce n’était pas le moment, il nous fallait fuir le plus vite possible.
« Binocle » était déjà entrain de ranger son matériel, quand nous entendîmes les sifflets d’alarme des gardes, suivit du choc de l’acier contre l’acier. « Monstre » était entré en action. Nous décidâmes donc de fuir par les ruelles. Une fois dans les ruelles, j’indiquais à Binocle de partir vers notre planque la plus proche, pendant que je partais faire une diversion. Je savais qu’il n’avait aucune chance, si nous devions fuir. Il était un très bon cambrioleur, mais ses courtes pattes de nain, le gênaient grandement dans la fuite.
Je pris donc la direction des bruits de combat. Une fois arrivée, je vis « Monstre » au prise avec quatre gardes. Et il arrivait encore à les repousser. Quelle force de la nature !! Sans attendre, je pris une de mes fioles de poivre que j’envoyais au centre de la mêlée. Heureusement, mon compagnon portait toujours son masque. Les gardes furent pris d’une quinte de toux, et c’est les yeux larmoyant, qu’ils virent « Monstre » prendre le large, entrainant « Sonneur » avec lui. Je sentis alors un coup violent à la base de ma nuque, et je m’écroulais regardant mes compagnons s’enfuir. Ma dernière image avant de sombrer fut celle de « Sonneur » s’enfuyant avec son énorme cloche d’église accrochée dans le dos. Le son de cette dernière faisant pendant à la sourde douleur qui envahissait mon crâne.
C’est en prison, que je me réveillais. Entouré de formes sombres et prostrées. De cris, de peines, et de douleurs qui s’écoulaient des sombres cavités dans lesquels nous nous trouvions. J’étais entrain de faire mon baptême du monde des ombres, pour le meilleur et pour le pire.
Mais je ne savais pas encore à quel point ce passage de ma vie allait me marquer à jamais.
Les premiers jours furent difficiles. Je me réveillais la nuit en proie à des cauchemars. Entouré des râles de douleurs, de peur ou pire de plaisir de mes codétenus. Et je restais dans les ténèbres, à essayer de contrôler cette sourde terreur qui envahissait tout mon être. Et puis les choses commencèrent à changer. Je commençais à m’habituer à cette nouvelle vie, profitant de chaque moment pour en faire une nouvelle expérience, un nouvel apprentissage. Et puis la dure réalité de la vie se rappela à moi avec une violence inouïe…
Depuis quelques jours, j’avais des problèmes avec un des matons. Ce dernier avait connu mon père et ce dernier lui avait laissé un souvenir eternel sous la forme d’une belle cicatrice de griffure sur le visage. C’était donc la haine et la colère que je pouvais lire dans son regard à chaque fois qu’il s’approchait de moi et que c’était son jour de travail dans notre quartier. Malheureusement mon caractère grande gueule et impétueux, me joua encore des tours, car à force de ne pas vouloir baisser les yeux, il arriva ce qui devait arriver…
Une nuit, la porte de ma cellule fut ouverte, et avant que j’eu le temps de réagir, je me sentis pris dans une couverture et ceinturé. Je fus conduit de force dans le quartier des Gouris. Je reconnu rapidement à l’odeur caractéristique des proies de mon espèce.
Quand j’entendis la porte se refermer et que je pus enfin retirer la couverture, mon regard se posa sur un des plus énorme Gouri de la création. Son regard torve et plein de concupiscence posé sur moi. Il se lécha les babines, et s’approcha de moi en se caressant ouvertement l’entre jambe. Une sourde terreur m’envahit quand je compris ce que ce monstre des égouts me réservait. Tous mes poils s’hérissèrent et un feulement de terreur sortie alors de ma bouche.
Ce dernier éclata alors de rire et me dis : « mais oui mon Minou, je vais faire de toi mon mignon, tu vas comprendre ce que mon espèce peut apprendre à la tienne et qui est la vraie proie de nous deux. Je vais te faire goûter à ce qui se fait de mieux, et nous verrons qui de nous deux sera la vermine que l’on écrase… »
Et d’une rapidité surhumaine, il se jeta sur moi. Ses membres pourtant lourds et gourds possédaient une force gigantesque et j’eu tout juste la chance de réussir à m’en sortir en mordant de toute mes forces dans la couenne de sa main. Cependant c’est le bras blessé que je me reculais. Il avait réussit à me déchirer un muscle, simplement en tentant de me retenir. Comment allais-je pouvoir m’en sortir ?
Son regard haineux et empli de désir se posa à nouveau sur moi. Il savait que je n’avais aucune échappatoire, et que le garde qui m’avait conduit à lui m’empêcherait probablement de fuir. C’était donc lui ou moi. Sa longue langue rose et rappeuse glissa sur ses lèvres épaisses dans un bruit mouillé. Il se mit à tourner autour de moi en chantonnant une sorte de berceuse. Par Arlam, j’étais clairement en compagnie d’un fou…
Je devais essayer de faire quelque chose. Faisant appel à toute ma rapidité, j’essayai de me jeter sur lui, mais malheureusement mon pied glissa sur un des nombreux étrons qui maculés le sol. Je sentis alors la dureté du sol contre ma mâchoire. Il en profita alors pour se jeter sur moi, et tenta de déchirer le peu de vêtements qui me restaient. Je sentais ses mains avides me parcourir, et son haleine lourde, chaude et fétide envahir mon museau. Son membre turgescent cognait contre ma cuisse.
C’est alors que je réussis à l’attraper et à le serrer de toutes les forces qui me restaient. Sa voix monta d’un seul coup de plusieurs octaves, se transformant en une sorte de couinement aigue. Il tomba à la renverse, mais je réussis à ne pas lâcher ma proie. La peur qui m’avait envahît jusqu’ici se changea alors en une haine profonde et viscérale. Une haine telle que je n’en avais jamais connu… et dans un grognement profond et bestiale, ma nature féline repris son dessus. Profitant de sa faiblesse, je me jetais sur lui, et je lui montrais vraiment qui de nous deux était la proie.
C’est plusieurs dizaines de minutes après, une fois que les cris s’étaient complètement tus que le Garde eu le courage d’ouvrir la porte. Je ne me souviens plus trop de ce qui se passa ensuite. Je sais seulement que jamais plus au cours de ce moment en prison on ne vint me chercher des noises. J’avais gagné le respect du monde de la nuit, mais à quel prix ?
Moi qui depuis tout petit m’opposait aux Félins, je venais d’agir comme eux. Qui étais-je au final ? Cette aventure reste encore en moi, s’écoulant parfois dans mes rêves comme un venin, venant me rappeler ma nature bestiale. Je sais que mes amis Gouris ne m’en veulent pas, et que « Sonneur » a compris mon acte. Mais alors, pourquoi ai-je parfois l’impression de voir dans le regard de certains cette petite lueur de terreur, celle de la proie face à son prédateur ?
Mon père avait raison, on sort toujours grandit d’un passage en prison. Mais il ne m’avait pas dit ce que cela pouvait être douloureux d’entrer dans la cours des grands…
Modifié en dernier par Pretre le 04 avr. 2010, 17:13, modifié 3 fois.
- Portoloups
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Excellent, comme d'habitude Prêtre. Toutes ces tranches de vies apportent une vraie consistance à vos personnages. Pour moi en tant que conteur, en plus du plaisir de la lecture, c'est une super matière première pour mes scénarios ! Donc merci pour ça aussi.
Il faudra d'ailleurs que tu penses à me parler un peu plus de Sonneur à l'occasion. Vu ton amitié avec lui, il y a de fortes chances qu'il soit de temps en temps en interaction directe avec vous lors d'un scénario, voir peut être même un membre PNJ de votre gang si tu penses que ça peut coller.
Je dois quand même t'avouer que j'ai eu une petite frayeur en lisant le début de cette histoire samedi soir juste avant de venir vous faire l'aventure : le coup du cambriolage où Ombre Blanche était doublé ressemblait diablement à ce que j'avais prévu de te faire en introduction personnalisée au scénario "Double peine". Heureusement, la façon dont tu étais doublé, et le "qui" t'avait doublé, n'était pas le même.
Il va y avoir un point délicat pour toi d'ailleurs maintenant : quelqu'un a entaché ta réputation avec le doute sur le fait que tu ais égorgé cette Emelina Di Caravagio pour t'emparer de sa somptueuse bague. Mais qui voudrait qu'un tel doute plane sur Ombre Blanche ?
PS pour tous : j'ai commencé la mise à jour de la liste des coups en première page. Reste à venir notamment la mise à jour des primes pour vos captures. Aucun doute que votre récent exploit les aura fait monter ! Je vais déterminer de combien.
Il faudra d'ailleurs que tu penses à me parler un peu plus de Sonneur à l'occasion. Vu ton amitié avec lui, il y a de fortes chances qu'il soit de temps en temps en interaction directe avec vous lors d'un scénario, voir peut être même un membre PNJ de votre gang si tu penses que ça peut coller.
Je dois quand même t'avouer que j'ai eu une petite frayeur en lisant le début de cette histoire samedi soir juste avant de venir vous faire l'aventure : le coup du cambriolage où Ombre Blanche était doublé ressemblait diablement à ce que j'avais prévu de te faire en introduction personnalisée au scénario "Double peine". Heureusement, la façon dont tu étais doublé, et le "qui" t'avait doublé, n'était pas le même.
Il va y avoir un point délicat pour toi d'ailleurs maintenant : quelqu'un a entaché ta réputation avec le doute sur le fait que tu ais égorgé cette Emelina Di Caravagio pour t'emparer de sa somptueuse bague. Mais qui voudrait qu'un tel doute plane sur Ombre Blanche ?
PS pour tous : j'ai commencé la mise à jour de la liste des coups en première page. Reste à venir notamment la mise à jour des primes pour vos captures. Aucun doute que votre récent exploit les aura fait monter ! Je vais déterminer de combien.
- Portoloups
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Le mode de fonctionnement du post :
Dans un des tous premiers messages, je vous indiquai que je reviendrai sur le mode de fonctionnement du post de la taverne des 3 singes.
Bien entendu, il s'agit du post sur lequel vous pouvez poser des questions sur Nightprowler 2 et discuter de vos personnages, de leur background, ou encore des aventures que vous avez vécues.
Je m'en sers aussi comme vous l'avez vu pour ajouter de temps en temps des textes d'ambiance ou annonces destinées à vous aider à mieux vous immerger dans le monde.
Mais ce n'est pas tout. Ce sujet a aussi pour vocation de vous permette de monter vos coups de manière role-play avant les parties en elles-mêmes, ou de proposer des développements pour les activités criminelles du gang.
Prenons par exemple la fin du scénario "Double peine". A l'issue de ce scénario, les joueurs ont préféré faire filer à l'anglaise leur personnage d'une situation plutôt trouble dans laquelle ils se sentaient bien jouer le rôle des dindons de la farce. Néanmoins, ils se sont promis de revenir cambrioler cette somptueuse demeure de "Vieille Vigne", mais cette fois selon leurs propres termes.
Et c'est justement là que les discutions doivent s'animer autour d'une chope à la taverne. De manière role-play (vous pouvez utiliser par exemple une couleur spéciale et/ou l'italique pour bien montrer la différence), vos personnages peuvent commencer à échanger entre eux, à faire des propositions, voir aller jusqu'à bien avancer sur l'organisation du coup lui-même. Je prendrai compte de tout cela (et bien sûr ajouterai sans nul doute quelques éléments de ma composition ...) afin de réaliser la mission.
Ce mode de fonctionnement du post de la taverne des 3 singes me permettra ainsi à certains moments de vous proposer des aventures qui seront le reflet direct des combines que vos personnages auront décidés de mettre en place, et non pas uniquement des aventures génériques.
Attention toutefois, je ne pourrai pas vous proposer systématiquement des aventures de ce type, pour plusieurs raisons :
> du fait travail de préparation nécessaire,
> car cette campagne Nightprowler 2 doit rester accessible à tout nouveau joueur du club,
> parce que les one-shot plus génériques représentent aussi les aléas de la vie criminelle de vos PJ, et les propositions imprévues par des commanditaires ayant entendu parler de votre réputation.
Néanmoins, j'essaierai de suivre vos grandes orientations et envies, afin que cette campagne soit avant tout la votre !
Dans un des tous premiers messages, je vous indiquai que je reviendrai sur le mode de fonctionnement du post de la taverne des 3 singes.
Bien entendu, il s'agit du post sur lequel vous pouvez poser des questions sur Nightprowler 2 et discuter de vos personnages, de leur background, ou encore des aventures que vous avez vécues.
Je m'en sers aussi comme vous l'avez vu pour ajouter de temps en temps des textes d'ambiance ou annonces destinées à vous aider à mieux vous immerger dans le monde.
Mais ce n'est pas tout. Ce sujet a aussi pour vocation de vous permette de monter vos coups de manière role-play avant les parties en elles-mêmes, ou de proposer des développements pour les activités criminelles du gang.
Prenons par exemple la fin du scénario "Double peine". A l'issue de ce scénario, les joueurs ont préféré faire filer à l'anglaise leur personnage d'une situation plutôt trouble dans laquelle ils se sentaient bien jouer le rôle des dindons de la farce. Néanmoins, ils se sont promis de revenir cambrioler cette somptueuse demeure de "Vieille Vigne", mais cette fois selon leurs propres termes.
Et c'est justement là que les discutions doivent s'animer autour d'une chope à la taverne. De manière role-play (vous pouvez utiliser par exemple une couleur spéciale et/ou l'italique pour bien montrer la différence), vos personnages peuvent commencer à échanger entre eux, à faire des propositions, voir aller jusqu'à bien avancer sur l'organisation du coup lui-même. Je prendrai compte de tout cela (et bien sûr ajouterai sans nul doute quelques éléments de ma composition ...) afin de réaliser la mission.
Ce mode de fonctionnement du post de la taverne des 3 singes me permettra ainsi à certains moments de vous proposer des aventures qui seront le reflet direct des combines que vos personnages auront décidés de mettre en place, et non pas uniquement des aventures génériques.
Attention toutefois, je ne pourrai pas vous proposer systématiquement des aventures de ce type, pour plusieurs raisons :
> du fait travail de préparation nécessaire,
> car cette campagne Nightprowler 2 doit rester accessible à tout nouveau joueur du club,
> parce que les one-shot plus génériques représentent aussi les aléas de la vie criminelle de vos PJ, et les propositions imprévues par des commanditaires ayant entendu parler de votre réputation.
Néanmoins, j'essaierai de suivre vos grandes orientations et envies, afin que cette campagne soit avant tout la votre !
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Ah oui, elle est très jolie Kraor (ça colle avec son avantage ceci dit ). Est-ce que tu penses lui écrire un petit background ? Cela me permettrai de lui associer quelques combines le plus adaptées à la façon dont tu envisages ton personnage.
Sachant qu'elle n'aura pas fait de passage en prison malgré son statut d'affranchie, je vais aussi te préparer comme convenu un contexte délicat. Il va te falloir jouer serrer dans certaines situations
Sachant qu'elle n'aura pas fait de passage en prison malgré son statut d'affranchie, je vais aussi te préparer comme convenu un contexte délicat. Il va te falloir jouer serrer dans certaines situations
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Pareil que Prêtre, je la voyais plus du genre "Mejaï" ! ^^
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C'est vrai que pour une belle Izgane dans le style de ton personnage, la proposition de Prêtre, à la fois séduisante et loin d'être innocente, est bien vue. A toi de voir Kraor
Je reviens rapidement vers vous concernant les évolutions liées à votre dernière expédition (points d'expérience, mais aussi évolution des prime de capture, modifications de réputation). Je vous proposerai par ailleurs un petit ajout de règle liée aux avis de recherche vous concernant, et le risque d'être reconnu (qui a dit "vendu" ?).
Je reviens rapidement vers vous concernant les évolutions liées à votre dernière expédition (points d'expérience, mais aussi évolution des prime de capture, modifications de réputation). Je vous proposerai par ailleurs un petit ajout de règle liée aux avis de recherche vous concernant, et le risque d'être reconnu (qui a dit "vendu" ?).
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Comme convenu voici un retour sur les avis de recherche et le risque d'être reconnu, pour ne pas dire trahi.
Plus l'avis de recherche est élevé, plus ce risque est bien entendu important.
La règle que je pense retenir est la suivante :
Le risque (sur 1D20) pour un personnage recherché d'être reconnu est égal à 10% (arrondi à l'inférieur) de sa prime de capture.
Ainsi, un personnage dont l'avis de recherche est de 25 Couronnes sera repéré sur un 1 ou un 2 sur 1D20.
Face à un représentant de l'autorité il faut ajouter 2 points à ce risque (donc dans le cas si-dessus sur 1, 2, 3 ou 4) car ils voient régulièrement ces avis de recherche.
Dans une autre Citée, il faut par contre retrancher 4 points à tout habitant.
Cette règle additionnelle représente les difficultés rencontrées par les personnages recherchés. Elle va ainsi les pousser à faire preuve de plus de prudence et aussi à s'appuyer sur des intermédiaires maintenant, eux, un masque de légalité.
La vie serait-elle donc plus facile pour les PJ fonctionnant de cette façon (masque de légalité) ? Pas vraiment. Si leur allers et venues au grand jour ne présentent pas les dangers des criminels recherchés, le risque pour eux est par contre maximum si ils sont pris la main dans le sac. Leurs magouilles et contacts reposent en effet grandement sur leur innocence apparente. Que le voile soit levé et ils perdront tout ou presque. En terme de jeu tous leurs contacts et combines basées un tant soit peu sur la légalité de leur situattion seraient perdues corps et bien.
Enfin, il est aussi difficile pour les criminels connus de développer sur le long terme une relation avec un contact non criminel, que pour un criminel tout en faux-semblants de développer beaucoup ses relations dans le monde criminel.
Voila, n'hésitez pas à me faire part de votre opinion sur ces éléments.
Plus l'avis de recherche est élevé, plus ce risque est bien entendu important.
La règle que je pense retenir est la suivante :
Le risque (sur 1D20) pour un personnage recherché d'être reconnu est égal à 10% (arrondi à l'inférieur) de sa prime de capture.
Ainsi, un personnage dont l'avis de recherche est de 25 Couronnes sera repéré sur un 1 ou un 2 sur 1D20.
Face à un représentant de l'autorité il faut ajouter 2 points à ce risque (donc dans le cas si-dessus sur 1, 2, 3 ou 4) car ils voient régulièrement ces avis de recherche.
Dans une autre Citée, il faut par contre retrancher 4 points à tout habitant.
Cette règle additionnelle représente les difficultés rencontrées par les personnages recherchés. Elle va ainsi les pousser à faire preuve de plus de prudence et aussi à s'appuyer sur des intermédiaires maintenant, eux, un masque de légalité.
La vie serait-elle donc plus facile pour les PJ fonctionnant de cette façon (masque de légalité) ? Pas vraiment. Si leur allers et venues au grand jour ne présentent pas les dangers des criminels recherchés, le risque pour eux est par contre maximum si ils sont pris la main dans le sac. Leurs magouilles et contacts reposent en effet grandement sur leur innocence apparente. Que le voile soit levé et ils perdront tout ou presque. En terme de jeu tous leurs contacts et combines basées un tant soit peu sur la légalité de leur situattion seraient perdues corps et bien.
Enfin, il est aussi difficile pour les criminels connus de développer sur le long terme une relation avec un contact non criminel, que pour un criminel tout en faux-semblants de développer beaucoup ses relations dans le monde criminel.
Voila, n'hésitez pas à me faire part de votre opinion sur ces éléments.
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Suite à votre aventure "Double peine", voici les quelques conséquences dont vous avez connaissance :
1) Les avis de recherche de Siksitt l'Horloger, Ombre Blanche et Kilian le jeune sont passées de 20 Couronnes à 30 Couronnes suite aux crimes suivants :
> meurtres de gardiens de prison,
> évasion de la prison Colonel Rostin (dite "Prison Borgne"),
> enlèvement d'un otage (Mysandria).
2) Un nouvel avis de recherche a été monté contre un borgne se faisant appeler "Personne" pour 10 Couronnes, pour les mêmes motifs.
3) Le contact de Mysandria (@Kraor, il va me falloir son nom dans ton background) semble donc avoir interprété sa disparition pour un enlèvement, et réussi à en persuader les autorités. Ceci maintenant comment va-t'elle retomber sur ses pattes ? C'est aussi ce type de problèmes de maintenir un masque de légalité.
@Kraor, indiques sur le post ou par MP comment tu penses faire sortir ton personnage de cette situation.
4) Vous avez grillé une bonne combine du gang des Mains Sanglantes pour faire sortir ses membres importants de la prison borgne. Votre réputation vis-a-vis d'eux a donc diminué d'un cran. Vous avez donc chacun vis-à-vis du gang des Mains Sanglantes la réputation négative "Indifférente" : votre interlocuteur vous évite si possible et ne traitera avec vous qu'après être convainci que c'est la meilleure solution.
5) Mike, concernant Kilian : deux jours après votre fuite de la demeure des Braorde, et alors que tu viens "entretenir de bons rapports" avec ton contact (Gisèle Ferblantier), celle-ci t'apprend qu'un Kalher se disant être un de tes amis a demandé si elle te connaissait et est resté trainer un peu dans le quartier. Bien entendu elle a dit que non, mais elle te fait bien comprendre que si par malheur ce genre d'incident devait se reproduire chez elle, avec tous les risques que cela comporte, elle te pendrait elle-même par la peau des cojones et te vendrait sans l'once d'un remord. Elle ne rigole visiblement pas ...
@Mike, si tu as l'intention de faire quelque chose de particulier par rapport à cet ami, dis-moi quoi.
6) Techniquement vos personnages ont tous gagné 7 points d'expérience. Félicitations !
7) Si certains d'entre vous pense revenir piller la demeurre des Braorde, signalez-vous et préparer votre approche via la taverne des 3 singes. J'ai déjà commencé à préparer la mini "Retour à Vieille-vigne".
8 ) Idem, si certains d'entre vous pense participer à la récupération de la montre à gousset de Siksitt, pensez à proposer ici vos idées de combines pour y parvenir.
A bientôt dans les rues des Citées Franches !
1) Les avis de recherche de Siksitt l'Horloger, Ombre Blanche et Kilian le jeune sont passées de 20 Couronnes à 30 Couronnes suite aux crimes suivants :
> meurtres de gardiens de prison,
> évasion de la prison Colonel Rostin (dite "Prison Borgne"),
> enlèvement d'un otage (Mysandria).
2) Un nouvel avis de recherche a été monté contre un borgne se faisant appeler "Personne" pour 10 Couronnes, pour les mêmes motifs.
3) Le contact de Mysandria (@Kraor, il va me falloir son nom dans ton background) semble donc avoir interprété sa disparition pour un enlèvement, et réussi à en persuader les autorités. Ceci maintenant comment va-t'elle retomber sur ses pattes ? C'est aussi ce type de problèmes de maintenir un masque de légalité.
@Kraor, indiques sur le post ou par MP comment tu penses faire sortir ton personnage de cette situation.
4) Vous avez grillé une bonne combine du gang des Mains Sanglantes pour faire sortir ses membres importants de la prison borgne. Votre réputation vis-a-vis d'eux a donc diminué d'un cran. Vous avez donc chacun vis-à-vis du gang des Mains Sanglantes la réputation négative "Indifférente" : votre interlocuteur vous évite si possible et ne traitera avec vous qu'après être convainci que c'est la meilleure solution.
5) Mike, concernant Kilian : deux jours après votre fuite de la demeure des Braorde, et alors que tu viens "entretenir de bons rapports" avec ton contact (Gisèle Ferblantier), celle-ci t'apprend qu'un Kalher se disant être un de tes amis a demandé si elle te connaissait et est resté trainer un peu dans le quartier. Bien entendu elle a dit que non, mais elle te fait bien comprendre que si par malheur ce genre d'incident devait se reproduire chez elle, avec tous les risques que cela comporte, elle te pendrait elle-même par la peau des cojones et te vendrait sans l'once d'un remord. Elle ne rigole visiblement pas ...
@Mike, si tu as l'intention de faire quelque chose de particulier par rapport à cet ami, dis-moi quoi.
6) Techniquement vos personnages ont tous gagné 7 points d'expérience. Félicitations !
7) Si certains d'entre vous pense revenir piller la demeurre des Braorde, signalez-vous et préparer votre approche via la taverne des 3 singes. J'ai déjà commencé à préparer la mini "Retour à Vieille-vigne".
8 ) Idem, si certains d'entre vous pense participer à la récupération de la montre à gousset de Siksitt, pensez à proposer ici vos idées de combines pour y parvenir.
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- Portoloups
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@Mike : d'après la description de Gisèle, le type était un Khaler dans la trentaine. Elle ne sait plus bien si il portait une moustache ou une barbe, elle n'a pas retenue car son regard extrêmement perçant l'a perturbée. Elle a regardé derrière ses rideaux après son départ et l'a vu traîner dans les environs.Mike a écrit :Bah je demande une description rapide du mec et si c'est le même que la prison j'essaye de le retrouver en assurant que "je vais régler le problème" à Gisèle
Pretre a écrit :Je suis pour les deux missions
@P.A., si tu as des idées à proposer sur la façon de procéder, n'hésites pas.P.A. a écrit :Pareil que Prêtre : je suis chaud pour aller récupérer la montre à gousset de Siksitt, et on ne va pas se laisser marcher sur les pieds par les Braorde ! Savoir qu'il y a autant de richesses à notre portée, ça m'émoustille !
@Pretre, de ton côté je pense que c'est ce que tu vas faire dans tes textes R.P.
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Bien évidemment, je suis pour retrouver ma montre !
Pour cela, je pense me renseigner sur les gardiens de prisons. essayez de voir mes contacts pour voir si ils peuvent m'avoir des noms, des adresses, etc...
Si besoin est, je planque en face de la prison et essaie de repérer un garde à la sortie, pour le suivre jusque chez lui...
De préférence, je choisirai un garde que j'ai repéré en prison et qui m'a particulièrement énervé (je pense qu'y aura le choix).
Après l'avoir suivi, si je me rend compte qu'il a de la famille, je commence à observer ses membres et réfléchit à un plan d'enlèvement...
Pour cela, je pense me renseigner sur les gardiens de prisons. essayez de voir mes contacts pour voir si ils peuvent m'avoir des noms, des adresses, etc...
Si besoin est, je planque en face de la prison et essaie de repérer un garde à la sortie, pour le suivre jusque chez lui...
De préférence, je choisirai un garde que j'ai repéré en prison et qui m'a particulièrement énervé (je pense qu'y aura le choix).
Après l'avoir suivi, si je me rend compte qu'il a de la famille, je commence à observer ses membres et réfléchit à un plan d'enlèvement...
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- Portoloups
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Ok Djez, l'approche que tu penses avoir me permettra de mieux préparer cette mini. Je pense q'on va en rester là sur ce sujet ... le reste autour de la table de jeu
__________________
Et maintenant quelques informations concernant l'utilisation des points d'expérience (issu du livre des règles) :
Les Points d'Expérience (PE) glanés peuvent être dépensés selon les désirs des joueurs, pour peu qu'ils soient cohérents avec leurs actions au cours du jeu [PS de Portoloups : me demander en cas de doute]. Par exemple, il est hors de question de prendre la Compétence Monter si l'on n'a pas eu la moindre expérience de chevaucher.
Voici maintenant le tableau des coûts d'augmentation en Points d'Expérience :
> Augmenter 1 point de caractéristique (Doigté, Caractère, Robustesse, Cervelle) = score actuel de votre Caractéristique multiplié par 2
> Augmenter 1 cercle d'Attribut (Initiative, Aplomb, Santé, Lucidité) = score actuel de votre Attribut multiplié par 2
> Ouvrir 1 nouvelle Compétence au niveau 6 = 10
> Chaque niveau de Compétence au delà du niveau 6 = score actuel de la Compétence
__________________
Et maintenant quelques informations concernant l'utilisation des points d'expérience (issu du livre des règles) :
Les Points d'Expérience (PE) glanés peuvent être dépensés selon les désirs des joueurs, pour peu qu'ils soient cohérents avec leurs actions au cours du jeu [PS de Portoloups : me demander en cas de doute]. Par exemple, il est hors de question de prendre la Compétence Monter si l'on n'a pas eu la moindre expérience de chevaucher.
Voici maintenant le tableau des coûts d'augmentation en Points d'Expérience :
> Augmenter 1 point de caractéristique (Doigté, Caractère, Robustesse, Cervelle) = score actuel de votre Caractéristique multiplié par 2
> Augmenter 1 cercle d'Attribut (Initiative, Aplomb, Santé, Lucidité) = score actuel de votre Attribut multiplié par 2
> Ouvrir 1 nouvelle Compétence au niveau 6 = 10
> Chaque niveau de Compétence au delà du niveau 6 = score actuel de la Compétence
Modifié en dernier par Portoloups le 11 avr. 2010, 15:50, modifié 1 fois.
- Portoloups
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Première information du jour : je confirme les 120 Couronnes de départ pour un personnage affranchis. Vous devez par contre tout acheter, vêtements et autres. Que ceux qui ont accès à un livre de règle commencent à faire leurs courses et m'indiquent le résultat.
Pour les autres nous pourrons le faire à mon prochain passage au Club (vendredi 16/04, avant le début de Kuro) ou avant le démarrage de la prochaine aventure de Nightprowler.
----------------------------------
Autre sujet :
Afin d'éviter d'avoir à calculer toutes les séances l'argent que vous avez dû dépenser entre votre loyer, votre nourriture, boisson, barbier, impositions, et j'en passe pendant les séance entre deux parties, je pense mettre en place un système de "niveau de vie", un peu comme il existe dans le système de jeu de Shadowrun.
Ceci a l'avantage de globaliser vos dépenses nécessaires. Je pense aussi y associer certains risques selon le niveau de vie (maladies, agressions, racket/cambriolage, famine, attention de personnes mal intentionnées).
Pour l'instant j'imagine 5 niveaux de vie :
> A la rue (pas de dépense associée),
> Misérable (2 Couronnes tous les 5 jours, 20 Couronnes par mois),
> Artisan (4 Couronnes tous les 5 jours, 40 Couronnes par mois)
> Bourgeois / Noblesse ruinée (20 Couronnes tous les 5 jours, 200 Couronnes par mois),
> Noblesse / haute bourgeoisie (100 Couronnes tous les 5 jours, 1000 Couronnes par mois)
N'hésitez comme d'habitude pas à me faire part de vos réactions / commentaires / questions / suggestions.
Pour les autres nous pourrons le faire à mon prochain passage au Club (vendredi 16/04, avant le début de Kuro) ou avant le démarrage de la prochaine aventure de Nightprowler.
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Autre sujet :
Afin d'éviter d'avoir à calculer toutes les séances l'argent que vous avez dû dépenser entre votre loyer, votre nourriture, boisson, barbier, impositions, et j'en passe pendant les séance entre deux parties, je pense mettre en place un système de "niveau de vie", un peu comme il existe dans le système de jeu de Shadowrun.
Ceci a l'avantage de globaliser vos dépenses nécessaires. Je pense aussi y associer certains risques selon le niveau de vie (maladies, agressions, racket/cambriolage, famine, attention de personnes mal intentionnées).
Pour l'instant j'imagine 5 niveaux de vie :
> A la rue (pas de dépense associée),
> Misérable (2 Couronnes tous les 5 jours, 20 Couronnes par mois),
> Artisan (4 Couronnes tous les 5 jours, 40 Couronnes par mois)
> Bourgeois / Noblesse ruinée (20 Couronnes tous les 5 jours, 200 Couronnes par mois),
> Noblesse / haute bourgeoisie (100 Couronnes tous les 5 jours, 1000 Couronnes par mois)
N'hésitez comme d'habitude pas à me faire part de vos réactions / commentaires / questions / suggestions.
Modifié en dernier par Portoloups le 23 mai 2010, 19:23, modifié 1 fois.
Bien évidemment que j'ai un plan aussi.
Pour la montre à gousset
En fait l'idée de Patrick est pas mal, mais je m'en servirai comme plan de rechange, l'enlèvement d'enfant, ou au mieux, de pression.
Je pensais essayer de me renseigner, et de laisser trainer mes oreilles autour de la prison, et essayer de voir quel était le garde qui avait été corrompu pour la sortie de Brique Rouge et compagnie. Si il a été corrompu, il peut l'être deux fois, et peut-être qu'il pourrait nous faire sortir la montre à gousset.
Par contre, pour corrompre le garde, j'imaginais pas de l'argent, mais plutôt une autre info. Je pensai que ça risquait d'attirer trop l'attention, et qu'on pourrait se retrouver à payer très cher, ou pire se faire remarquer. J'aimerai voir si il veut pas quelque chose par dessus tout et si je pouvais lui fournir une info dessus. En gros ce serait échange info/montre.
Pour rentrer chez les Braorde j'avais pensé à deux trucs.
Soit, mais là je n'en sais rien, je ne me suis pas trop fait remarquer la première fois et j'y reviens. Ou au pire ça existe les travaux dits journaliers je pense, tu viens, tu repars on te paie, si ça peut passer comme ça. Autrement j'avais pensé au gars qui vient livrer de l'eau deux fois par jour, je pensais profiter de lui pour rentrer, genre je le remplace une journée, ou quelque chose comme ça.
L'idée dans les deux cas c'est de recueillir toutes les informations sur le domaine (infos en plus de celles de la dernière fois, sur les tours de garde, sur l'emplacement des supposés trésors, leur mode de garde) en tant qu'oreille et pouvoir après en avertir mes camarades pour qu'ils imaginent un plan.
Pour la montre à gousset
En fait l'idée de Patrick est pas mal, mais je m'en servirai comme plan de rechange, l'enlèvement d'enfant, ou au mieux, de pression.
Je pensais essayer de me renseigner, et de laisser trainer mes oreilles autour de la prison, et essayer de voir quel était le garde qui avait été corrompu pour la sortie de Brique Rouge et compagnie. Si il a été corrompu, il peut l'être deux fois, et peut-être qu'il pourrait nous faire sortir la montre à gousset.
Par contre, pour corrompre le garde, j'imaginais pas de l'argent, mais plutôt une autre info. Je pensai que ça risquait d'attirer trop l'attention, et qu'on pourrait se retrouver à payer très cher, ou pire se faire remarquer. J'aimerai voir si il veut pas quelque chose par dessus tout et si je pouvais lui fournir une info dessus. En gros ce serait échange info/montre.
Pour rentrer chez les Braorde j'avais pensé à deux trucs.
Soit, mais là je n'en sais rien, je ne me suis pas trop fait remarquer la première fois et j'y reviens. Ou au pire ça existe les travaux dits journaliers je pense, tu viens, tu repars on te paie, si ça peut passer comme ça. Autrement j'avais pensé au gars qui vient livrer de l'eau deux fois par jour, je pensais profiter de lui pour rentrer, genre je le remplace une journée, ou quelque chose comme ça.
L'idée dans les deux cas c'est de recueillir toutes les informations sur le domaine (infos en plus de celles de la dernière fois, sur les tours de garde, sur l'emplacement des supposés trésors, leur mode de garde) en tant qu'oreille et pouvoir après en avertir mes camarades pour qu'ils imaginent un plan.
Big Bang Boogie
- Portoloups
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Deux aventures sont déjà en préparation : "Retour à Vieille-vigne" et une autre dont le nom est trop évocateur pour vous le livrer avant de vous le faire jouer...
@P.A. : c'est entendu, je vais considérer que Personne a passé du temps et laissé trainé ses oreilles dans l'un et/ou l'autre des contextes. Si tu participes à une des deux aventures liées au cambriolage des Braordes ou à la récupération de la montre gousset de Siksitt, tu disposeras de quelques informations au début de la partie.
@tous : Je vous ferai à un moment ou à un autre les deux aventures du livre de base, les trois aventures de Trois pas vers le bagne et les aventures Nightprowler V1 que je trouverai, en les adaptant. Pour ceux d'entre vous qui les ont déjà lus et/ou jouées, faites-moi signe par M.P. cela m'évitera de vous proposer une redite sans réel plaisir de découverte pour vous.
@P.A. : c'est entendu, je vais considérer que Personne a passé du temps et laissé trainé ses oreilles dans l'un et/ou l'autre des contextes. Si tu participes à une des deux aventures liées au cambriolage des Braordes ou à la récupération de la montre gousset de Siksitt, tu disposeras de quelques informations au début de la partie.
@tous : Je vous ferai à un moment ou à un autre les deux aventures du livre de base, les trois aventures de Trois pas vers le bagne et les aventures Nightprowler V1 que je trouverai, en les adaptant. Pour ceux d'entre vous qui les ont déjà lus et/ou jouées, faites-moi signe par M.P. cela m'évitera de vous proposer une redite sans réel plaisir de découverte pour vous.
- Portoloups
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Pour aujourd'hui voici quelques informations sur la monnaie émise par la Banque du Prince pour les Sept Citées :
La couronne (Co) est une pièce octogonale faite d'un alliage or-argent, frappée d'un côté par les armoiries de la Pincipauté et de l'autre par le visage du Prince actuel. Elle constitue le socle monétaire des Citées.
La couronne se divise ensuite en dix écus, une pièce d'argent ronde frappée du sceau arlamiste sur une face et des armoiries sur l'autre.
L'écu se fractionne à son tour en dix pièces de cuivre appelées sous ou, populairement, miches.
Au final :
1 couronne = 10 écus = 100 miches
La couronne (Co) est une pièce octogonale faite d'un alliage or-argent, frappée d'un côté par les armoiries de la Pincipauté et de l'autre par le visage du Prince actuel. Elle constitue le socle monétaire des Citées.
La couronne se divise ensuite en dix écus, une pièce d'argent ronde frappée du sceau arlamiste sur une face et des armoiries sur l'autre.
L'écu se fractionne à son tour en dix pièces de cuivre appelées sous ou, populairement, miches.
Au final :
1 couronne = 10 écus = 100 miches
- Portoloups
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Quelques mots concernant vos compétences : la valeur associée à chaque compétence représente le niveau de professionnalisme que votre personnage a atteint.
Ces mesures sont les suivantes :
Score entre 1 et 6 : Novice
Score entre 7 et 8 : Apprenti
Score entre 9 et 12 : Confirmé
Score entre 13 et 16 : Professionnel
Score entre 17 et 20 : Expert
Score entre 21 et 24 : Maître
1 nouvelle mesure de maîtrise ensuite tous les 4 niveaux.
Cette distinction est notamment utilisée lors des gains d'expérience pour la montée du seuil de professionnalisme de vos personnage. Je vous l'expliquerai dans un prochain post, ou à l'occasion de la montée d'expérience de votre personnage. Ce que vous devez garder en tête c'est que plus une personne experte dans cette compétence pourra vous apprendre les trucs et ficelles du métier, plus celle-ci sera facile et rapide à faire progresser.
Ces mesures sont les suivantes :
Score entre 1 et 6 : Novice
Score entre 7 et 8 : Apprenti
Score entre 9 et 12 : Confirmé
Score entre 13 et 16 : Professionnel
Score entre 17 et 20 : Expert
Score entre 21 et 24 : Maître
1 nouvelle mesure de maîtrise ensuite tous les 4 niveaux.
Cette distinction est notamment utilisée lors des gains d'expérience pour la montée du seuil de professionnalisme de vos personnage. Je vous l'expliquerai dans un prochain post, ou à l'occasion de la montée d'expérience de votre personnage. Ce que vous devez garder en tête c'est que plus une personne experte dans cette compétence pourra vous apprendre les trucs et ficelles du métier, plus celle-ci sera facile et rapide à faire progresser.
- Portoloups
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Je le voyais transpirer. Il n’était pas à l’aise. Il sentait bien qu’il était dans une situation dangereuse. Un mot, un seul, de notre chef Maras, et nous lui tomberions dessus sans lui laisser une seule chance de survie. Faut dire que le gars était gonflé…
A la nuit tombée, le portier avait laissé entrer ce jeune homme qui disait avoir un important message pour Maras. Il avait posé ses armes à l’entrée et on l’avait fouillé. Rien. Nous l’avons guidé jusqu’au bureau de Maras. Le patron était assis sur son solide fauteuil et attendait le visiteur en jouant avec un stylet dont les reflets menaçants ajoutaient à l’air peu engageant que le sang-mêlé avait ; Maras dirigeait notre grosse bande depuis six ans, et il était réputé dans le monde de la pègre… pas pour ses
bons sentiments. Le courrier avait annoncé qu’il était envoyé par quelqu’un détenant la jeune Mirine et qu’il était là pour entamer des transactions…
Mirine… Nous avions passé une semaine à préparer le coup, à étudier toutes les possibilités, à prévoir chaque réaction. La jeune fille devait être enlevée avant son mariage, et la rançon demandée par notre commanditaire nous payerait grassement. Le soir prévu, nous sommes arrivés dans la riche demeure après avoir passé les habituelles épreuves du mur d’enceinte, des chiens et des gardes pour découvrir qu’elle n’était plus là. Mirine avait disparu. Maras était furax, et notre commanditaire n’était pas à la joie non plus. Notre réputation allait en prendre un sacré coup.
Et voilà que ce gamin débarque deux jours plus tard en nous avouant qu’une autre bande détient la fille. Ils l’avaient enlevée avant nous pour pouvoir nous la revendre. Le prix qu’ils demandaient correspondait en gros à la récompense que nous étions censés tirer de l’affaire. Je voyais la rage dans les yeux de Maras ; il aurait pu égorger sur place le jeune courrier sans sourciller. Et pourtant il n’en faisait rien. Après tout, il n’était qu’un messager, et dans le milieu leur vie est quasi sacrée. Ils viennent en négociateurs et doivent repartir avec le message de réponse. Mais j’avoue que là le petit gars avait des couilles. Les yeux de chat de Maras étaient reconnus pour refléter la même cruauté que celle du félin jouant avec sa souris avant de la bouffer. Il était capable du pire. Et cela, le courrier devait le savoir. Après plusieurs minutes de pesant silence pendant lesquelles la survie du courrier se décidait, Maras répondit qu’il acceptait, à condition de voir la fille en vie. Le courrier se détendit, on entendit un soupir de soulagement. Il sortit de la salle.
Immédiatement, Maras nous ordonna de le suivre. Lui devait être épargné ; après tout il n’était qu’un intermédiaire. Par contre, nous avions ordre d’anéantir la bande retenant Mirine. Notre réputation ne souffrirait pas qu’on les laisse en vie…
A la nuit tombée, le portier avait laissé entrer ce jeune homme qui disait avoir un important message pour Maras. Il avait posé ses armes à l’entrée et on l’avait fouillé. Rien. Nous l’avons guidé jusqu’au bureau de Maras. Le patron était assis sur son solide fauteuil et attendait le visiteur en jouant avec un stylet dont les reflets menaçants ajoutaient à l’air peu engageant que le sang-mêlé avait ; Maras dirigeait notre grosse bande depuis six ans, et il était réputé dans le monde de la pègre… pas pour ses
bons sentiments. Le courrier avait annoncé qu’il était envoyé par quelqu’un détenant la jeune Mirine et qu’il était là pour entamer des transactions…
Mirine… Nous avions passé une semaine à préparer le coup, à étudier toutes les possibilités, à prévoir chaque réaction. La jeune fille devait être enlevée avant son mariage, et la rançon demandée par notre commanditaire nous payerait grassement. Le soir prévu, nous sommes arrivés dans la riche demeure après avoir passé les habituelles épreuves du mur d’enceinte, des chiens et des gardes pour découvrir qu’elle n’était plus là. Mirine avait disparu. Maras était furax, et notre commanditaire n’était pas à la joie non plus. Notre réputation allait en prendre un sacré coup.
Et voilà que ce gamin débarque deux jours plus tard en nous avouant qu’une autre bande détient la fille. Ils l’avaient enlevée avant nous pour pouvoir nous la revendre. Le prix qu’ils demandaient correspondait en gros à la récompense que nous étions censés tirer de l’affaire. Je voyais la rage dans les yeux de Maras ; il aurait pu égorger sur place le jeune courrier sans sourciller. Et pourtant il n’en faisait rien. Après tout, il n’était qu’un messager, et dans le milieu leur vie est quasi sacrée. Ils viennent en négociateurs et doivent repartir avec le message de réponse. Mais j’avoue que là le petit gars avait des couilles. Les yeux de chat de Maras étaient reconnus pour refléter la même cruauté que celle du félin jouant avec sa souris avant de la bouffer. Il était capable du pire. Et cela, le courrier devait le savoir. Après plusieurs minutes de pesant silence pendant lesquelles la survie du courrier se décidait, Maras répondit qu’il acceptait, à condition de voir la fille en vie. Le courrier se détendit, on entendit un soupir de soulagement. Il sortit de la salle.
Immédiatement, Maras nous ordonna de le suivre. Lui devait être épargné ; après tout il n’était qu’un intermédiaire. Par contre, nous avions ordre d’anéantir la bande retenant Mirine. Notre réputation ne souffrirait pas qu’on les laisse en vie…
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L'apparition de la poudre (2657)
La poudre explosive apparut publiquement sous la forme de la poudre noire lors de l'arrivée de la flotte solomane dans l'estuaire du Sahar en 2657. Cette arme bruyante et surtout dévastatrice stupéfia la population qui découvrit une nouvelle forme de terreur. Nombreuses furent les bâtisses détruites et les victimes.
En prévision de la guerre de libération, un inventeur de génie sortit de l'ombre, révélant ce sur quoi il travaillait clandestinement depuis de années. Isidoro Marlabe avait créé un autre mélange de poudre, rouge celui-ci, basé sur un charbon rare trouvé dans les Monts Ocres. L'origine exacte de ce minerai et la recette du mélange sont gardées secrètes, mais sa stabilité est très limitée. La poudre noire n'était déjà pas une référence dans ce domaine, mais celle de Marlabe s'avéra pire encore, tout particulièrement en présence d'énergie magique.
Combinée avec l'isidore, une autre invention de Marlabe, la poudre rouge, ou diablotine, permit de lutter efficacement contre les troupes solomanes et de reprendre les villes tombées entre leurs mains. Accueilli les bras grand ouverts dans la ville d'Antalia suite au rôle joué par ses inventions lors de la Guerre de Libération, le scientifique s'enferma dans la caserne du magnifique quartier de Blanche-Lumière pour travailler à la stabilisation de sa poudre en la mélangeant à la poudre noire des Solomans.
Ses recherches prirent fin le 7e jour d'Arlam 2665 avec l'explosion d'une grande partie de ce quartier. La vie de Marlabe trouva un terme brutal lors de cet évènement, de même que la bonne opinion que le public avait de la poudre.
Les gens, inspirés par les grands discours de magiciens et de clercs, en virent à craindre davantage la poudre. Ses détracteurs mirent en exergue son instabilité et les atrocités qu'elle pouvait commettre. On peut encore trouver de la poudre noire dans les citées, comme tout autre produit de contrebande, auprès de marchands solomans qui profitent ainsi d'un juteux trafic. Quant à la poudre rouge, elle est officiellement réservée à l'armée et aux Gardien de la Foi, mais on peut aussi en trouver au marché noir à des prix faramineux. En effet, le coût d'exploitation du fameux charbon rouge des Monts Ocres (y compris le prix des gardes engagés pour protéger les mineurs des attaques hélodermes) s'avère tout simplement exorbitant.
La poudre explosive apparut publiquement sous la forme de la poudre noire lors de l'arrivée de la flotte solomane dans l'estuaire du Sahar en 2657. Cette arme bruyante et surtout dévastatrice stupéfia la population qui découvrit une nouvelle forme de terreur. Nombreuses furent les bâtisses détruites et les victimes.
En prévision de la guerre de libération, un inventeur de génie sortit de l'ombre, révélant ce sur quoi il travaillait clandestinement depuis de années. Isidoro Marlabe avait créé un autre mélange de poudre, rouge celui-ci, basé sur un charbon rare trouvé dans les Monts Ocres. L'origine exacte de ce minerai et la recette du mélange sont gardées secrètes, mais sa stabilité est très limitée. La poudre noire n'était déjà pas une référence dans ce domaine, mais celle de Marlabe s'avéra pire encore, tout particulièrement en présence d'énergie magique.
Combinée avec l'isidore, une autre invention de Marlabe, la poudre rouge, ou diablotine, permit de lutter efficacement contre les troupes solomanes et de reprendre les villes tombées entre leurs mains. Accueilli les bras grand ouverts dans la ville d'Antalia suite au rôle joué par ses inventions lors de la Guerre de Libération, le scientifique s'enferma dans la caserne du magnifique quartier de Blanche-Lumière pour travailler à la stabilisation de sa poudre en la mélangeant à la poudre noire des Solomans.
Ses recherches prirent fin le 7e jour d'Arlam 2665 avec l'explosion d'une grande partie de ce quartier. La vie de Marlabe trouva un terme brutal lors de cet évènement, de même que la bonne opinion que le public avait de la poudre.
Les gens, inspirés par les grands discours de magiciens et de clercs, en virent à craindre davantage la poudre. Ses détracteurs mirent en exergue son instabilité et les atrocités qu'elle pouvait commettre. On peut encore trouver de la poudre noire dans les citées, comme tout autre produit de contrebande, auprès de marchands solomans qui profitent ainsi d'un juteux trafic. Quant à la poudre rouge, elle est officiellement réservée à l'armée et aux Gardien de la Foi, mais on peut aussi en trouver au marché noir à des prix faramineux. En effet, le coût d'exploitation du fameux charbon rouge des Monts Ocres (y compris le prix des gardes engagés pour protéger les mineurs des attaques hélodermes) s'avère tout simplement exorbitant.
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Z'êstes bien aimabl' mon bon Monsieur d'payer un godet à un pauvr' manchard (1) 'Savez qu'c'est dur là-d'hors ! On boit pissance (2) p'us souvent qu'à notr' tour. C't'un coup à choper la verterine (3), ça.
Pour la santé, y'a rien qui vaut un bon verre d'alcool moi j'dis. Ca vous réchauffe de l'intérieur pis ça vous bouffe toutes les cochonneries qu'y z'y trainent.
Quoi donc ? La bière noire de Caladan ? Bien sûr que j'connais ! C'te fameuse bière que c'était ça, là ! 'Savez qu'ils l'ont interdite maint'nant ? Prohibée qu'y disent, si c'est pas une honte ça ! Y z'ont fait jeter l'ancre (4) à c'pauvre Caladan le Gris. J'sais pas combien d'temps y va attendre la marée (5), mais en attendant on assèche nos gosiers.
Quoi donc ? La "Mortelle de Caladan" ? Z'y allez un peu fort là, c'est que d'l'herbe aromatique qu'il y mettait Caladan. Fallait juste savoir pas dépasser la dose, si vous voyez c'que j'veux dire. Mais quoi qu'est-ce-qu'c'est donc qu'vous cherchez au juste ? Le coin où qu'il les y trouvait ses ingrédients ? Gaffe ça, c't'un coup à vous poisonner ! Toute façon personne sait où qu'il y trouvait ses herbes l'père Caladan ...
... et ... quoi qu'ça raport'rai au fait à qui qu'cest qui saurait au juste ?
________________________
Quelques mots d'argots employés sur la région de Samarande et Béjofa, en attendant un lexique plus complet :
(1) Manchard : mendiant
(2) Pissance : vin de mauvaise qualité, par extension de l'eau
(3) Verterine : maladie infectieuse transmise au contact avec des eaux usées
(4) jeter l'ancre : purger une peine de prison
(5) attendre la marée : attendre la libération
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Les Emirats khalers
Les plus porches voisins de Samarande sont les Khalers, un peuple marchand occupant tout le littoral sud de la Mer Ancienne et une partie de celui de la Mer Captive. Les Emirats khalers s'étendent que des terres arides et désertiques. Même si les Khalers prétendent volontier occuper tous leurs déserts, leurs royaumes s'étendent essentiellement sur les côtes. Les véritables maîtres du désert profond - ou Désert Blanc, à cause de la pâleur du sable - sont les nomades Effarats.
L'Emirat de Kadhar est célèbre pour sa culture et ses philosophes. Ce royaume a bâti Djeddir, qui poste encore les marques de son raffinement architectural et culturel. Rey, capitale de l'émirat, a reçu le surnom de Cité Blanche. Nombre de marchands samarinines ne manqueraient pour rien au monde son marché annuel, qui commence en général à la mi-mélor et dure un mois.
Moins raffiné, le Sultanat d'Arbahn se montre plus guerrier. Ses habitants connaissent la route vers les Terres Noires et font grand commerce d'esclave et de bois précieux. Les autres peuple les voient comme des pirates et, hors de frontière du pays, on parle autant de l'opulence du Sultan d'Arkesh, l'un des hommes les plus riches du Monde Connu, que de sa folie.
Arkesh est une ville démesurée, presque aussi grande que Samarande, bien plus dangereuse que Bejofa et plus étrange qu'Elyath. Il ne s'agit pourtant pas de la capitale, bien qu'elle accueille en ses murs l'ambassade de la Principauté. Loin dans le désert s'étale une oasis cachée, où siège le Sultan d'Arbah et dont on sait finalement très peu de choses. Certains évoquent Arbah comme une cité fabuleuse et démesurée, d'autres comme un simple village de tentes.
L'Emirat de Kélim, voisin de l'Empire soloman, s'arrête au niveau des Phalanges. C'est un pays de grands canyons et d'oasis cachées dans lequel on a récemment découvert les ruines d'une antique civilisation fabuleusement riche. Kayash, la principale agglomération de l'émirat, garde ses secrets dans cette cité de magiciens à la mauvaise réputation, on entend fréquemment des prêtres fanatiques appeler à une croisade contre quelque infamie réelle ou imaginaire.
Les plus porches voisins de Samarande sont les Khalers, un peuple marchand occupant tout le littoral sud de la Mer Ancienne et une partie de celui de la Mer Captive. Les Emirats khalers s'étendent que des terres arides et désertiques. Même si les Khalers prétendent volontier occuper tous leurs déserts, leurs royaumes s'étendent essentiellement sur les côtes. Les véritables maîtres du désert profond - ou Désert Blanc, à cause de la pâleur du sable - sont les nomades Effarats.
L'Emirat de Kadhar est célèbre pour sa culture et ses philosophes. Ce royaume a bâti Djeddir, qui poste encore les marques de son raffinement architectural et culturel. Rey, capitale de l'émirat, a reçu le surnom de Cité Blanche. Nombre de marchands samarinines ne manqueraient pour rien au monde son marché annuel, qui commence en général à la mi-mélor et dure un mois.
Moins raffiné, le Sultanat d'Arbahn se montre plus guerrier. Ses habitants connaissent la route vers les Terres Noires et font grand commerce d'esclave et de bois précieux. Les autres peuple les voient comme des pirates et, hors de frontière du pays, on parle autant de l'opulence du Sultan d'Arkesh, l'un des hommes les plus riches du Monde Connu, que de sa folie.
Arkesh est une ville démesurée, presque aussi grande que Samarande, bien plus dangereuse que Bejofa et plus étrange qu'Elyath. Il ne s'agit pourtant pas de la capitale, bien qu'elle accueille en ses murs l'ambassade de la Principauté. Loin dans le désert s'étale une oasis cachée, où siège le Sultan d'Arbah et dont on sait finalement très peu de choses. Certains évoquent Arbah comme une cité fabuleuse et démesurée, d'autres comme un simple village de tentes.
L'Emirat de Kélim, voisin de l'Empire soloman, s'arrête au niveau des Phalanges. C'est un pays de grands canyons et d'oasis cachées dans lequel on a récemment découvert les ruines d'une antique civilisation fabuleusement riche. Kayash, la principale agglomération de l'émirat, garde ses secrets dans cette cité de magiciens à la mauvaise réputation, on entend fréquemment des prêtres fanatiques appeler à une croisade contre quelque infamie réelle ou imaginaire.
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Après ces quelques éléments de background, un point de règle qu'il est intéressant de garder en tête : la fatigue.
Lors d'actions physiques intenses telles que le combat ou la course, un personnage va progressivement commencer à suer, perdre son souffle et se fatiguer. Bien entendu, plus il est robuste, plus cette fatigue va tarder à se manifester. De ce fait, un personnage peut agir un nombre de tour de jeu égal au nombre de Cercles de Santé qu'il possède au début de la situation (même un personnage athlétique a ses limites à force de surpassements). Au delà de cette limite , il lui faudra dépenser 1 case d'Endurance (chaque personnage a un compteur de blessures physiques et un compteur de fatigue = l'Endurance), ou 1 Cercle de Santé, au choix, par tour de jeu.
Prenons ainsi par exemple un personnage avec une Robustesse de 9 et 3 Cercles de Santé. Pendant les 3 premiers tours, aucune fatigue ne se manifestera. Les 3 tours suivants, son joueur choisit de dépenser ses 3 premières cases d'Endurance. Il préfère en effet conserver ses Cercles de Santé pour le moment. Par ailleurs, techniquement, son personnage n'aura de malus qu'à partir de la 4ième case d'Endurance cochée. Au 6ième tour, son combat se termine, ouf !
Son rythme cardiaque s'est bien accéléré et il a sué, mais il s'en tire bien. Le temps de prendre une bière en galante compagnie dans une taverne, et il sera en pleine possession de ses moyens (1 heure de repos suffit pour supprimer une ligne complète en Endurance).
Lors d'actions physiques intenses telles que le combat ou la course, un personnage va progressivement commencer à suer, perdre son souffle et se fatiguer. Bien entendu, plus il est robuste, plus cette fatigue va tarder à se manifester. De ce fait, un personnage peut agir un nombre de tour de jeu égal au nombre de Cercles de Santé qu'il possède au début de la situation (même un personnage athlétique a ses limites à force de surpassements). Au delà de cette limite , il lui faudra dépenser 1 case d'Endurance (chaque personnage a un compteur de blessures physiques et un compteur de fatigue = l'Endurance), ou 1 Cercle de Santé, au choix, par tour de jeu.
Prenons ainsi par exemple un personnage avec une Robustesse de 9 et 3 Cercles de Santé. Pendant les 3 premiers tours, aucune fatigue ne se manifestera. Les 3 tours suivants, son joueur choisit de dépenser ses 3 premières cases d'Endurance. Il préfère en effet conserver ses Cercles de Santé pour le moment. Par ailleurs, techniquement, son personnage n'aura de malus qu'à partir de la 4ième case d'Endurance cochée. Au 6ième tour, son combat se termine, ouf !
Son rythme cardiaque s'est bien accéléré et il a sué, mais il s'en tire bien. Le temps de prendre une bière en galante compagnie dans une taverne, et il sera en pleine possession de ses moyens (1 heure de repos suffit pour supprimer une ligne complète en Endurance).
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Les Apothicaires
Arracheurs de dents, vendeurs d'élixir, médecins ambulants, accoucheurs, les apothicaires forment une corporation aussi redoutée qu'appréciée. La médecine étant moins avancée qye la magie, les apothicaires demandent beaucoup moins que les prêtres guérisseurs ou que les magiciens - mais aussi se montrent moins efficaces. En général polyvalents, ils passent allégrement d'une carrie à une fracture en passant par la naissance du petit dernier. On les reconnaît dans la rue à leur robe noire à collerette blanche et à leur chapeau pointu. Leur échoppe, dont l'insigne est un serpent vert se mordant la queue sur fond noir, s'organise principallement autour d'une salle d'attente et d'un cabinet. Les apothicaires gardent sous clé leur stock de médicaments.
Les apothicaires reçoivent la journée, sans rendez-vous. Pour signaler leur présence et leur disponibilité, ils laissent une lanterne verte allumée à l'entrée. Ils l'éteignent lorsqu'ils dorment ou qu'ils sont en déplacement. Il vaut mieux avoir une bonne excuse pour les réveiller au milieu de la nuit sinon ils font excessivement grimper le tarif de consultation (chiose admise par la profession et par les prévôts). En théorie, ils doivent dénoncer toute blessure louche ; mais en pratique, ils ne le font pas tout le temps. La pègre s'arrange souvent avec eux pour bénéficier de leur silence. On les appele alors dans le milieu des "Passemort". Cependant, même les voleurs paient, suite à des accords passés entre les Familles et la corporation des apothicaires. Leur charte stipule quelque part qu'ils n'ont pas le droit de refuser des soins à un nécessiteux.
Arracheurs de dents, vendeurs d'élixir, médecins ambulants, accoucheurs, les apothicaires forment une corporation aussi redoutée qu'appréciée. La médecine étant moins avancée qye la magie, les apothicaires demandent beaucoup moins que les prêtres guérisseurs ou que les magiciens - mais aussi se montrent moins efficaces. En général polyvalents, ils passent allégrement d'une carrie à une fracture en passant par la naissance du petit dernier. On les reconnaît dans la rue à leur robe noire à collerette blanche et à leur chapeau pointu. Leur échoppe, dont l'insigne est un serpent vert se mordant la queue sur fond noir, s'organise principallement autour d'une salle d'attente et d'un cabinet. Les apothicaires gardent sous clé leur stock de médicaments.
Les apothicaires reçoivent la journée, sans rendez-vous. Pour signaler leur présence et leur disponibilité, ils laissent une lanterne verte allumée à l'entrée. Ils l'éteignent lorsqu'ils dorment ou qu'ils sont en déplacement. Il vaut mieux avoir une bonne excuse pour les réveiller au milieu de la nuit sinon ils font excessivement grimper le tarif de consultation (chiose admise par la profession et par les prévôts). En théorie, ils doivent dénoncer toute blessure louche ; mais en pratique, ils ne le font pas tout le temps. La pègre s'arrange souvent avec eux pour bénéficier de leur silence. On les appele alors dans le milieu des "Passemort". Cependant, même les voleurs paient, suite à des accords passés entre les Familles et la corporation des apothicaires. Leur charte stipule quelque part qu'ils n'ont pas le droit de refuser des soins à un nécessiteux.
- Portoloups
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Calendrier
Les religieux ont établi avec précision le calendrier il y a plus de 2000 ans. L'année fait exactement 365 jours, divisés en huit mois de 45 jours. restent cinq jours fériés appelés "jours néfastes". Un collège d'astrologues cléricaux a pour mission de les définir chaque année pour l'année suivante. Répartis inégalement dans le calendrier, ils ne rentrent pas en compte dans le calcul des jours du mois. durant un jour néfaste, toute la ville s'arrête de travailler et se rend à l'église prier Arlam pour le salut de son âme. Les forces de sécurité patientent, sur le qui-vive.
Les huit mois portent tous le nom d'un des Patriarches, sauf le premier dédié à la gloire de la Pensée et le dernier appelé mois des Morts. Le Patriarche sans nom n'a droit à aucun mois. L'année commence en hiver avec le mois de la Pensée, parfois appelé mois d'Arlam ; puis vient le printemps avec le mois de Mélor, et la saison chaude qui dure 4 mois (Kahal, Jazerh, Solem et Steev), les mois de Jazerh et Solem étant les plus chaud de l'année. Les récoltes se terminent dans le courant du mois de Steev, puis le mois de Kesh encore doux, mais pluvieux, annonce l'arrivée de l'hiver. enfin l'année prend fin avec le mois des Morts, au plus fort de l'hiver. Le monde umélorien ne connaît pas la semaine et ne nomme par les jours. On parle du 23ème jours du mois de Mélor (les jeunes disent désormais 23 Mélor). Les jours se divisent en 24 heures, comptées de la première à la 24ème.
Les gens qui gagnent bien leur vie possèdent des calendriers magnifiquement imprimés, des clepsydres et même parfois de ces curieux objets mécaniques fort luxueux appelés montres-gousset. On commence aussi à trouver des cadrans solaires sur les devantures des maisons bourgeoises.
Chaque jour, dès 22h, la milice est sensée faire respecter le couvre-feu, mais l'application de cette loi reste aléatoire. Elle place sous contrôle strict les quartiers aisés alors qu'elle ne met pas les pieds dans les ruelles mal-famées des quartiers miséreux. Certains quartiers, dont l'essentiel de la vie économique se fait en nocturne, peuvent demander - et payer - une autorisation spéciale d'ouverture auprès de la préfecture.
Les religieux ont établi avec précision le calendrier il y a plus de 2000 ans. L'année fait exactement 365 jours, divisés en huit mois de 45 jours. restent cinq jours fériés appelés "jours néfastes". Un collège d'astrologues cléricaux a pour mission de les définir chaque année pour l'année suivante. Répartis inégalement dans le calendrier, ils ne rentrent pas en compte dans le calcul des jours du mois. durant un jour néfaste, toute la ville s'arrête de travailler et se rend à l'église prier Arlam pour le salut de son âme. Les forces de sécurité patientent, sur le qui-vive.
Les huit mois portent tous le nom d'un des Patriarches, sauf le premier dédié à la gloire de la Pensée et le dernier appelé mois des Morts. Le Patriarche sans nom n'a droit à aucun mois. L'année commence en hiver avec le mois de la Pensée, parfois appelé mois d'Arlam ; puis vient le printemps avec le mois de Mélor, et la saison chaude qui dure 4 mois (Kahal, Jazerh, Solem et Steev), les mois de Jazerh et Solem étant les plus chaud de l'année. Les récoltes se terminent dans le courant du mois de Steev, puis le mois de Kesh encore doux, mais pluvieux, annonce l'arrivée de l'hiver. enfin l'année prend fin avec le mois des Morts, au plus fort de l'hiver. Le monde umélorien ne connaît pas la semaine et ne nomme par les jours. On parle du 23ème jours du mois de Mélor (les jeunes disent désormais 23 Mélor). Les jours se divisent en 24 heures, comptées de la première à la 24ème.
Les gens qui gagnent bien leur vie possèdent des calendriers magnifiquement imprimés, des clepsydres et même parfois de ces curieux objets mécaniques fort luxueux appelés montres-gousset. On commence aussi à trouver des cadrans solaires sur les devantures des maisons bourgeoises.
Chaque jour, dès 22h, la milice est sensée faire respecter le couvre-feu, mais l'application de cette loi reste aléatoire. Elle place sous contrôle strict les quartiers aisés alors qu'elle ne met pas les pieds dans les ruelles mal-famées des quartiers miséreux. Certains quartiers, dont l'essentiel de la vie économique se fait en nocturne, peuvent demander - et payer - une autorisation spéciale d'ouverture auprès de la préfecture.