Petit et Grand écran (ciné, télé, dvd...)
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- ALX
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Pour Django, c'est clairement pas une envie de capitaliser sur un nom connu qui a poussé Tarantino à utiliser ce titre. Faut être réaliste, y avait pas grand monde qui connaissait le film de Corbucci avant la sortie de Django Unchained. C'est juste que QT fonctionne comme ça, il veut simplement rendre hommage à une oeuvre qu'il affectionne particulièrement. Lorsqu'il écrit le scénar, il part dans des directions qui n'ont, au final, plus beaucoup de rapports avec le film dont il s'inspire. C'était déjà le cas avec Inglorious Bastards (à la base, un sous-"Les 12 salopards" rital).
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je suis avec ALX sur ce coup: Tarantino n'a pas besoin de voler un titre pour vendre quoi que ce soit, il a juste besoin de mettre "Tarantino" sur l'affiche.
Ensuite Djez, je suis amusé de voir que les 2 points que tu retiens sont les mêmes que les miens: le rythme et les litres de sang (c.f. mon post à la page 9 du sujet).
Pour moi, on aurait dû avoir un montagne différent. Peut-être quelque chose de déconstruit comme dans Pulp Fiction, mais en tout cas le rythme est... Pas lent, mais plat, dans une succession sans surprise, et un peu pénible.
Ensuite Djez, je suis amusé de voir que les 2 points que tu retiens sont les mêmes que les miens: le rythme et les litres de sang (c.f. mon post à la page 9 du sujet).
Pour moi, on aurait dû avoir un montagne différent. Peut-être quelque chose de déconstruit comme dans Pulp Fiction, mais en tout cas le rythme est... Pas lent, mais plat, dans une succession sans surprise, et un peu pénible.
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
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- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Déjà vu ^^vestini a écrit :http://www.youtube.com/watch?v=e5GIqAk6UX4
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je viens de finir la saison 1 de Spartacus, c'est pas mal, bon franchement par moment le coté "sexe" de la série est limite gonflant mais sinon ça se regarde bien
Par contre c'est dommage que l'acteur principal soit mort je le trouvait vraiment bon acteur
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Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Un nouveau adepte de Spartacus !desba a écrit :Je viens de finir la saison 1 de Spartacus, c'est pas mal, bon franchement par moment le coté "sexe" de la série est limite gonflant mais sinon ça se regarde bien
Par contre c'est dommage que l'acteur principal soit mort je le trouvait vraiment bon acteur
Te reste lus qu'à mater les autres saison !
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je vais commencer la saison préquelle avant de lancer la seconde.Tony bernouilli a écrit :Un nouveau adepte de Spartacus !
Te reste lus qu'à mater les autres saison !
Sinon je suis toujours adepte de la série Vikings dont la saison 2 a reprit depuis quelques semaines
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Bon, je suis la saison 2 de Vikings, qui en est déjà à son 6e épisode sur 9 ou 10, et qu'on pourrait rebaptiser "amour, gloire et drakkars". Toute l'intrigue est concentrée sur les liaisons amoureuses. La politique, les raids, la religion viking? Non, on va parler d'une intrigue amoureuse secondaire qui mérite au moins un tiers du temps de l'épisode... C'est saoulant, et beaucoup moins bon que la première saison.
Et pour le reste? Rien de très glorieux: le rythme est mou, c'est chiant, les batailles sont grotesques, mal chorégraphiées et mal montées (spéciale dédicace à l'épisode où les combattants se rangent poliment sur un champ de terre battue parfaitement carré, visiblement aplani et déblayé à la machine, le tout au beau milieu des collines herbeuses...) Les combats sont truffés de détails grotesques qui brisent la crédibilité et font qu'on arrive pas à se plonger dedans. Que ce soit un faux rythme dans les mouvements (la faute au montage ou au chorégraphe? Torts partagés, on va dire), un plan qui souligne des gens qui font semblant de pousser sur leur bouclier, ou la dérangeante facilité avec laquelle les personnages importants brisent la ligne de boucliers que dix hommes n'arrivaient pas à traverser depuis plusieurs minutes.
Seul avantage: un roi chrétien pas très chrétien, et qui se pose en ennemi badass de la saison.
Grosse découverte grâce à Mike, la série True Detective. La reconstitution par témoignage d'une enquête fictive au milieu des années 1990, avec deux flics de chocs: un nihiliste et un pseudo flic-modèle. Au deuxième épisode, la série se colore en jaune, et le thème d'Hastur apparait en filigrane. On dirait une campagne horrifique de Delta Green, racontée par les survivants après leur passage en hôpital psychiatrique.
Et pour le reste? Rien de très glorieux: le rythme est mou, c'est chiant, les batailles sont grotesques, mal chorégraphiées et mal montées (spéciale dédicace à l'épisode où les combattants se rangent poliment sur un champ de terre battue parfaitement carré, visiblement aplani et déblayé à la machine, le tout au beau milieu des collines herbeuses...) Les combats sont truffés de détails grotesques qui brisent la crédibilité et font qu'on arrive pas à se plonger dedans. Que ce soit un faux rythme dans les mouvements (la faute au montage ou au chorégraphe? Torts partagés, on va dire), un plan qui souligne des gens qui font semblant de pousser sur leur bouclier, ou la dérangeante facilité avec laquelle les personnages importants brisent la ligne de boucliers que dix hommes n'arrivaient pas à traverser depuis plusieurs minutes.
Seul avantage: un roi chrétien pas très chrétien, et qui se pose en ennemi badass de la saison.
Grosse découverte grâce à Mike, la série True Detective. La reconstitution par témoignage d'une enquête fictive au milieu des années 1990, avec deux flics de chocs: un nihiliste et un pseudo flic-modèle. Au deuxième épisode, la série se colore en jaune, et le thème d'Hastur apparait en filigrane. On dirait une campagne horrifique de Delta Green, racontée par les survivants après leur passage en hôpital psychiatrique.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je n'ai vu pour le moment que les 4 premiers épisodes de la saison 2 mais je ne suis pas d'accord avec toi, je trouve au contraire que cela bouge pas mal, les épisodes sont bien rythmés et je trouve que la trame principale avec les autres Jarls et les englais est assez sympa à suivre.Drahe a écrit :Bon, je suis la saison 2 de Vikings, qui en est déjà à son 6e épisode sur 9 ou 10, et qu'on pourrait rebaptiser "amour, gloire et drakkars". Toute l'intrigue est concentrée sur les liaisons amoureuses. La politique, les raids, la religion viking? Non, on va parler d'une intrigue amoureuse secondaire qui mérite au moins un tiers du temps de l'épisode... C'est saoulant, et beaucoup moins bon que la première saison.
Et pour le reste? Rien de très glorieux: le rythme est mou, c'est chiant, les batailles sont grotesques, mal chorégraphiées et mal montées (spéciale dédicace à l'épisode où les combattants se rangent poliment sur un champ de terre battue parfaitement carré, visiblement aplani et déblayé à la machine, le tout au beau milieu des collines herbeuses...) Les combats sont truffés de détails grotesques qui brisent la crédibilité et font qu'on arrive pas à se plonger dedans. Que ce soit un faux rythme dans les mouvements (la faute au montage ou au chorégraphe? Torts partagés, on va dire), un plan qui souligne des gens qui font semblant de pousser sur leur bouclier, ou la dérangeante facilité avec laquelle les personnages importants brisent la ligne de boucliers que dix hommes n'arrivaient pas à traverser depuis plusieurs minutes.
Seul avantage: un roi chrétien pas très chrétien, et qui se pose en ennemi badass de la saison.
Après il est vrai que l'histoire avec ses femmes est un peu ennuyeuse mais cela ne fait que reprendre les faits historiques vu qu'il fut belle bien marié aux deux et qu'après avoir divorcé Lagertha reviendra l'aider avec une centaine de navires lors de la guerre en Norvège. Ce qui me gène le plus c'est le gamin qui en 4 ans en gagne presque le double mais bon.
Vu qu'il a eu 4 femmes on peux s'estimer heureux qu'il ne nous parle que de deux d'entre elles ^^
Bref la série est assez plaisante à mes yeux mais étant un grand fan de mythologie nordique cela me parle surement plus qu'à d'autre.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Vos réactions sur la saison 4 du Trône de Fer? Je trouve toutes les scènes un peu rapides, saccadées. Pour l'instant Arya et Shae sont les seuls dont l'esprit est respecté jusqu'au bout (même Sandor Clegane décline). L'apparition d'Oberynn Martell est franchement classe, et assez appropriée au personnage. Et comme d'hab, l'histoire de Daenerys est rabotée pour des questions de timing.
Grosse surprise: l'acteur qui joue Jaime Lannister a tellement pris un coup de vieux que j'ai cru à un changement d'acteur au début.
Grosse surprise: l'acteur qui joue Jaime Lannister a tellement pris un coup de vieux que j'ai cru à un changement d'acteur au début.
- Franck
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Ce qui est complètement raccord avec les bouquins.Drahe a écrit :Grosse surprise: l'acteur qui joue Jaime Lannister a tellement pris un coup de vieux que j'ai cru à un changement d'acteur au début.
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- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
J'ai vu en vente un nouveau film Albator le corsaire de l'espace
Je savais pas que c'était sorti au cinéma ! Ca doit être trop bon comme film ! Une super histoire, un capitaine albator badass super fort
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- Docteur Huygues
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Te fais pas avoir, il n'y'a jamais eu de film albator ! C'est surement un fake chinois honteux https://www.youtube.com/watch?v=kgtEdx-jDJk#t=48 .Tony bernouilli a écrit :J'ai vu en vente un nouveau film Albator le corsaire de l'espace
Je savais pas que c'était sorti au cinéma ! Ca doit être trop bon comme film ! Une super histoire, un capitaine albator badass super fort
"..."
- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Enfoiré de chinois !
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- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
"Al bat Thor"? c'est un cross over entre "marié 2 enfants" et "thor" de marvel?
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- wulfgar
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Durant le peu de temps qu'il me reste, je m'adonne à une passion grandissante : les séries TV.
Au début, je voyais plutôt ça comme un simple divertissement, mais il y a un tel foisonnement de séries en tout genre depuis une dizaine d'années qu'il devient à la fois difficile de pouvoir en tester beaucoup, et donc difficile de les juger de façon objective.
Selon moi, toutes les séries peuvent d'abord être divisées en 2 catégories : celles qui passent sur TF1 et les autres...
Bon, j'exagère un peu...mais à peine finalement, tant la plupart des séries que l'on peut voir sur les chaînes principales sont assez limitées, surtout si l'on sort du filon juteux qu'est la série policière.
Plus objectivement, il y a les comédies et les dramas (catégories utilisées pour les emmy awards et les golden globes par exemple) les grandes séries et les mini séries (voir ci-dessus), les one stand et les sagas.
Toutes ces différences depuis que les séries existent font qu'il est relativement délicat de comparer une série à une autre (sûr que pour les CSI-Les Experts et autres spin-off, y a moins de souci...)
Là aussi, j'ai encore des séries en cours de visionnage (5), des séries abandonnées en cours, d'autres que j'aimerais revoir un jour...mais encore une fois, tout est une question de temps !
Je ne serai pas original en révélant qu'une de mes séries du moment reste Game of Thrones ou GOT pour les initiés, notamment parce que j'avais commencé à lire les livres depuis leur sortie en français et en poche.
Mais il est justement intéressant sur ce point de comparer - du moins dans la limite du comparable - les livres et la série.
Car pour résumer, je dirais que les deux sont à la fois très proches et n'ont absolument rien à voir.
A suivre...
Au début, je voyais plutôt ça comme un simple divertissement, mais il y a un tel foisonnement de séries en tout genre depuis une dizaine d'années qu'il devient à la fois difficile de pouvoir en tester beaucoup, et donc difficile de les juger de façon objective.
Selon moi, toutes les séries peuvent d'abord être divisées en 2 catégories : celles qui passent sur TF1 et les autres...
Bon, j'exagère un peu...mais à peine finalement, tant la plupart des séries que l'on peut voir sur les chaînes principales sont assez limitées, surtout si l'on sort du filon juteux qu'est la série policière.
Plus objectivement, il y a les comédies et les dramas (catégories utilisées pour les emmy awards et les golden globes par exemple) les grandes séries et les mini séries (voir ci-dessus), les one stand et les sagas.
Toutes ces différences depuis que les séries existent font qu'il est relativement délicat de comparer une série à une autre (sûr que pour les CSI-Les Experts et autres spin-off, y a moins de souci...)
Là aussi, j'ai encore des séries en cours de visionnage (5), des séries abandonnées en cours, d'autres que j'aimerais revoir un jour...mais encore une fois, tout est une question de temps !
Je ne serai pas original en révélant qu'une de mes séries du moment reste Game of Thrones ou GOT pour les initiés, notamment parce que j'avais commencé à lire les livres depuis leur sortie en français et en poche.
Mais il est justement intéressant sur ce point de comparer - du moins dans la limite du comparable - les livres et la série.
Car pour résumer, je dirais que les deux sont à la fois très proches et n'ont absolument rien à voir.
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- wulfgar
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Donc, je vais pas vous faire un topo sur GoT car la plupart d'entre vous suivent la série, mais pour ceux qui ont lu/lisent les livres, c'est intéressant de faire le parallèle entre les romans et celle-ci.
Le boulot des producteurs et des scénaristes a du être énorme, car les romans ont été conçus sur le principe du POV, cad que chaque chapitre est raconté par le biais d'un des personnages qui y tient un rôle.
A l'écran, forcément, c'est difficilement possible, et la série est donc une suite de narration des aventures des différents protagonistes importants aux 4 coins de Westeros et d'Essos.
La force de la série a donc consisté à réunir un casting lourd mais de qualité et à donner à certaines scènes une visibilité plus intense que celle suggérée dans les romans.
Pour la petite histoire, il faut savoir que selon les pays de diffusion, le personnage préféré des téléspectateurs est différent (Les Français préfèrent Tyrion Lannister...étonnant non ?)
Mais là où la série prend son envol, c'est justement lorsqu'elle se démarque des romans, et c'est ce qu'elle va faire de plus en plus !
Notons en effet qu'à l'issue de la 4ème saison, la série a presque rattrapé les livres, et que George Martin ne semble pas très pressé de finir la suite, mais reste très concerné par la série puisqu'il en a même écrit certains épisodes...
Et l'auteur aurait également discuté avec les scénaristes de la fin de la saga, en précisant qu'elle serait certainement douce-amère, car il a bien conscience qu'elle risque désormais de devancer les romans.
A suivre...
Le boulot des producteurs et des scénaristes a du être énorme, car les romans ont été conçus sur le principe du POV, cad que chaque chapitre est raconté par le biais d'un des personnages qui y tient un rôle.
A l'écran, forcément, c'est difficilement possible, et la série est donc une suite de narration des aventures des différents protagonistes importants aux 4 coins de Westeros et d'Essos.
La force de la série a donc consisté à réunir un casting lourd mais de qualité et à donner à certaines scènes une visibilité plus intense que celle suggérée dans les romans.
Pour la petite histoire, il faut savoir que selon les pays de diffusion, le personnage préféré des téléspectateurs est différent (Les Français préfèrent Tyrion Lannister...étonnant non ?)
Mais là où la série prend son envol, c'est justement lorsqu'elle se démarque des romans, et c'est ce qu'elle va faire de plus en plus !
Notons en effet qu'à l'issue de la 4ème saison, la série a presque rattrapé les livres, et que George Martin ne semble pas très pressé de finir la suite, mais reste très concerné par la série puisqu'il en a même écrit certains épisodes...
Et l'auteur aurait également discuté avec les scénaristes de la fin de la saga, en précisant qu'elle serait certainement douce-amère, car il a bien conscience qu'elle risque désormais de devancer les romans.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Puisque j'ai souvent posté ici des critiques de cinéma que personne ne lit, je viens me faire un peu de pub en vous annonçant que je suis passé au lvl supérieur: je fais une émission radio de critique cinéma que personne n'écoute!
http://www.trensmissions.ens.fr/toile-fond-1/
La très sympathique émission toile de fond, qui a fait son premier numéro il y a quinze jours, reviendra mercredi pour interviewer Sylvie Ohayon, la réalisatrice de Papa was not a Rolling Stone, sorti récemment.
http://www.trensmissions.ens.fr/toile-fond-1/
La très sympathique émission toile de fond, qui a fait son premier numéro il y a quinze jours, reviendra mercredi pour interviewer Sylvie Ohayon, la réalisatrice de Papa was not a Rolling Stone, sorti récemment.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Belle initiative. Si je puis me permettre, cela manque tout même cruellement de tatanes, pains dans la gueule et autres chinoiseries.Drahe a écrit :Puisque j'ai souvent posté ici des critiques de cinéma que personne ne lit, je viens me faire un peu de pub en vous annonçant que je suis passé au lvl supérieur: je fais une émission radio de critique cinéma que personne n'écoute!
http://www.trensmissions.ens.fr/toile-fond-1/
La très sympathique émission toile de fond, qui a fait son premier numéro il y a quinze jours, reviendra mercredi pour interviewer Sylvie Ohayon, la réalisatrice de Papa was not a Rolling Stone, sorti récemment.
[edit] Ça parle tout de même de Hercule avec The Rock, donc le quota de testostérone est (à peu près) assuré !
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Notre podcast avec du lourd: les chroniques de Léviathan, Mommy, et l'interview de Sylvie Ohayon pour parler de son film Papa was not a Rolling Stone. Fraîchement enregistrée du jour!
http://www.trensmissions.ens.fr/toile-f ... lle-letat/
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
salut à toi ami des merveilleuses couleurs du ROUGE ET NOIR je lis avec un certain plaisir tes critiques.....
- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
En temps normal, j'aurai fait un pavé sur le très gros Interstellar sur le forum.
Heureusement, nous avons fait un numéro spécial Interstellar dans Toile de fond! Bonne écoute!
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- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
1minute10 de générique c'est beaucoup même si l'émission dure 45 minutes.
j'ai d'ailleurs coulé psychologiquement au bout de 45 secondes et coupé l'écoute à la fin du générique car la barre est trop petite pour pouvoir zappé celui-ci efficacement, dommage ^^
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- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
J'espère que vous avez tabassé et violé le gars qui dit que Prometheus c'était bien
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- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Entièrement d'accord!desba a écrit :1minute10 de générique c'est beaucoup même si l'émission dure 45 minutes.
j'ai d'ailleurs coulé psychologiquement au bout de 45 secondes et coupé l'écoute à la fin du générique car la barre est trop petite pour pouvoir zappé celui-ci efficacement, dommage ^^
Le générique est à revoir, pour l'ergonomie du lecteur ça ne dépend pas de nous, mais les autres chroniqueurs des diverses émissions s'en plaignent aussi, le site va revoir toute son interface en janvier.
- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
A tous ceux qui ont un jour osé dire que Iron Sky n'était pas un bon film...
https://www.youtube.com/watch?v=NG2utrMwTyY
Ils ont adapté Hollow Earth Expedition, qu'est-ce qu'il vous faut de plus?
https://www.youtube.com/watch?v=NG2utrMwTyY
Ils ont adapté Hollow Earth Expedition, qu'est-ce qu'il vous faut de plus?
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
autant je conçois que des gens comme nous, pauvre joueur de jdr a l'esprit déformé et torturé, puissions voir au travers de film comme ça un intérêt plus ou moins prononcé, autant pour le quidam de base je ne suis pas sûr que cela soit des plus intéressants. Mais bon dans l'état où est hollywood aujourd'hui et quand on voit a quoi il est réduit pour survivre... on peut pas vraiment lui en vouloir...
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
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- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Tu es fou de mettre de tel reportage !Drahe a écrit :A tous ceux qui ont un jour osé dire que Iron Sky n'était pas un bon film...
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je viens de perdre 2 min à regarder le trailer ... plus quelques secondes à rédiger ce message.
J'ai hâte de rattraper ce temps perdu pour me foutre de la gueule de ceux qui auront perdu le leur (de temps) à regarder une suite sûrement aussi pitoyable que le premier.
J'ai hâte de rattraper ce temps perdu pour me foutre de la gueule de ceux qui auront perdu le leur (de temps) à regarder une suite sûrement aussi pitoyable que le premier.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Je viens de regarder Serpico. Je pense que c'est un film pour Djez: Al Pacino en flic honnête qui débarque chez la police de HDR ^^
" Er fiel im Oktober 1918, an einem Tage, der so ruhig und still war an der ganzen Front, dass der Heeresbericht sich nur auf den Satz beschränkte, im Westen sei nichts Neues zu melden."
Erich Maria Remarque
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- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Mad Max: Fury road
Après Prometheus, je ne croyais plus à rien... Une franchise saccagée, souillée et abandonnée dans le caniveau par son propre créateur, ça traumatise... Du coup, quand j'ai vu que Georges Miller réalisait un nouveau Mad Max, je redoutais le pire...
Evidemment j'avais peur: peur de la mode du non-scénario qui pollue Hollywood, peur de l'autre mode hollywoodienne: celle des archétypes bidons qui a déjà privé tant de films de la possibilité de personnages intéressants (l'avalanche de clichés qui remplace les personnages de Pacific Rim par exemple). Peur aussi du syndrome de "come back", qui fait dépenser des millions dans des suites pourries qui vident de leur substance un personnage intéressant en comptant sur la nostalgie du public (si vous pensez que j'exagère, demandez ce qu'ils en pensent à Robocop et Indiana Jones). Peur enfin du casting assez lisse: Charlize Theron a déjà montré pas mal de talent, mais il suffit d'une mauvaise direction pour qu'un acteur talentueux ait autant de charisme qu'un poisson crevé à l'étalage (pas vrai M. Night Shyamalan?) Mais Tom Hardy? Il peut faire figure de badass parmi les gentlemen costumés d'Inception, mais pour Mad Max j'avais peur que ce soit un peu léger.
Du coup, c'est avec beaucoup de craintes que j'ai franchi les portes... Mais les plus courageux des Nains ont fait le pas avec moi, on est allé voir ça avec Dianoia et Djez... Et on s'est payé la première mondiale de ce jeudi, rien que ça (le film a bénéficié d'une sortie décalée, et nous avons assisté à l'une des premières séances françaises, devancés de seulement dix minutes par les spectateurs du Grand Rex, qui l'ont vu en VF, du coup ça ne compte pas). En 3D (parce que... pourquoi pas?) et en VO (parce que voir un film en VF c'est comme un massage des pieds quand on porte des baskets, ou une fellation avec capote: on ne ressent pas la même chose).
Et c'était foutralement génial!
Le film dose bien son rythme, il est bourré d'action, d'ultra-violence, de véhicules bricolés et décorés de squelettes humains, de moteurs dopés à la nitro, et d'un guitariste mutant aveugle enchaîné sur le toit d'un camion.
En plus de ça: le personnage est respecté. J'ai trouvé Tom Hardy trop lisse et inexpressif, mais finalement ce n'est pas plus mal de laisser Charlize Theron porter le film vu le thème: la libération féminine. Le film est non seulement fidèle aux premiers Mad Max, mais poursuit leur héritage en s'inspirant directement de Mad Max 2 et de son convoi attaqué. Le scénario tient sur une demi-page, mais il est globalement cohérent (à deux ou trois détails près, il y a des plotholes évidemment, mais rien qui égale le degré d'absurdité d'un Man of Steel), et son message est plutôt clair. Le rythme est excellent avec énormément d'action, et des personnages suffisamment développés pour qu'on échappe au syndrome de la godiche.
Synopsis (aucun spoiler): Dans la Citadelle, dernière oasis perchée sur les pics rocheux d'un désert australien, les femmes captives du prophète auto-proclamé Immortan Joe décident de s'enfuir. Elles ont la complicité d'un des lieutenants d'Immortan Joe, la responsable d'un convoi d'eau et de fuel: l'Imperatrice Furiosa.
Lorsque cette dernière détourne le convoi, elle est bientôt poursuivie par une horde de mutants fanatiques: les War Boyz d'immortan Joe, des adolescent irradiés qui n'hésiteront pas à se sacrifier pour ramener les femmes de leur prophète afin de gagner leur place au Valhalla, où ils seront chromés et parcourront les routes pour l'éternité.
Je terminerai sobrement en citant quelques critiques de cinéma fiables:
"La 3D est très bien exploitée." Dianorama
"Là on a eu tous les éléments d'un bon Mad Max réunis dès le début." Les djéziers du cinéma
"Nan mais Tom Hardy il est formidable... Tu peux pas comprendre." Dianoia actuelle
"Ils ont été au-delà d'Atomic Highway!!!" Djez rat'zine
Après Prometheus, je ne croyais plus à rien... Une franchise saccagée, souillée et abandonnée dans le caniveau par son propre créateur, ça traumatise... Du coup, quand j'ai vu que Georges Miller réalisait un nouveau Mad Max, je redoutais le pire...
Evidemment j'avais peur: peur de la mode du non-scénario qui pollue Hollywood, peur de l'autre mode hollywoodienne: celle des archétypes bidons qui a déjà privé tant de films de la possibilité de personnages intéressants (l'avalanche de clichés qui remplace les personnages de Pacific Rim par exemple). Peur aussi du syndrome de "come back", qui fait dépenser des millions dans des suites pourries qui vident de leur substance un personnage intéressant en comptant sur la nostalgie du public (si vous pensez que j'exagère, demandez ce qu'ils en pensent à Robocop et Indiana Jones). Peur enfin du casting assez lisse: Charlize Theron a déjà montré pas mal de talent, mais il suffit d'une mauvaise direction pour qu'un acteur talentueux ait autant de charisme qu'un poisson crevé à l'étalage (pas vrai M. Night Shyamalan?) Mais Tom Hardy? Il peut faire figure de badass parmi les gentlemen costumés d'Inception, mais pour Mad Max j'avais peur que ce soit un peu léger.
Du coup, c'est avec beaucoup de craintes que j'ai franchi les portes... Mais les plus courageux des Nains ont fait le pas avec moi, on est allé voir ça avec Dianoia et Djez... Et on s'est payé la première mondiale de ce jeudi, rien que ça (le film a bénéficié d'une sortie décalée, et nous avons assisté à l'une des premières séances françaises, devancés de seulement dix minutes par les spectateurs du Grand Rex, qui l'ont vu en VF, du coup ça ne compte pas). En 3D (parce que... pourquoi pas?) et en VO (parce que voir un film en VF c'est comme un massage des pieds quand on porte des baskets, ou une fellation avec capote: on ne ressent pas la même chose).
Et c'était foutralement génial!
Le film dose bien son rythme, il est bourré d'action, d'ultra-violence, de véhicules bricolés et décorés de squelettes humains, de moteurs dopés à la nitro, et d'un guitariste mutant aveugle enchaîné sur le toit d'un camion.
En plus de ça: le personnage est respecté. J'ai trouvé Tom Hardy trop lisse et inexpressif, mais finalement ce n'est pas plus mal de laisser Charlize Theron porter le film vu le thème: la libération féminine. Le film est non seulement fidèle aux premiers Mad Max, mais poursuit leur héritage en s'inspirant directement de Mad Max 2 et de son convoi attaqué. Le scénario tient sur une demi-page, mais il est globalement cohérent (à deux ou trois détails près, il y a des plotholes évidemment, mais rien qui égale le degré d'absurdité d'un Man of Steel), et son message est plutôt clair. Le rythme est excellent avec énormément d'action, et des personnages suffisamment développés pour qu'on échappe au syndrome de la godiche.
Synopsis (aucun spoiler): Dans la Citadelle, dernière oasis perchée sur les pics rocheux d'un désert australien, les femmes captives du prophète auto-proclamé Immortan Joe décident de s'enfuir. Elles ont la complicité d'un des lieutenants d'Immortan Joe, la responsable d'un convoi d'eau et de fuel: l'Imperatrice Furiosa.
Lorsque cette dernière détourne le convoi, elle est bientôt poursuivie par une horde de mutants fanatiques: les War Boyz d'immortan Joe, des adolescent irradiés qui n'hésiteront pas à se sacrifier pour ramener les femmes de leur prophète afin de gagner leur place au Valhalla, où ils seront chromés et parcourront les routes pour l'éternité.
Je terminerai sobrement en citant quelques critiques de cinéma fiables:
"La 3D est très bien exploitée." Dianorama
"Là on a eu tous les éléments d'un bon Mad Max réunis dès le début." Les djéziers du cinéma
"Nan mais Tom Hardy il est formidable... Tu peux pas comprendre." Dianoia actuelle
"Ils ont été au-delà d'Atomic Highway!!!" Djez rat'zine
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
D'ailleurs en parlant de Mad Max, le petit cinéma de livry organise une "soirée Mad Max" le samedi 30. Avec un prix réduit de 9euro ils proposent dans l'ordre Road Fury, Mad Max et Mad Max 2. Le Dôme du Tonnerre n’existant pas je pense que cette petite trilogie post-apo pourrais être plutôt sympa. Pour le moment on est 2-3 à ce posé la question du coup si vous êtes intéressé n’hésitai pas a le dire qu'on voit pour s'organiser ensemble
Khorne est mon modèle, Nurgle est mon ami, Slaanesh m'accompagne et Tzeentch est mon frère.
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Mon but t'apparait alors limpide, je vais réduire ton corps à l'état de pulpe, souillé ton cadavre, me vautrer dedans et enfin je maudirai ton âme
Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@stoning : moi je dis, pourquoi pas !
Bow ties are cool!
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Donc en effet, j'ai vu MAD MAX 4 jeudi à l'UGC des Halles avec Drahe et Dianoia... et franchement le film envoie bien !
C'est du pur Atomic Highway, avec de l'action non stop, des personnages too much, des images qui claquent et un pur esprit rock n' roll ! J'ai vraiment beaucoup aimé, y a deux trois trucs qui m'ont pas trop convaincu (principalement les "flash back traumatisé" de MadMax qui sont plus relous qu'autre chose et MadMax qui n'est pas assez vindicatif à mon goût), mais sur l'ensemble, je plussoie totalement !
Je ne sais pas vraiment s'il est dans la lignée des anciens Mad Max, mais ce qui est clair c'est que c'est un chouette film, qui se regarde bien et qui est bien fun ! On est dans une approche quasi "Metal Hurlant", mais c'est bien foutu donc ça passe bien.
Niveau acteurs, bon casting : perso j'aime vraiment bien l'interprétation de Tom Hardy, qui a vraiment la gueule de l'emploi, et tous les autres rôles sont aussi bien campés, donc nickel !
Et puis il y a eu le respect de la "charte Mad Max"à savoir :
a) Des scènes de cascade en véhicules improbables absolument too much
b) Des scènes où l'on voit Mad Max s'en prendre plein la gueule mais continuer d'être un badass
c) Des scènes avec des nanas à poil
d) Des scènes de violence gratuite et de mort trash
e) Des personnages aux looks improbables de pervers sado-maso fan des bonus dvd de Pulp Fiction
Bref, yabon !
Sinon dans la même journée j'ai vu SHARKNADO... Je dirais juste :
C'est du pur Atomic Highway, avec de l'action non stop, des personnages too much, des images qui claquent et un pur esprit rock n' roll ! J'ai vraiment beaucoup aimé, y a deux trois trucs qui m'ont pas trop convaincu (principalement les "flash back traumatisé" de MadMax qui sont plus relous qu'autre chose et MadMax qui n'est pas assez vindicatif à mon goût), mais sur l'ensemble, je plussoie totalement !
Je ne sais pas vraiment s'il est dans la lignée des anciens Mad Max, mais ce qui est clair c'est que c'est un chouette film, qui se regarde bien et qui est bien fun ! On est dans une approche quasi "Metal Hurlant", mais c'est bien foutu donc ça passe bien.
Niveau acteurs, bon casting : perso j'aime vraiment bien l'interprétation de Tom Hardy, qui a vraiment la gueule de l'emploi, et tous les autres rôles sont aussi bien campés, donc nickel !
Et puis il y a eu le respect de la "charte Mad Max"à savoir :
a) Des scènes de cascade en véhicules improbables absolument too much
b) Des scènes où l'on voit Mad Max s'en prendre plein la gueule mais continuer d'être un badass
c) Des scènes avec des nanas à poil
d) Des scènes de violence gratuite et de mort trash
e) Des personnages aux looks improbables de pervers sado-maso fan des bonus dvd de Pulp Fiction
Bref, yabon !
Sinon dans la même journée j'ai vu SHARKNADO... Je dirais juste :
Djez en 3 jeux...
Un jeu de rôle : BLACKSAD
Un jeu de société : FLOTILLA
Un jeu vidéo : INDIANA JONES & THE FATE OF ATLANTIS
VISITEZ CHEZ DJEZ !
Un jeu de rôle : BLACKSAD
Un jeu de société : FLOTILLA
Un jeu vidéo : INDIANA JONES & THE FATE OF ATLANTIS
VISITEZ CHEZ DJEZ !
- Drahe
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
On en oublierait qu'il n'y a pas que mad Max au cinoche en ce moment. Une petite revue de ce que j'ai vu ces dernières semaines:
Avengers 2: Non je déconne, on va parler de vrais films.
Good Kill: Très critiqué, le dernier film d'Andrew Nichols (réalisateur de Gattaca, Lord of War, et scénariste du Truman show entre autres, le monsieur n'a rien à prouver) s'aventure dans l'esprit d'un ancien pilote de chasse obligé à piloter des drones. Chaque jour, il scrute l'écran avec sa copilote et ses collègues pour détruire des cibles précises. La mission est montrée dans sa crudité: très loin de la "frappe chirurgicale", formidable expression de novlangue qui désigne l'envoi d'un missile incendiaire d'une aire d'effet d'au moins cinq mètres de diamètre, qui pulvérise les corps et fait se volatiliser la chair. La guerre contre le terrorisme est montrée telle qu'elle existe actuellement sous l'administration Obama: des listes sans fin de personnes à tuer, chacune apportant l'occasion d'erreurs et de dommages collatéraux, donc de pertes civiles.
Le film est froid, distant et c'est justement un parti-pris qui peut se transformer en défaut. Ce traitement permet de comprendre l'absence à lui-même du personnage principal, tout en rendant le film désagréable (vu le sujet: fallait-il qu'il soit agréable à regarder?). Les critiques ont reproché des personnages trop typés et une fin convenue... C'est la logique de la fiction qui veut ça, un reportage sincère sur les pilotes de drones n'étant évidemment pas possible.
Une belle fin: Un film très vivant sur la mort. Le sujet n'est pas facile, le personnage dur à camper, pourtant Eddie Marsan est parfait en consciencieux fonctionnaire londonien, dont le travail consiste à retrouver la famille de décédés solitaires. Il n'y arrive presque jamais, et est réduit à rédiger les éloges funèbres lui-même à partir de photos éparses et de fragments de lettres. Lorsqu'on lui annonce que le prochain mort est son voisin d'en face qu'il n'a jamais remarqué, il se lance dans une enquête de longue haleine pour reconstituer la vie d'un personnage solitaire mais haut en couleur, que personne n'a jamais oublié. Plus une invitation à réfléchir à la solitude qu'une lamentation mortuaire, Une belle fin est certainement le film le plus émouvant que j'ai vu cette année.
BREIKÏNGUES NIOUZES Le film Warcraft dévoile ses premières images et entame officiellement sa campagne de promo, pour une sortie prévue en mars 2016... J'entends déjà les Blizzboyz mouiller leur slibard.
Avengers 2: Non je déconne, on va parler de vrais films.
Good Kill: Très critiqué, le dernier film d'Andrew Nichols (réalisateur de Gattaca, Lord of War, et scénariste du Truman show entre autres, le monsieur n'a rien à prouver) s'aventure dans l'esprit d'un ancien pilote de chasse obligé à piloter des drones. Chaque jour, il scrute l'écran avec sa copilote et ses collègues pour détruire des cibles précises. La mission est montrée dans sa crudité: très loin de la "frappe chirurgicale", formidable expression de novlangue qui désigne l'envoi d'un missile incendiaire d'une aire d'effet d'au moins cinq mètres de diamètre, qui pulvérise les corps et fait se volatiliser la chair. La guerre contre le terrorisme est montrée telle qu'elle existe actuellement sous l'administration Obama: des listes sans fin de personnes à tuer, chacune apportant l'occasion d'erreurs et de dommages collatéraux, donc de pertes civiles.
Le film est froid, distant et c'est justement un parti-pris qui peut se transformer en défaut. Ce traitement permet de comprendre l'absence à lui-même du personnage principal, tout en rendant le film désagréable (vu le sujet: fallait-il qu'il soit agréable à regarder?). Les critiques ont reproché des personnages trop typés et une fin convenue... C'est la logique de la fiction qui veut ça, un reportage sincère sur les pilotes de drones n'étant évidemment pas possible.
Une belle fin: Un film très vivant sur la mort. Le sujet n'est pas facile, le personnage dur à camper, pourtant Eddie Marsan est parfait en consciencieux fonctionnaire londonien, dont le travail consiste à retrouver la famille de décédés solitaires. Il n'y arrive presque jamais, et est réduit à rédiger les éloges funèbres lui-même à partir de photos éparses et de fragments de lettres. Lorsqu'on lui annonce que le prochain mort est son voisin d'en face qu'il n'a jamais remarqué, il se lance dans une enquête de longue haleine pour reconstituer la vie d'un personnage solitaire mais haut en couleur, que personne n'a jamais oublié. Plus une invitation à réfléchir à la solitude qu'une lamentation mortuaire, Une belle fin est certainement le film le plus émouvant que j'ai vu cette année.
BREIKÏNGUES NIOUZES Le film Warcraft dévoile ses premières images et entame officiellement sa campagne de promo, pour une sortie prévue en mars 2016... J'entends déjà les Blizzboyz mouiller leur slibard.
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Mes derniers films vus:
- Mad Max 4: En gros un scénar de jeux vidéo/jdr avec des scènes wtf et incohérentes dans tous les sens mais du spectaculaire.
Y'a 3 grands "méchants" dans l'histoire, même si il n'ont rien de méchants, juste pathétiques en faite, ils ont chacun une armée de mecs avec eux et comme dans tous bon jdr/jeux vidéo, l'armée de mecs n'est là que pour le background, seul les "grands méchants" vont se battre contre Max et une fois qu'ils ont perdu leurs mecs "dépopent" de l'histoire...
J'ai trouvé que Tom Hardy donnait un coté attardé au personnage de Max, il faut dire qu'il ne dit pas un mot pendant les 30 premières minutes du films et se contente de grogner ou gesticuler pour essayer de se faire comprendre, a croire qu'il se croyait encore dans le rôle de Bane.
Mais surtout le gros problème du film c'est qu'il ne pause rien, ni personnages, ni contexte, ni lieux. Du coup on voit des gens faire des choses sans trop savoir pourquoi, parler d'autres sans trop savoir quoi et surtout on à aucune empathie pour eux vu qu'on ne sait rien d'eux mise a part que les méchants sont méchants et veulent tuer les gentils et que les gentils, ba sont gentils car on nous dit qu'ils sont gentils.
Bref, un film a vite oublier pour ma part.
- En Equilibre: Film avec Albert Dupontel et Cecile DeFrance, l'histoire d'un cascadeur/dresseur de chevaux qui se retrouve hémiplégique à la suite d'une cascade qui tourne mal. On suit son combat pour se faire indemniser par son assurance, et quand je dis combat c'est pas usurpé ainsi que son combat pour revivre sa passion.
Comme souvent une grande prestation de Dupontel mais aussi de Cecile DeFrance, il faut dire que tous le film repose vraiment sur eux.
Un film agréable et sans prétention qui se regarde bien pour le coup.
- La famille Bélier: Sur fond de comédie un film sur l’intégration et le regard des autres. Un sujet vu et revu des dizaines de fois mais qui est bien traité. Quelques moments drôles, quelques moments chiants, mais dans l'ensemble ça passe bien.
- Jupiter Ascending: Le film le plus kitch de ces dernières années. Un vrai nanar digne des années 80, la premières scène donne le ton, un mec prend un balle dans le bas du ventre gauche, scène suivante sa blessure est au niveau du pectoraux droit... Le jeu d'acteur est digne d'un film amateur, tout comme le scénar.
Le héros se déplace quand même avec des rollers volants, il fallait oser le faire, les perso ont des pisto-laser qui font piou-piou et en gros on dirait un film fait par un enfant.
Rien de spécial a conserver de ce film, tout à oublier sauf un point super important, Sean Bean joue dedans et pour une fois il ne meurt pas à la fin, truc de ouf !
- Avengers 2: l'ère d'Ultron: Devrait plutôt s'appeler "l'air d'Etron", ou comment les mecs qui sont présentés comme des génies utilise une IA dont il ne savent rien pour la mettre dans le projet le plus ambitieux possible. Bien sur cette IA est méchante et pour empêcher que les avengers ne fasse d'innocentes victimes en essayent de sauver le monde elle décide de détruire les avengers ainsi que toute la population au passage.
C'est l'air d'Etron car ce film à du être écrit sur un rouleau de PQ pendant que le scénariste avait une gastro, ce qui explique la qualité de ce film et l'odeur pestilentiel qui en émane.
- Compulsion: Film avec Orson Welles et Dean Stockwell (souvenez-vous de code quantum). L'histoire est simple, deux étudiants (dont Dean Stockwell) qui pensent être des vrais génies tuent quelqu'un pour expérimenter ce que cela fait, le corps fini par être découvert et un inspecteur et son équipe enquête sur le meurtre.
Les deux étudiants essayent de brouiller les pistes, assez bien, mais finissent par se faire démasquer et s'ensuit un procès ou leur avocat (Orson Welles) essai de leur éviter la peine capitale.
Un très bon film, bien ficelé qui tient surtout sur Dean Stockwell qui est vraiment flippant dans son rôle et Orson Welles qui est très bon, lui aussi, en avocat.
Un film a voir.
- L'interview qui tue: Troisième film du duo Seth Rogen et James Franco après "Délire Express" qui était très, très moyen pour ne pas dire nul et "This is the End" sympathique mais sans plus. Cette fois encore les personnages sont totalement barrés mais c'est bien maitrisé. Le plot est simple, il vont interviewer Kim Jung Hun et la CIA leur demande de le tuer. Va s'en suivre des scènes totalement improbables mais pleines de références/conneries qui font que le film est bon délire du début à la fin. Les personnages "too much" sont bien fait et attachants, l'histoire se suit bien et ne possède pas vraiment de temps morts. Bref une bonne surprise et quelques répliques/scènes cultes qui font de ce film une bonne comédie agréable.
C'est bizarre mais j'ai l'impression que:
- Soit je deviens plus difficile et exigent des films.
- Soit les films sont moins travaillés qu'avant.
- Soit je deviens un vieux con qui râle pour rien.
- Soit tout à la fois ^^
- Mad Max 4: En gros un scénar de jeux vidéo/jdr avec des scènes wtf et incohérentes dans tous les sens mais du spectaculaire.
Y'a 3 grands "méchants" dans l'histoire, même si il n'ont rien de méchants, juste pathétiques en faite, ils ont chacun une armée de mecs avec eux et comme dans tous bon jdr/jeux vidéo, l'armée de mecs n'est là que pour le background, seul les "grands méchants" vont se battre contre Max et une fois qu'ils ont perdu leurs mecs "dépopent" de l'histoire...
J'ai trouvé que Tom Hardy donnait un coté attardé au personnage de Max, il faut dire qu'il ne dit pas un mot pendant les 30 premières minutes du films et se contente de grogner ou gesticuler pour essayer de se faire comprendre, a croire qu'il se croyait encore dans le rôle de Bane.
Mais surtout le gros problème du film c'est qu'il ne pause rien, ni personnages, ni contexte, ni lieux. Du coup on voit des gens faire des choses sans trop savoir pourquoi, parler d'autres sans trop savoir quoi et surtout on à aucune empathie pour eux vu qu'on ne sait rien d'eux mise a part que les méchants sont méchants et veulent tuer les gentils et que les gentils, ba sont gentils car on nous dit qu'ils sont gentils.
Bref, un film a vite oublier pour ma part.
- En Equilibre: Film avec Albert Dupontel et Cecile DeFrance, l'histoire d'un cascadeur/dresseur de chevaux qui se retrouve hémiplégique à la suite d'une cascade qui tourne mal. On suit son combat pour se faire indemniser par son assurance, et quand je dis combat c'est pas usurpé ainsi que son combat pour revivre sa passion.
Comme souvent une grande prestation de Dupontel mais aussi de Cecile DeFrance, il faut dire que tous le film repose vraiment sur eux.
Un film agréable et sans prétention qui se regarde bien pour le coup.
- La famille Bélier: Sur fond de comédie un film sur l’intégration et le regard des autres. Un sujet vu et revu des dizaines de fois mais qui est bien traité. Quelques moments drôles, quelques moments chiants, mais dans l'ensemble ça passe bien.
- Jupiter Ascending: Le film le plus kitch de ces dernières années. Un vrai nanar digne des années 80, la premières scène donne le ton, un mec prend un balle dans le bas du ventre gauche, scène suivante sa blessure est au niveau du pectoraux droit... Le jeu d'acteur est digne d'un film amateur, tout comme le scénar.
Le héros se déplace quand même avec des rollers volants, il fallait oser le faire, les perso ont des pisto-laser qui font piou-piou et en gros on dirait un film fait par un enfant.
Rien de spécial a conserver de ce film, tout à oublier sauf un point super important, Sean Bean joue dedans et pour une fois il ne meurt pas à la fin, truc de ouf !
- Avengers 2: l'ère d'Ultron: Devrait plutôt s'appeler "l'air d'Etron", ou comment les mecs qui sont présentés comme des génies utilise une IA dont il ne savent rien pour la mettre dans le projet le plus ambitieux possible. Bien sur cette IA est méchante et pour empêcher que les avengers ne fasse d'innocentes victimes en essayent de sauver le monde elle décide de détruire les avengers ainsi que toute la population au passage.
C'est l'air d'Etron car ce film à du être écrit sur un rouleau de PQ pendant que le scénariste avait une gastro, ce qui explique la qualité de ce film et l'odeur pestilentiel qui en émane.
- Compulsion: Film avec Orson Welles et Dean Stockwell (souvenez-vous de code quantum). L'histoire est simple, deux étudiants (dont Dean Stockwell) qui pensent être des vrais génies tuent quelqu'un pour expérimenter ce que cela fait, le corps fini par être découvert et un inspecteur et son équipe enquête sur le meurtre.
Les deux étudiants essayent de brouiller les pistes, assez bien, mais finissent par se faire démasquer et s'ensuit un procès ou leur avocat (Orson Welles) essai de leur éviter la peine capitale.
Un très bon film, bien ficelé qui tient surtout sur Dean Stockwell qui est vraiment flippant dans son rôle et Orson Welles qui est très bon, lui aussi, en avocat.
Un film a voir.
- L'interview qui tue: Troisième film du duo Seth Rogen et James Franco après "Délire Express" qui était très, très moyen pour ne pas dire nul et "This is the End" sympathique mais sans plus. Cette fois encore les personnages sont totalement barrés mais c'est bien maitrisé. Le plot est simple, il vont interviewer Kim Jung Hun et la CIA leur demande de le tuer. Va s'en suivre des scènes totalement improbables mais pleines de références/conneries qui font que le film est bon délire du début à la fin. Les personnages "too much" sont bien fait et attachants, l'histoire se suit bien et ne possède pas vraiment de temps morts. Bref une bonne surprise et quelques répliques/scènes cultes qui font de ce film une bonne comédie agréable.
C'est bizarre mais j'ai l'impression que:
- Soit je deviens plus difficile et exigent des films.
- Soit les films sont moins travaillés qu'avant.
- Soit je deviens un vieux con qui râle pour rien.
- Soit tout à la fois ^^
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Jupiter Ascending: Je suis un peu à poil devant ce film... Je suis confus. Parce que...
L'idée principale est excellente: une société futuriste évolutionniste qui repose sur le commerce de l'immortalité, le temps comme ressource ultime, la création d'écosystèmes entiers dans une logique de profit à long terme avec des spéculations s'étendant sur des dizaines de millénaires... Putain, ça décoiffe, c'est intelligent, c'est un putain de bon sujet, mais...
Bordel les acteurs sont nuls, les costumes sont kitsch, les scènes sont kistschs... Et c'est putain de fait exprès! C'est pas du tout un scénar moisi par négligence, c'est volontairement plombé et tiré vers le grotesque par effet comique raté bordel! Les répliques sont toutes plus débiles les unes que les autres (sauf celles qui expliquent les idées de SF pures développées plus haut...) Et putain le couple naze, elle tombe amoureuse d'un homme-loup décoloré blondasse sur rollers volants... Excusez mon langage, mais: WHAT THE FUCK?*
(*quelle est la fornication?)
Cependant il y a un truc marrant... L'ironie du titre (jupiter n'ascending rien du tout, elle retombe comme un souffé), le fait qu'une fois dépassée par les enjeux colossaux, Jupiter revienne à une vie simple de récureuse de chiottes (spoiler alert en retard), tandis que le film lui-même nous a mis des effets spéciaux plein la gueule durant deux heures pour nous amener à cette fin qui, tout en ayant l'air daubissimement naze (je triple mes points Ségolène sur cette seule phrase en inventant des mots qui ne servent à rien), le film fait un acte cinématographique qui nous demande de... Je ne sais pas... De retomber du nuage d'effets spéciaux? De revenir à la réalité? En tout cas il y a un truc à saisir de la part des autrefois visionnaires et désormais kitsch frères Wachwoski. Et pourtant...
C'est le vice hollywoodien dans tout son éclat mirifique ostentatoirement kaléïdoscopique (je continue sur ma lancée de points Ségolène, hein, je vise le super-combo, mais en même temps persister dans le ridicule tout en le faisant remarquer au spectateur, je pense que c'est l'esprit du film). Ca pète de partout, y'a des vaisseaux spatiaux gigantesques, le palais du méchant est sous la plus GROSSE FUKING TEMPETE DU SYSTEME SOLAIRE sur Jupiter, y'a de la téléportation, du camouflage, des costumes par habillage numérique, des trucs qui coûtent des putains de millions, le tout avec la touche finale de la maquilleuse de la foire agricole de Rouen qui bosse au smic... C'est-à-dire qu'on surcharge, et en même temps on vous met en pleine face un effet raté super-gênant... Et encore une fois, c'est pas de l'incompétence, c'est putain de saloperie de fait exprès! Rajoutez à cela qu'on s'engouffre dans les trous de scénario (un petit exemple parmi d'autres: pourquoi le guerrier a pour principale motivation de retrouver ses ailes biomécaniques, alors qu'il a depuis le début, comme attribut principal, des bottes anti-gravité qui prennent moins de place et... lui permettent de voler? Encore une fois: quelle est la fornication?)
Donc je ne sais pas, je veux pas, et je reste planté là, parce qu'à force de pousser le bouchon, les Wachowski ont eu raison de mes neurones et que je cite du Lara Fabian... J'en suis là.
L'idée principale est excellente: une société futuriste évolutionniste qui repose sur le commerce de l'immortalité, le temps comme ressource ultime, la création d'écosystèmes entiers dans une logique de profit à long terme avec des spéculations s'étendant sur des dizaines de millénaires... Putain, ça décoiffe, c'est intelligent, c'est un putain de bon sujet, mais...
Bordel les acteurs sont nuls, les costumes sont kitsch, les scènes sont kistschs... Et c'est putain de fait exprès! C'est pas du tout un scénar moisi par négligence, c'est volontairement plombé et tiré vers le grotesque par effet comique raté bordel! Les répliques sont toutes plus débiles les unes que les autres (sauf celles qui expliquent les idées de SF pures développées plus haut...) Et putain le couple naze, elle tombe amoureuse d'un homme-loup décoloré blondasse sur rollers volants... Excusez mon langage, mais: WHAT THE FUCK?*
(*quelle est la fornication?)
Cependant il y a un truc marrant... L'ironie du titre (jupiter n'ascending rien du tout, elle retombe comme un souffé), le fait qu'une fois dépassée par les enjeux colossaux, Jupiter revienne à une vie simple de récureuse de chiottes (spoiler alert en retard), tandis que le film lui-même nous a mis des effets spéciaux plein la gueule durant deux heures pour nous amener à cette fin qui, tout en ayant l'air daubissimement naze (je triple mes points Ségolène sur cette seule phrase en inventant des mots qui ne servent à rien), le film fait un acte cinématographique qui nous demande de... Je ne sais pas... De retomber du nuage d'effets spéciaux? De revenir à la réalité? En tout cas il y a un truc à saisir de la part des autrefois visionnaires et désormais kitsch frères Wachwoski. Et pourtant...
C'est le vice hollywoodien dans tout son éclat mirifique ostentatoirement kaléïdoscopique (je continue sur ma lancée de points Ségolène, hein, je vise le super-combo, mais en même temps persister dans le ridicule tout en le faisant remarquer au spectateur, je pense que c'est l'esprit du film). Ca pète de partout, y'a des vaisseaux spatiaux gigantesques, le palais du méchant est sous la plus GROSSE FUKING TEMPETE DU SYSTEME SOLAIRE sur Jupiter, y'a de la téléportation, du camouflage, des costumes par habillage numérique, des trucs qui coûtent des putains de millions, le tout avec la touche finale de la maquilleuse de la foire agricole de Rouen qui bosse au smic... C'est-à-dire qu'on surcharge, et en même temps on vous met en pleine face un effet raté super-gênant... Et encore une fois, c'est pas de l'incompétence, c'est putain de saloperie de fait exprès! Rajoutez à cela qu'on s'engouffre dans les trous de scénario (un petit exemple parmi d'autres: pourquoi le guerrier a pour principale motivation de retrouver ses ailes biomécaniques, alors qu'il a depuis le début, comme attribut principal, des bottes anti-gravité qui prennent moins de place et... lui permettent de voler? Encore une fois: quelle est la fornication?)
Donc je ne sais pas, je veux pas, et je reste planté là, parce qu'à force de pousser le bouchon, les Wachowski ont eu raison de mes neurones et que je cite du Lara Fabian... J'en suis là.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Tout le problème est là, du kitsch volontaire, du raté exprès ça donne généralement rien.Drahe a écrit :Bordel les acteurs sont nuls, les costumes sont kitsch, les scènes sont kistschs... Et c'est putain de fait exprès! C'est pas du tout un scénar moisi par négligence, c'est volontairement plombé et tiré vers le grotesque par effet comique raté bordel!
Soit c'est du kitsch assumé et ça doit en jouer (Z-Nation), soit c'est du sérieux raté qui devient kitsch (sharknado) et dans ces cas là les films seront surement drôle à voir pour une raison ou une autre mais là on est en présence d'un ofni (le f est volontaire, film ça commence bien par un f, non? ^^) un univers qui aurait pu donner quelque mais totalement gâché par de l'approximation et si c'est volontaire c'est encore pire.
Perso je dirai que c'est un vrai raté qui n'est pas assumé du tout.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Sinon en vrac quelques autres films vu:
The Cobbler: dernier film d'Adam Sandler ou celui-ci joue un cordonnier qui se retrouve a pouvoir prendre l’apparence des personnes dont il répare les chaussures quand il enfile celle-ci (les chaussures hein, bande de pervers). Film assez amusant dans l'ensemble et quelques bonnes idées.
Son of a gun: film sur un jeune homme qui se retrouve en prison avec un caid (Ewan McGregor) et lui doit le fait d'avoir gardé son intégrité pendant son séjour en prison. Une fois sortie il participe à l'évasion du caid puis ils monteront un coup ensemble. Le scénario n'est malheureusement pas très dur à prévoir mais le film est agréable, surtout pour la prestation de McGregor, qui, une fois n'est pas coutume, joue un rôle de méchant/bad guy.
Kon-Tiki: J'avais vu un documentaire sur cette histoire étant petit et j'étais enthousiasme à l'idée de voir le film mais malheureusement celui-ci est moue, il ne nous livre qu'une version mal romancé de l'histoire et n'a pas grand intérêt. L'acteur principal est d'ailleurs assez mauvais ce qui n'aide pas le scénario qui est plat.
L'antre de la folie: Film avec Sam Neil, du maitre John Carpenter. L'ambiance est pesante du début à la fin, parfois même malsaine, on ne sait pas si le héros devient fou ou si c'est le monde dans lequel il vie qui le devient. Film vraiment bien, qui dérange sans faire vraiment peur. Un bon film pour les amateur du genre.
Odd Thomas: Le héros du film peux voir les morts et tout tourne la dessus, il essai d'aider les morts sans se faire griller mais forcement à un moment ou l'autre...
Une bonne découverte et un bon moment avec ce film quelque peux ofni.
The Revenant: Film typé comédie sur deux potes dont l'un meurt en mission, seul hic, il à été zombifié. Celui-ci se réveille toutes les nuits avec une méchante faim tout en étant conscient d'être un zombie. Il va donc essayer d'en tirer profit aidé par son ami, vivant lui. Film assez spécial, entre le gore et la comédie mais qui à la bonne idée de sortie des sentiers battus des films de zombies.
Wyrmwood: Film de zombie australien assez décalé dans la trempe de Undead lui aussi film de zombie australien. Quelques scènes amusantes et originales pour ce genre de film et un scénario qui se suit bien malgré un petit passage a vide au milieu de celui-ci. Film sympa sinon.
The Cobbler: dernier film d'Adam Sandler ou celui-ci joue un cordonnier qui se retrouve a pouvoir prendre l’apparence des personnes dont il répare les chaussures quand il enfile celle-ci (les chaussures hein, bande de pervers). Film assez amusant dans l'ensemble et quelques bonnes idées.
Son of a gun: film sur un jeune homme qui se retrouve en prison avec un caid (Ewan McGregor) et lui doit le fait d'avoir gardé son intégrité pendant son séjour en prison. Une fois sortie il participe à l'évasion du caid puis ils monteront un coup ensemble. Le scénario n'est malheureusement pas très dur à prévoir mais le film est agréable, surtout pour la prestation de McGregor, qui, une fois n'est pas coutume, joue un rôle de méchant/bad guy.
Kon-Tiki: J'avais vu un documentaire sur cette histoire étant petit et j'étais enthousiasme à l'idée de voir le film mais malheureusement celui-ci est moue, il ne nous livre qu'une version mal romancé de l'histoire et n'a pas grand intérêt. L'acteur principal est d'ailleurs assez mauvais ce qui n'aide pas le scénario qui est plat.
L'antre de la folie: Film avec Sam Neil, du maitre John Carpenter. L'ambiance est pesante du début à la fin, parfois même malsaine, on ne sait pas si le héros devient fou ou si c'est le monde dans lequel il vie qui le devient. Film vraiment bien, qui dérange sans faire vraiment peur. Un bon film pour les amateur du genre.
Odd Thomas: Le héros du film peux voir les morts et tout tourne la dessus, il essai d'aider les morts sans se faire griller mais forcement à un moment ou l'autre...
Une bonne découverte et un bon moment avec ce film quelque peux ofni.
The Revenant: Film typé comédie sur deux potes dont l'un meurt en mission, seul hic, il à été zombifié. Celui-ci se réveille toutes les nuits avec une méchante faim tout en étant conscient d'être un zombie. Il va donc essayer d'en tirer profit aidé par son ami, vivant lui. Film assez spécial, entre le gore et la comédie mais qui à la bonne idée de sortie des sentiers battus des films de zombies.
Wyrmwood: Film de zombie australien assez décalé dans la trempe de Undead lui aussi film de zombie australien. Quelques scènes amusantes et originales pour ce genre de film et un scénario qui se suit bien malgré un petit passage a vide au milieu de celui-ci. Film sympa sinon.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Vu Kingsman: Services Secrets Film anglais d'espionnage où des sortent de James Bond, classes et discrets (sauf pendant les scènes de combat en faite) protègent le royaume à l'insu de tous.
Avec Colin Firth, Samuel L. Jackson, Mark Strong ou encore Michael Caine et Mark Hamill, bref un bon casting pour un film d'espionnage...
Mais pas que...
Le film est catégorisé dans action - espionnage mais il est en faite plutôt parodique.
Parodique des films d'espionnage des années 80/90, voir même un hommage à ceux-ci, avec des scènes too much, des gadgets d'espion aussi improbable que surprenants et surtout une intrigue des plus simpliste et des méchants stéréotypés.
Ce film est en faite un énorme clin d’œil aux films d'espionnages des dernières décennies reprenant les codes de ceux-ci et s'amusant d'autres:
- Il y a quand même une femme aux jambes lame/ressort qui coupe des gens en deux quand elle se bat, sorte de Oddjob revisité.
- Le classique des costumes et parapluie par balle avec écrans de contrôle ou fléchettes pour effacer la mémoire et autre gadgets d'espion.
- Un méchant diabolique qui construit la plus terrible des armes jamais inventé mais qui nécessite qu'on l'active manuellement et qu'on garde le doigt sur le bouton pour qu'elle fonctionne.
- Des répliques clin d’œil comme quand le méchant dit a un des héros qu'il pourrait très bien lui expliquer son plan avant de l'amener dans un piège mortel où celui-ci finirait surement par trouver une échappatoire mais que malheureusement pour lui ce n'est pas ce genre de film où il sont.
- Le chemin classique du héros qui n'a rien demandé mais auquel les évènements s’imposent et qui gagne en compétence avec une inversion des rôles dans certaines scènes entre le début et la fin du film pour appuyer cette évolution du personnage.
- Le héros aux stats sur-gonflées qui peux battre 15 mecs sans avoir une égratignure.
- le final de tout James Bond/ XXX/ bourn /... du héros qui sauve le monde au dernier moment avant d'être récompensé par le corps d'une femme tombé sous son charme alors qu'ils se sont rencontrés 5 minutes plus tôt.
...
Tellement de classiques du genre qui pourraient être encore relevés.
Au final un bon moment passé devant ce film qui jongle habillement entre hommage, parodie et film d'espionnage, porté aussi par un très bon casting.
Un film divertissant à voir.
Avec Colin Firth, Samuel L. Jackson, Mark Strong ou encore Michael Caine et Mark Hamill, bref un bon casting pour un film d'espionnage...
Mais pas que...
Le film est catégorisé dans action - espionnage mais il est en faite plutôt parodique.
Parodique des films d'espionnage des années 80/90, voir même un hommage à ceux-ci, avec des scènes too much, des gadgets d'espion aussi improbable que surprenants et surtout une intrigue des plus simpliste et des méchants stéréotypés.
Ce film est en faite un énorme clin d’œil aux films d'espionnages des dernières décennies reprenant les codes de ceux-ci et s'amusant d'autres:
- Il y a quand même une femme aux jambes lame/ressort qui coupe des gens en deux quand elle se bat, sorte de Oddjob revisité.
- Le classique des costumes et parapluie par balle avec écrans de contrôle ou fléchettes pour effacer la mémoire et autre gadgets d'espion.
- Un méchant diabolique qui construit la plus terrible des armes jamais inventé mais qui nécessite qu'on l'active manuellement et qu'on garde le doigt sur le bouton pour qu'elle fonctionne.
- Des répliques clin d’œil comme quand le méchant dit a un des héros qu'il pourrait très bien lui expliquer son plan avant de l'amener dans un piège mortel où celui-ci finirait surement par trouver une échappatoire mais que malheureusement pour lui ce n'est pas ce genre de film où il sont.
- Le chemin classique du héros qui n'a rien demandé mais auquel les évènements s’imposent et qui gagne en compétence avec une inversion des rôles dans certaines scènes entre le début et la fin du film pour appuyer cette évolution du personnage.
- Le héros aux stats sur-gonflées qui peux battre 15 mecs sans avoir une égratignure.
- le final de tout James Bond/ XXX/ bourn /... du héros qui sauve le monde au dernier moment avant d'être récompensé par le corps d'une femme tombé sous son charme alors qu'ils se sont rencontrés 5 minutes plus tôt.
...
Tellement de classiques du genre qui pourraient être encore relevés.
Au final un bon moment passé devant ce film qui jongle habillement entre hommage, parodie et film d'espionnage, porté aussi par un très bon casting.
Un film divertissant à voir.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Jurassic World: Comme je le craignait cela ne vole pas très haut.
Parmi la flaupé de conneries qu'on trouve dans le film la prime revient quand même au fait principal de l'intrigue, la fuite du super-nouveau-wahoo dinosaure de son enclos.
Le héros, la responsable du parc et un PNJ (prochainmort2) ne voyant pas le dino à travers les arbres décident d'utiliser leurs capteurs thermiques pour localiser celui-ci dans l'enclos mais ceux-ci ne révèlent rien.
Ceci combiné à des traces de griffes sur le mur les fait penser que le dino a fait le mur (surement pour allez en boite et fumer des pétards mais ceci est un autre sujet).
Déjà ceux-ci ne se disent pas qu'avec la végétation très fournis de son enclos il se peux que les capteurs thermiques aient du mal à détecter la chaleur à travers 9 arbres et 150 feuilles, ensuite aucun ne se demande si les détecteurs fonctionnent bien...
Et personne ne se dit qu'un dinosaure de 15 mètres de long qui fait le mur de son enclos ça se verrait? Ne serait-ce que par le mec du poste de surveillance ou par les techniciens qui travaillent encore sur les finitions de l'enclos? Ou juste visionner les cameras de surveillance depuis le dernier moment où on l'a vu? Car 20 minutes plus tôt la responsable du parc était là et a vu le dino. Elle est juste partie récupérer le héros car son supérieur voulait qu'il donne son avis sur l'enclos.
Le héros décide donc de rentrer dans l'enclos avec prochainmort2 tendis que la responsable du parc retourne au QG du parc pendant qu'elle demande par telephone une localisation GPS du dino.
Mais, mais, mais... Si le dino à un implant GPS quand les capteurs thermiques ont rien décelés pourquoi ils ont pas directement demandé une localisation GPS? Et c'est quoi l’intérêt de rentrer dans l'enclos? Vérifier si le dino aurait pas creusé un tunnel pour ressortir? Voir si il ne se cache pas derrière son cul?
Quand ils arrivent dans l'enclos prochainmort1 est déjà entrain de regarder les traces de griffes sur le mur et notre héros et prochainmort2 le rejoigne pour les observer pendant 5 minutes.
Chose qu'ils pouvaient voir depuis les salles protégées par des vitres de plusieurs dizaines de cm, salles sécurisées qui donnaient vu sur l’intérieur de l'enclos... Et puis il vient d'où le mec qui est déjà dans l'enclos? Il est rentré comment? Pourquoi? ha oui, c'est vrai, c'est prochainmort1 pas besoin de logique il est juste là pour se faire bouffer.
Bien-sur, entre temps, la responsable du parc qui est en chemin pour le QG reçoit le résultat du traçage GPS du dino, celui-ci est au milieu de son enclos...
Du coup attendre 5 minutes pour avoir le résultat du signal GPS c'était trop intelligent pour des gens qui sont sensés être les responsables du parc et donc sur qui tout repose?
Ni une, ni deux, le dino sort de sa cachette et fonce manger prochainmort1 pendant que le héros et prochainmort2 essayent de s'enfuirent. Dans la précipitation prochainmort2 a trop peur de retourner à la petite porte par laquelle ils venaient d'entrer dans l'enclos et décide d'ouvrir la grande porte de 20 mètres qui est la plus proche. Nos deux amis sortent ainsi de l'enclos mais le dino force le passage quand les portes se referment sur lui et sort de celui-ci puis mange prochainmort2 avant de partir (pour la boite de nuit sans doute).
Intéressant de voir deux choses:
- Ouvrir la porte principale de l'enclos est simple comme bonjour, une code suffit et surtout la commande se trouve à l’intérieur de l'enclos (surement là pour les femmes de ménages), pas besoin de confirmation, pas d'alarme ou de lumière pour prévenir, ça s'ouvre direct.
- Les concepteurs du parc n'ont pas pensé à ce qui se fait dans tous les zoo et qu'on voyait aussi dans les anciens jurassic park, le principe du sas à double porte, non, non, la porte de l'enclos donne directement sur la nature. Du coup si il y a des travaux a faire dans l'enclos ils font comment si il n'ont pas un sas où placer le dino en cas de besoin? Et surtout quel est l’intérêt de cette porte de 15 mètres de haut? Elle est là pour faire faire sa promenade au dino le soir avant qu'il ne se couche pour pas qu'il fasse ses besoin dans l'enclos? Car une porte qui s'ouvre directement sur l’extérieur il suffit que le dino trace dès qu'elle s'ouvre pour sortir (d'où l’intérêt du double sas mais bon).
Bref, cette scène à elle seule résume bien le film, des raisonnements débiles et limites contre nature pour amener du spectaculaire ce qui donne un film où l'histoire est là pour justifier les effets spéciaux et non pas l'inverse et quand on voit qu'ils ont tous misé sur les effets spéciaux on se doute de la qualité de l'histoire.
Parmi la flaupé de conneries qu'on trouve dans le film la prime revient quand même au fait principal de l'intrigue, la fuite du super-nouveau-wahoo dinosaure de son enclos.
Le héros, la responsable du parc et un PNJ (prochainmort2) ne voyant pas le dino à travers les arbres décident d'utiliser leurs capteurs thermiques pour localiser celui-ci dans l'enclos mais ceux-ci ne révèlent rien.
Ceci combiné à des traces de griffes sur le mur les fait penser que le dino a fait le mur (surement pour allez en boite et fumer des pétards mais ceci est un autre sujet).
Déjà ceux-ci ne se disent pas qu'avec la végétation très fournis de son enclos il se peux que les capteurs thermiques aient du mal à détecter la chaleur à travers 9 arbres et 150 feuilles, ensuite aucun ne se demande si les détecteurs fonctionnent bien...
Et personne ne se dit qu'un dinosaure de 15 mètres de long qui fait le mur de son enclos ça se verrait? Ne serait-ce que par le mec du poste de surveillance ou par les techniciens qui travaillent encore sur les finitions de l'enclos? Ou juste visionner les cameras de surveillance depuis le dernier moment où on l'a vu? Car 20 minutes plus tôt la responsable du parc était là et a vu le dino. Elle est juste partie récupérer le héros car son supérieur voulait qu'il donne son avis sur l'enclos.
Le héros décide donc de rentrer dans l'enclos avec prochainmort2 tendis que la responsable du parc retourne au QG du parc pendant qu'elle demande par telephone une localisation GPS du dino.
Mais, mais, mais... Si le dino à un implant GPS quand les capteurs thermiques ont rien décelés pourquoi ils ont pas directement demandé une localisation GPS? Et c'est quoi l’intérêt de rentrer dans l'enclos? Vérifier si le dino aurait pas creusé un tunnel pour ressortir? Voir si il ne se cache pas derrière son cul?
Quand ils arrivent dans l'enclos prochainmort1 est déjà entrain de regarder les traces de griffes sur le mur et notre héros et prochainmort2 le rejoigne pour les observer pendant 5 minutes.
Chose qu'ils pouvaient voir depuis les salles protégées par des vitres de plusieurs dizaines de cm, salles sécurisées qui donnaient vu sur l’intérieur de l'enclos... Et puis il vient d'où le mec qui est déjà dans l'enclos? Il est rentré comment? Pourquoi? ha oui, c'est vrai, c'est prochainmort1 pas besoin de logique il est juste là pour se faire bouffer.
Bien-sur, entre temps, la responsable du parc qui est en chemin pour le QG reçoit le résultat du traçage GPS du dino, celui-ci est au milieu de son enclos...
Du coup attendre 5 minutes pour avoir le résultat du signal GPS c'était trop intelligent pour des gens qui sont sensés être les responsables du parc et donc sur qui tout repose?
Ni une, ni deux, le dino sort de sa cachette et fonce manger prochainmort1 pendant que le héros et prochainmort2 essayent de s'enfuirent. Dans la précipitation prochainmort2 a trop peur de retourner à la petite porte par laquelle ils venaient d'entrer dans l'enclos et décide d'ouvrir la grande porte de 20 mètres qui est la plus proche. Nos deux amis sortent ainsi de l'enclos mais le dino force le passage quand les portes se referment sur lui et sort de celui-ci puis mange prochainmort2 avant de partir (pour la boite de nuit sans doute).
Intéressant de voir deux choses:
- Ouvrir la porte principale de l'enclos est simple comme bonjour, une code suffit et surtout la commande se trouve à l’intérieur de l'enclos (surement là pour les femmes de ménages), pas besoin de confirmation, pas d'alarme ou de lumière pour prévenir, ça s'ouvre direct.
- Les concepteurs du parc n'ont pas pensé à ce qui se fait dans tous les zoo et qu'on voyait aussi dans les anciens jurassic park, le principe du sas à double porte, non, non, la porte de l'enclos donne directement sur la nature. Du coup si il y a des travaux a faire dans l'enclos ils font comment si il n'ont pas un sas où placer le dino en cas de besoin? Et surtout quel est l’intérêt de cette porte de 15 mètres de haut? Elle est là pour faire faire sa promenade au dino le soir avant qu'il ne se couche pour pas qu'il fasse ses besoin dans l'enclos? Car une porte qui s'ouvre directement sur l’extérieur il suffit que le dino trace dès qu'elle s'ouvre pour sortir (d'où l’intérêt du double sas mais bon).
Bref, cette scène à elle seule résume bien le film, des raisonnements débiles et limites contre nature pour amener du spectaculaire ce qui donne un film où l'histoire est là pour justifier les effets spéciaux et non pas l'inverse et quand on voit qu'ils ont tous misé sur les effets spéciaux on se doute de la qualité de l'histoire.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Jurassic Wolrd: 65 millions d'années de déception...
Il me faudrait un organigramme pour expliquer tout ce qui ne marche pas dans ce film... Alors commençons:
La dramaturgie: C'est le premier problème du film, les personnages ne sont pas exposés correctement. Dans un film moyen, on peut s'attendre à un certain temps d'exposition qui nous explique à qui on a affaire. Pas pour le plaisir, mais parce que si ce moment d'exposition n'est pas là, on peut bien faire tout ce qu'on veut aux personnages, le spectateur s'en fout! Et pour cause, il n'a pas d'empathie pour eux, puisqu'il ne les connait pas. Ici l'exposition des gamins est réduite au minimum vital, ce qui fait qu'une fois perdus dans la nature et en pleine rencontre avec la créature du film, on retient ses baillements: on ne peut pas frissonner pour des personnages non exposés. Pas d'exposition, pas de sympathie, pas d'enjeu, donc pas de drame... Et forcément: une histoire bien chiante.
Pourquoi ça marchait dans le premier film? Parce que les personnages mettaient du temps, que chacun avait droit à sa petite scène d'intro qui, au lieu de réduire le personnage à un cliché, nous posait sa personnalité à travers ses tics, ses relations, ses ambitions et ses désirs. Bordel, une des scènes mythiques de Jurassic Park est la scène d'exposition d'Alan Grant et son fameux speach sur les raptors pour effrayer un gosse (qui fait d'une pierre deux coups: on iconise le raptor tout en exposant le personnage principal). On en sait plus sur la personnalité de Ian Malcolm en un seul dialogue dans l'hélicoptère que vous en saurez jamais sur les personnages. Et pour cause: il avait une personnalité. N'en cherchez pas chez les protagonistes de Jurassic World, ils sont là pour rentrer dans des cases et correspondre à des clichés facilement identifiables.
D'ailleurs, en termes de clichés:
- L'ado boutonneux obsédé par ses hormones: CHECK
- La femme carriériste qui se prive de vie de famille: CHECK
- Le gros macho viril qui sent l'huile de moteur et correspond au "badass" à tout moment: CHECK
- Le gros porc cynique qui veut détourner asservir les dinosaures et finira en buffet froid? CHECK
- Le milliardaire excentrique victime de sa stupidité? CHECK
- Le sidekick du macho qui va s'en sortir de peu? CHECK
- Le savant fou? CHECK!
Alors certes, le premier film n'est pas exempt de défauts. On faisait rentrer Allan Grant et la blonde dont tout le monde a oublié le nom dans une relation avortée "elle veut des enfants et pas lui", on faisait rentrer Ian Malcolm dans l'archétype du fou lucide, et Genarro dans le rôle de l'avocat pingre et cynique. Et pourquoi ça marchait? Parce qu'ils ne se résumaient pas à leur cliché. Malcolm est un mathématicien de haut niveau, Genarro a des peurs humaines compréhensibles (malgré sa lâcheté, il reste un personnage pour lequel on peut avoir de l'empathie), Grant est en contact avec l'émerveillement enfantin devant les dinosaures... Bref, ils ont des facettes, ils ont une relative complexité, ils sont crédibles. Tout ce qui a été raboté dans Jurassic World, où les personnages seront unilatéraux ou ne seront pas.
Scénario: Là encore, il me faudrait un organigramme pour détailler les incohérences seulement imputables à l'extrême stupidité soit 1) de la totalité des personnages, y compris les personnages hors-film (on aurait des choses à dire à l'architecte du parc, à celui qui a mis des alarmes sans mettre en place de signaux de regroupement pour la foule, et à tous ceux qui ont travaillé de près ou de loin à la conception des enclos), soit 2) plus simplement: des scénaristes.
Alors résumons...
Le milliardaire philanthrope soucieux de l'amusement du public et de leur sécurité qui préfère piloter l'hélico lui-même au-dessus du parc en risquant de le crasher à plusieurs reprises.
Le gros militaire qui veut absolument utiliser des raptors comme arme biologique alors qu'il vient d'assister à une scène démontrant la fragilité du dressage de raptor.
L'expert en sécurité qui rentre dans l'enclos sans attendre la confirmation du traqueur GPS.
L'absence de double-sas de l'enclos (WTF???????)
Le "classé confidentiel" de l'ADN du dinosaure hybride.
Le dino qui sait enlever son implant GPS ET attendre les gens devant en restant camouflé comme pour tendre un piège.
Les gamins qui poussent la vitesse de la sphère pour créer une panique dans une population de tricératops et d'autres herbivores massifs... En souriant comme des benêts pendant qu'ils manquent de se faire piétiner comme des cons.
Les gamins qui font du hors-piste dans la sphère juste après un message d'alerte leur demandant de revenir d'urgence.
Les gamins qui se marrent (WTF???) après avoir échappé à la créature.
Les gamins qui savent réparer une jeep en rade abandonnée à la végétation depuis vingt ans à la faveur de la seule réplique: "tu te souviens quand on a réparé la vieille auto de papy?"... Ok les gars, cette phrase n'est pas une formule de téléportation vers un épisode de MacGyver: pose cette clef à molette Boby!
Le généticien qui explique à son patron et contributeur direct que non, l'ADN du dino hybride est vraiment confidentielle et qu'il ne peut pas en parler... A vrai dire, on comprend par une seule réplique cette histoire de "classé confidentiel": lorsque le gros militaire rencontre Wu le généticien, il semblerait que la direction du parc soit divisée entre la fameuse firme INgen qui pilote la création génétique et les applications militaires, et le parc à thème qui en serait la vitrine de divertissement. Comme tout ça n'est jamais développé et que les personnages agissent comme si c'était évident alors qu'on ne le fait pas comprendre au spectateur, tout le monde prend cette idée pour une incohérence scénaristique... Et peut-on vraiment leur reprocher?
Les navires bourrés de militaires qui débarquent subrepticement pour prendre le contrôle des raptors au lieu de... je ne sais pas... utiliser le téléporteur de bateaux qu'ils doivent avoir dans la poche pour évacuer les civils?
La faculté de téléportation du dinosaure, toujours à moins de 20m d'un héros. A croire qu'il essaye de se taper l'incrust sur toutes les images... Une espèce de reconstitution à base de gènes de Sarkozy?
J'en passe un certain nombre, vous m'excuserez.
Beaucoup plus grave: le scénario, à quelques minuscules détails, est un calque du premier Jurassic Park. Vous y trouvez tout étape par étape (à part l'introduction intelligente des personnages, tiens... C'est un peu con de rater l'élément qui rend les personnages attachants et le film mémorable). Les histoires séparées des gosses et des adultes, un gros qui veut reprendre les embryons, la résolution entre dinosaures... On pourrait le faire presque scène par scène (la scène de la voiture et la scène de la sphère, entre autres). Ce n'est pas une suite, c'est un remake... J'y viens.
L'inscription dans l'héritage de la saga: Le film n'assume que Jurassic Park premier du nom. Il ne l'assume pas, il le copie, il le calque, il le vampirise en reprenant tout ce qui ressemble à une bonne idée, comme un Bayrou sauvage en pleine campagne présidentielle. Il passe totalement sous silence Le monde perdu (à part un plan d'un raptor plongeant dans les hautes herbes). L'héritage du 3 est désavoué, mais compte sur le fait que le public l'ait vu... Les raptors (ce qui n'a JAMAIS été développé dans CE film) sont capables de communiquer comme dans le 3... Mais ils n'ont pas les plumes kitsch du 3 pour autant. Ca sent fort le compactage honteux de scènes d'explication pour ne pas faire de redite avec ce qui a été exposé dans les films précédents, mais sans les assumer une seconde... Le résultat? Un film qui ne tient pas la route par lui-même et demande d'avoir vu une saga qu'il renie pour être compris. Une sorte d'epic fail scénaristique.
Le casting: Quand on doit prendre un adolescent morne et apathique, on ne cast pas un gars qui a déjà des grosses cernes sous les yeux qui lui donnent des faux-airs de mafieux à chaque fois qu'il fait la gueule, c'est-à-dire tout le temps. Quand on doit faire jouer un gamin à l'esprit vif, on ne prend pas un petit gros dont les expressions faciales nagent dans la graisse. Et quand on doit faire jouer deux frères, on prend des acteurs qui se ressemblent un minimum bordel!
Est-ce que c'est clair, film?
Les effets spéciaux: Je le mets en dernier, car c'était normalement le point fort du film. A quoi bon raboter sur le scénar, couper les scènes d'exposition et prendre des acteurs de seconde zone, sinon pour nourrir le budget des effets spéciaux? Jurassic Park n'est pas un film culte seulement parce qu'il y a des dinosaures. C'est un film culte parce que, comme Star Wars, il a marqué un jalon dans l'histoire des effets spéciaux. Avec son savant mélange d'images de synthèse ultra-réalistes et de maquettes de talent, il a atteint un niveau de réalisme impensable pour l'époque. C'était la rencontre réussie de l'animatronique et de l'animation.
Ici, disons-le haut et fort: en-dehors du Mosasaure et de quelques plans sur les raptors, les effets spéciaux sont ratés.
Les images de synthèses, dès la première image de l'oeuf, font penser à un film d'animation plutôt qu'à un film photo-réaliste. Confirmation tout au long du film: les seuls dinosaures crédibles sont ceux qu'on voit peu. Ici, on nous montre toujours trop des créatures principales, qui ne sont pas très réalistes.
La scène des apatosaures est à pleurer de laideur devant la nullité de la créature. Avec ses trop gros yeux effrayés, on ne sait plus si on est dans un film d'animation japonais ou devant une production hollywoodienne. La scène devrait nous émouvoir, elle fait plutôt grimacer.
Les ptérodactyles sont moins réalistes que ceux du 3... Quand ils sont en image de synthèse ça se voit, et quand on a une partie en maquette j'ai l'impression de sentir l'odeur du caoutchouc frais sous mes narines tellement ça sent le faux.
J'ai passé deux heures à voir des dinosaures moins réalistes que dans le premier Jurassic Park...
Sur ce, allez voir de vrais films!
Il me faudrait un organigramme pour expliquer tout ce qui ne marche pas dans ce film... Alors commençons:
La dramaturgie: C'est le premier problème du film, les personnages ne sont pas exposés correctement. Dans un film moyen, on peut s'attendre à un certain temps d'exposition qui nous explique à qui on a affaire. Pas pour le plaisir, mais parce que si ce moment d'exposition n'est pas là, on peut bien faire tout ce qu'on veut aux personnages, le spectateur s'en fout! Et pour cause, il n'a pas d'empathie pour eux, puisqu'il ne les connait pas. Ici l'exposition des gamins est réduite au minimum vital, ce qui fait qu'une fois perdus dans la nature et en pleine rencontre avec la créature du film, on retient ses baillements: on ne peut pas frissonner pour des personnages non exposés. Pas d'exposition, pas de sympathie, pas d'enjeu, donc pas de drame... Et forcément: une histoire bien chiante.
Pourquoi ça marchait dans le premier film? Parce que les personnages mettaient du temps, que chacun avait droit à sa petite scène d'intro qui, au lieu de réduire le personnage à un cliché, nous posait sa personnalité à travers ses tics, ses relations, ses ambitions et ses désirs. Bordel, une des scènes mythiques de Jurassic Park est la scène d'exposition d'Alan Grant et son fameux speach sur les raptors pour effrayer un gosse (qui fait d'une pierre deux coups: on iconise le raptor tout en exposant le personnage principal). On en sait plus sur la personnalité de Ian Malcolm en un seul dialogue dans l'hélicoptère que vous en saurez jamais sur les personnages. Et pour cause: il avait une personnalité. N'en cherchez pas chez les protagonistes de Jurassic World, ils sont là pour rentrer dans des cases et correspondre à des clichés facilement identifiables.
D'ailleurs, en termes de clichés:
- L'ado boutonneux obsédé par ses hormones: CHECK
- La femme carriériste qui se prive de vie de famille: CHECK
- Le gros macho viril qui sent l'huile de moteur et correspond au "badass" à tout moment: CHECK
- Le gros porc cynique qui veut détourner asservir les dinosaures et finira en buffet froid? CHECK
- Le milliardaire excentrique victime de sa stupidité? CHECK
- Le sidekick du macho qui va s'en sortir de peu? CHECK
- Le savant fou? CHECK!
Alors certes, le premier film n'est pas exempt de défauts. On faisait rentrer Allan Grant et la blonde dont tout le monde a oublié le nom dans une relation avortée "elle veut des enfants et pas lui", on faisait rentrer Ian Malcolm dans l'archétype du fou lucide, et Genarro dans le rôle de l'avocat pingre et cynique. Et pourquoi ça marchait? Parce qu'ils ne se résumaient pas à leur cliché. Malcolm est un mathématicien de haut niveau, Genarro a des peurs humaines compréhensibles (malgré sa lâcheté, il reste un personnage pour lequel on peut avoir de l'empathie), Grant est en contact avec l'émerveillement enfantin devant les dinosaures... Bref, ils ont des facettes, ils ont une relative complexité, ils sont crédibles. Tout ce qui a été raboté dans Jurassic World, où les personnages seront unilatéraux ou ne seront pas.
Scénario: Là encore, il me faudrait un organigramme pour détailler les incohérences seulement imputables à l'extrême stupidité soit 1) de la totalité des personnages, y compris les personnages hors-film (on aurait des choses à dire à l'architecte du parc, à celui qui a mis des alarmes sans mettre en place de signaux de regroupement pour la foule, et à tous ceux qui ont travaillé de près ou de loin à la conception des enclos), soit 2) plus simplement: des scénaristes.
Alors résumons...
Le milliardaire philanthrope soucieux de l'amusement du public et de leur sécurité qui préfère piloter l'hélico lui-même au-dessus du parc en risquant de le crasher à plusieurs reprises.
Le gros militaire qui veut absolument utiliser des raptors comme arme biologique alors qu'il vient d'assister à une scène démontrant la fragilité du dressage de raptor.
L'expert en sécurité qui rentre dans l'enclos sans attendre la confirmation du traqueur GPS.
L'absence de double-sas de l'enclos (WTF???????)
Le "classé confidentiel" de l'ADN du dinosaure hybride.
Le dino qui sait enlever son implant GPS ET attendre les gens devant en restant camouflé comme pour tendre un piège.
Les gamins qui poussent la vitesse de la sphère pour créer une panique dans une population de tricératops et d'autres herbivores massifs... En souriant comme des benêts pendant qu'ils manquent de se faire piétiner comme des cons.
Les gamins qui font du hors-piste dans la sphère juste après un message d'alerte leur demandant de revenir d'urgence.
Les gamins qui se marrent (WTF???) après avoir échappé à la créature.
Les gamins qui savent réparer une jeep en rade abandonnée à la végétation depuis vingt ans à la faveur de la seule réplique: "tu te souviens quand on a réparé la vieille auto de papy?"... Ok les gars, cette phrase n'est pas une formule de téléportation vers un épisode de MacGyver: pose cette clef à molette Boby!
Le généticien qui explique à son patron et contributeur direct que non, l'ADN du dino hybride est vraiment confidentielle et qu'il ne peut pas en parler... A vrai dire, on comprend par une seule réplique cette histoire de "classé confidentiel": lorsque le gros militaire rencontre Wu le généticien, il semblerait que la direction du parc soit divisée entre la fameuse firme INgen qui pilote la création génétique et les applications militaires, et le parc à thème qui en serait la vitrine de divertissement. Comme tout ça n'est jamais développé et que les personnages agissent comme si c'était évident alors qu'on ne le fait pas comprendre au spectateur, tout le monde prend cette idée pour une incohérence scénaristique... Et peut-on vraiment leur reprocher?
Les navires bourrés de militaires qui débarquent subrepticement pour prendre le contrôle des raptors au lieu de... je ne sais pas... utiliser le téléporteur de bateaux qu'ils doivent avoir dans la poche pour évacuer les civils?
La faculté de téléportation du dinosaure, toujours à moins de 20m d'un héros. A croire qu'il essaye de se taper l'incrust sur toutes les images... Une espèce de reconstitution à base de gènes de Sarkozy?
J'en passe un certain nombre, vous m'excuserez.
Beaucoup plus grave: le scénario, à quelques minuscules détails, est un calque du premier Jurassic Park. Vous y trouvez tout étape par étape (à part l'introduction intelligente des personnages, tiens... C'est un peu con de rater l'élément qui rend les personnages attachants et le film mémorable). Les histoires séparées des gosses et des adultes, un gros qui veut reprendre les embryons, la résolution entre dinosaures... On pourrait le faire presque scène par scène (la scène de la voiture et la scène de la sphère, entre autres). Ce n'est pas une suite, c'est un remake... J'y viens.
L'inscription dans l'héritage de la saga: Le film n'assume que Jurassic Park premier du nom. Il ne l'assume pas, il le copie, il le calque, il le vampirise en reprenant tout ce qui ressemble à une bonne idée, comme un Bayrou sauvage en pleine campagne présidentielle. Il passe totalement sous silence Le monde perdu (à part un plan d'un raptor plongeant dans les hautes herbes). L'héritage du 3 est désavoué, mais compte sur le fait que le public l'ait vu... Les raptors (ce qui n'a JAMAIS été développé dans CE film) sont capables de communiquer comme dans le 3... Mais ils n'ont pas les plumes kitsch du 3 pour autant. Ca sent fort le compactage honteux de scènes d'explication pour ne pas faire de redite avec ce qui a été exposé dans les films précédents, mais sans les assumer une seconde... Le résultat? Un film qui ne tient pas la route par lui-même et demande d'avoir vu une saga qu'il renie pour être compris. Une sorte d'epic fail scénaristique.
Le casting: Quand on doit prendre un adolescent morne et apathique, on ne cast pas un gars qui a déjà des grosses cernes sous les yeux qui lui donnent des faux-airs de mafieux à chaque fois qu'il fait la gueule, c'est-à-dire tout le temps. Quand on doit faire jouer un gamin à l'esprit vif, on ne prend pas un petit gros dont les expressions faciales nagent dans la graisse. Et quand on doit faire jouer deux frères, on prend des acteurs qui se ressemblent un minimum bordel!
Est-ce que c'est clair, film?
Les effets spéciaux: Je le mets en dernier, car c'était normalement le point fort du film. A quoi bon raboter sur le scénar, couper les scènes d'exposition et prendre des acteurs de seconde zone, sinon pour nourrir le budget des effets spéciaux? Jurassic Park n'est pas un film culte seulement parce qu'il y a des dinosaures. C'est un film culte parce que, comme Star Wars, il a marqué un jalon dans l'histoire des effets spéciaux. Avec son savant mélange d'images de synthèse ultra-réalistes et de maquettes de talent, il a atteint un niveau de réalisme impensable pour l'époque. C'était la rencontre réussie de l'animatronique et de l'animation.
Ici, disons-le haut et fort: en-dehors du Mosasaure et de quelques plans sur les raptors, les effets spéciaux sont ratés.
Les images de synthèses, dès la première image de l'oeuf, font penser à un film d'animation plutôt qu'à un film photo-réaliste. Confirmation tout au long du film: les seuls dinosaures crédibles sont ceux qu'on voit peu. Ici, on nous montre toujours trop des créatures principales, qui ne sont pas très réalistes.
La scène des apatosaures est à pleurer de laideur devant la nullité de la créature. Avec ses trop gros yeux effrayés, on ne sait plus si on est dans un film d'animation japonais ou devant une production hollywoodienne. La scène devrait nous émouvoir, elle fait plutôt grimacer.
Les ptérodactyles sont moins réalistes que ceux du 3... Quand ils sont en image de synthèse ça se voit, et quand on a une partie en maquette j'ai l'impression de sentir l'odeur du caoutchouc frais sous mes narines tellement ça sent le faux.
J'ai passé deux heures à voir des dinosaures moins réalistes que dans le premier Jurassic Park...
Sur ce, allez voir de vrais films!
- desba
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
J'ai apprécié ton post Drahe.
je rajouterai juste:
- L’absence de double sas de l'enclos de l'I-rex est d'autant plus ridicule/surprenant qu'il est présent dans celui des raptors lors de la scène du cochon...
- La scène pathétique du dino qui meurt qui fait écho à la scène du tricératops du premier film. C'est incroyable de voir a quel point cette scène est ratée et non crédible.
- Les dino sont présentés comme des animaux dociles pendant tout le film (y'a que l'I-rex qui fait exception), on peux faire du poney sur des bébés tricératops, faire du kayak au milieu de dinos prenant leurs bains ou se balader en bulle dans les troupes de dinos, ce ne sont plus des animaux mais des jouets/automates. A croire que les scénaristes sont allez faire un tour au poney club du coin pour chercher l'inspiration mais n'ont pas comprit que même le poney peux avoir ses humeurs et qu'on ne fait pas tout avec.
Rien que pour les espèces existantes on sait qu'il y en a qu'on peux domestiquer et d'autres non, celle qu'on peux ça résultat de centaines d'années d'apprentissage empirique alors des espèces dont on ne connait rien...
Et on dirait qu'ils partent du principe que si c'est un herbivore c'est forcement facile a dompter/domestiquer et si c'est une carnivore ce sera difficile et dès qu'il en aura l'occasion il essayera de tuer/manger ceux qu'il peux.
Mais va dresser un hippopotame ou faire du kayak a coté de lui, il risque de faire plus de mort que l'I-rex. Par contre dresser un furet (qui est un strict carnivore) c'est facile, tout dépend du caractère plutôt que du régime alimentaire. Mais faire herbivore=placide et carnivore=dangereux c'est plus simple.
Et du coup tout se déroule de manière idyllique dans le parc, pas de soucis, pas de surprises, rien.
La où le premier film dénonçait l'envi de contrôle absolue de l'homme sur la nature et montrait que c'était impossible (plantes qui se révèlent toxiques, animaux difficiles à maitriser, maladies imprévues, animaux qui ne se montrent pas, dangers/intelligences sous-estimés...) alors que ce film montre justement qu'il est possible de tout contrôler, limite de tout orchestrer et qu'au final c'est l'homme lui même qui se tire une balle dans le pied avec la sur-enchère qu'il désire.
Du coup les films sont diamétralement opposés sur ce point là et jurassic park se terminait sur une note d'humilité alors que jurassic world non.
je rajouterai juste:
- L’absence de double sas de l'enclos de l'I-rex est d'autant plus ridicule/surprenant qu'il est présent dans celui des raptors lors de la scène du cochon...
- La scène pathétique du dino qui meurt qui fait écho à la scène du tricératops du premier film. C'est incroyable de voir a quel point cette scène est ratée et non crédible.
- Les dino sont présentés comme des animaux dociles pendant tout le film (y'a que l'I-rex qui fait exception), on peux faire du poney sur des bébés tricératops, faire du kayak au milieu de dinos prenant leurs bains ou se balader en bulle dans les troupes de dinos, ce ne sont plus des animaux mais des jouets/automates. A croire que les scénaristes sont allez faire un tour au poney club du coin pour chercher l'inspiration mais n'ont pas comprit que même le poney peux avoir ses humeurs et qu'on ne fait pas tout avec.
Rien que pour les espèces existantes on sait qu'il y en a qu'on peux domestiquer et d'autres non, celle qu'on peux ça résultat de centaines d'années d'apprentissage empirique alors des espèces dont on ne connait rien...
Et on dirait qu'ils partent du principe que si c'est un herbivore c'est forcement facile a dompter/domestiquer et si c'est une carnivore ce sera difficile et dès qu'il en aura l'occasion il essayera de tuer/manger ceux qu'il peux.
Mais va dresser un hippopotame ou faire du kayak a coté de lui, il risque de faire plus de mort que l'I-rex. Par contre dresser un furet (qui est un strict carnivore) c'est facile, tout dépend du caractère plutôt que du régime alimentaire. Mais faire herbivore=placide et carnivore=dangereux c'est plus simple.
Et du coup tout se déroule de manière idyllique dans le parc, pas de soucis, pas de surprises, rien.
La où le premier film dénonçait l'envi de contrôle absolue de l'homme sur la nature et montrait que c'était impossible (plantes qui se révèlent toxiques, animaux difficiles à maitriser, maladies imprévues, animaux qui ne se montrent pas, dangers/intelligences sous-estimés...) alors que ce film montre justement qu'il est possible de tout contrôler, limite de tout orchestrer et qu'au final c'est l'homme lui même qui se tire une balle dans le pied avec la sur-enchère qu'il désire.
Du coup les films sont diamétralement opposés sur ce point là et jurassic park se terminait sur une note d'humilité alors que jurassic world non.
Modifié en dernier par desba le 26 juin 2015, 15:17, modifié 2 fois.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
A mon tour le post sur Jurassik Park Super Alpha 2
Perso je trouve que le film commence bien. La représentation du parc est assez réaliste et semble tout à fait plausible (la galerie de souvenir, le train qui amène les gens, etc ...). 2/3 plans sont mêmes sympa et le concept des gens blasés par les dinos est tout juste génial car c'est clairement ce qui se passerait. L'idée des dinos sponsorisés par des marques est aussi bien trouvé même si cela ne sert à rien dans le film, après tout c'est déjà ce qui se passe dans certains zoo.
Mais passé les 45 premières minutes je me retrouve vite devant un téléfilm M6 avec des requins modifiés génétiquement qui peuvent grimper aux arbres pour faire des guet-apens (sisi c'est un vrai film !). La dernière demi-heure est tellement un supplice que je n'avais qu'une hâte c'était de sortir.
Au niveau des incohérences ce n'est pas nouveau dans un film et cela sera toujours comme ça. Si on enlève toutes les incohérences dans un film, en général, il n'y aura juste pas d’histoire et pas de film. Niveau grosse incohérence n'oublions pas la scène du T-Rex qui attaque la voiture dans le premier film avec son enclos qui devient un gouffre par magie.
Aujourd'hui c'est juste qu'on les remarque plus facilement car on voit beaucoup plus de films. Avant on allait 2/3 fois au cinéma par an alors que maintenant on y va toutes les semaines.
Niveau réalisation le film est une honteuse copie du premier. Certains plans sont carrément calqués sur son ancêtre. A ce niveau là c'est plus de l'hommage mais de la contrefaçon chinoise.
Je reviendrai pas sur les perso plus honteux les uns que les autres. Les clichés allant jusqu'à intégrer un gars de l'US Navy en héros juste pour être dresseur de raptor. Je sais pas mais un dresseur de grands fauves africains aurait pas été mieux qu'un marin ? Quand à la rousse aux talons hauts internet la jugera et la condamnera au bûcher !
Bref je n'ai était qu'à moitié déçu car je m'attendais à ce genre de film vite regardé vite oublié.
Mention spécial au dino caméléon predator ninja qui aura sa place dans mon prochain JDRa ! Dommage qu'ils aient pas foutu de l'ADN de dauphin pour pouvoir caser une scène de viol inter-espèce
Je jette aussi des grosses pierres sur les différents pseudo-critiques qui ont brodé sur le message du film avec le parallèle ancien hollywood/T-Rex VS nouveau hollywood/Super Rex. D'ailleurs c'était les mêmes qui parlaient de Jupiter Ascending comme d'un film critiquant les blockbusters...
Perso je trouve que le film commence bien. La représentation du parc est assez réaliste et semble tout à fait plausible (la galerie de souvenir, le train qui amène les gens, etc ...). 2/3 plans sont mêmes sympa et le concept des gens blasés par les dinos est tout juste génial car c'est clairement ce qui se passerait. L'idée des dinos sponsorisés par des marques est aussi bien trouvé même si cela ne sert à rien dans le film, après tout c'est déjà ce qui se passe dans certains zoo.
Mais passé les 45 premières minutes je me retrouve vite devant un téléfilm M6 avec des requins modifiés génétiquement qui peuvent grimper aux arbres pour faire des guet-apens (sisi c'est un vrai film !). La dernière demi-heure est tellement un supplice que je n'avais qu'une hâte c'était de sortir.
Au niveau des incohérences ce n'est pas nouveau dans un film et cela sera toujours comme ça. Si on enlève toutes les incohérences dans un film, en général, il n'y aura juste pas d’histoire et pas de film. Niveau grosse incohérence n'oublions pas la scène du T-Rex qui attaque la voiture dans le premier film avec son enclos qui devient un gouffre par magie.
Aujourd'hui c'est juste qu'on les remarque plus facilement car on voit beaucoup plus de films. Avant on allait 2/3 fois au cinéma par an alors que maintenant on y va toutes les semaines.
Niveau réalisation le film est une honteuse copie du premier. Certains plans sont carrément calqués sur son ancêtre. A ce niveau là c'est plus de l'hommage mais de la contrefaçon chinoise.
Je reviendrai pas sur les perso plus honteux les uns que les autres. Les clichés allant jusqu'à intégrer un gars de l'US Navy en héros juste pour être dresseur de raptor. Je sais pas mais un dresseur de grands fauves africains aurait pas été mieux qu'un marin ? Quand à la rousse aux talons hauts internet la jugera et la condamnera au bûcher !
Bref je n'ai était qu'à moitié déçu car je m'attendais à ce genre de film vite regardé vite oublié.
Mention spécial au dino caméléon predator ninja qui aura sa place dans mon prochain JDRa ! Dommage qu'ils aient pas foutu de l'ADN de dauphin pour pouvoir caser une scène de viol inter-espèce
Je jette aussi des grosses pierres sur les différents pseudo-critiques qui ont brodé sur le message du film avec le parallèle ancien hollywood/T-Rex VS nouveau hollywood/Super Rex. D'ailleurs c'était les mêmes qui parlaient de Jupiter Ascending comme d'un film critiquant les blockbusters...
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
"les différents pseudo-critiques"... A ma connaissance il n'y a que le gars du cinéma de Durendal qui fait ça.Tony bernouilli a écrit : Je jette aussi des grosses pierres sur les différents pseudo-critiques qui ont brodé sur le message du film avec le parallèle ancien hollywood/T-Rex VS nouveau hollywood/Super Rex. D'ailleurs c'était les mêmes qui parlaient de Jupiter Ascending comme d'un film critiquant les blockbusters...
- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
@drahe: AlloCiné aussi et 2/3 autres sites du même genre.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Ils sont payés pour donner envie au gens d'aller au cinéma, pas pour critiquer objectivement les films.
Du coup il est normal qu'ils aillent toujours dans le bon sens et trouvent toujours quelque chose de positif à dire sur un film.
Pour moi sur allociné ou autre site comme ça il est impossible de trouver une critique constructive, c'est trop consensuel pour être vraiment pertinent.
Du coup il est normal qu'ils aillent toujours dans le bon sens et trouvent toujours quelque chose de positif à dire sur un film.
Pour moi sur allociné ou autre site comme ça il est impossible de trouver une critique constructive, c'est trop consensuel pour être vraiment pertinent.
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?
- Tony bernouilli
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
Avec ses 1 milliard de $ en une semaine pour Jurassik world, la pub marche biendesba a écrit :Ils sont payés pour donner envie au gens d'aller au cinéma, pas pour critiquer objectivement es films.
Du coup il est normal qu'ils aillent toujours dans le bon sens et trouvent toujours quelque chose de positif a dire sur un film.
Pour moi sur allociné ou autre site comme ça il est impossible de trouver une critique constructive, c'est trop consensuel pour être vraiment pertinent.
J'ai maté Mad Max hier. Très déçu
Je le classe même après le Dôme du tonnerre ! Le film n'a carrément pas de fin et Max ne conduit même pas son Interceptor.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
On peut dire ça des "critiques" cinéma de Télé 7 jours (qui au début de notre siècle qualifiait Matrix de "film moyen malgré son succès auprès des adolescents" lors de sa première diffusion télé). Et des critiques de branleur des Inrocks (qui sont tellement dans le faux qu'on va finir par les confondre avec le Vatican), ou pire des critiques sans couille de Télérama (qui a appliqué la méthode du ni ni: sur les blockbusters ils envoient deux critiques, un qui a adoré et l'autre qui n'a pas du tout apprécié, comme ça ils ne sont ni pour ni contre, bien au contraire!).desba a écrit :Ils sont payés pour donner envie au gens d'aller au cinéma, pas pour critiquer objectivement les films.
Du coup il est normal qu'ils aillent toujours dans le bon sens et trouvent toujours quelque chose de positif à dire sur un film.
Pour moi sur allociné ou autre site comme ça il est impossible de trouver une critique constructive, c'est trop consensuel pour être vraiment pertinent.
En revanche, le cinéma de Durendal vous propose sa vision de gars formé au métier de réalisateur sur un film. Il en maîtrise les aspects techniques, artistiques et financiers pour fournir une synthèse souvent un peu bavarde, parfois étrange, mais jamais inintéressante. Vous devriez d'autant plus aimer ses critiques qu'il fait partie des rares personnes qui ont une connaissance aussi pointue du cinéma sans pour autant avoir les a priori contre le cinéma de divertissement que manifestent un certain nombre de bourgeois beaux-parleurs (dont je fais évidemment partie). Ses rétrospectives sont particulièrement intéressantes.
La fin n'est pas développée, pour des raisons de longueur d'une part, et pour ne pas nuire à Mad Max d'autre part. C'est un non-personnage, absent à lui-même, ce qui fait de lui le seul héros possible de l'univers post-apo... Bref, le fait que la fin soit escamotée peut être frustrant, mais je n'ose pas imaginer le tonnerre de protestations que tu aurais fait gronder si la fin montrait Mad Max qui pose ses valises et envisage son avenir... Ca ruinerait la crédibilité de l'univers (qui doit être trop hostile pour l'espoir), et du personnage (qui est amputé de sa personnalité à cause de cet univers).Tony bernouilli a écrit : J'ai maté Mad Max hier. Très déçu
Je le classe même après le Dôme du tonnerre ! Le film n'a carrément pas de fin et Max ne conduit même pas son Interceptor.
Quant à l'interceptor, il le pilote bien, mais peu. Le fait qu'il soit privé de son véhicule apporte un défi au personnage, je ne trouve pas ça mauvais pour le film.
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Re: Cinéma, télé et DVD (JdR)
La dernière critique ciné que j'ai vu c'était le fossoyeur du cinéma et je l'ai trouvé trop gentil, il parle beaucoup des images/effets mais très peu des scénario qui sont souvent le coeur du problème.
Pour Mad Max 4, oui, on peux critiquer le fait qu'il ne conduise pas plus l'interceptor mais il le conduit déjà dans la seconde partie de Mad Max 1 et la première de Mad Max 2, avant que celui-ci ne soit détruit. Sachant qu'il n'aurait donc même pas du l'avoir pour ce film ça ne m'a pas trop choqué, par contre c'est la facilité avec laquelle il se fait capturer qui m'a choqué.
La fin en soit n'est pas choquante non plus, il n'est pas à sa place dans la société, c'est un exclu, il s'en exclu d'ailleurs lui même car il en est dégouté donc le voir repartir directement colle au perso.
Le vrai problème de ce film c'est que les perso ne sont pas posés, Max le premier (du coup on s'attache pas trop a eux et on s'en fout un peu de ce qu'il leur arrive, il faut le dire) et que le scénar est digne de mes fameux "scénar post-it".
Après ils auraient pu prendre 30 secondes en voix off (comme à la fin du deux) pour dire que Max est repartie, solitaire, vers d'autres aventures même si cela se comprend très bien comme ça.
EDIT: A si le cinéma de Durendal j'ai déjà vu, sa critique de jurassic world par exemple est incroyablement nulle... Le mec bafouille, a des trous dans ses phrases, fait des privates jokes qui n'ont rien a voir et sur le fond j'ai trouvé qu'il ne disait pas grand chose (il mets 3 minutes pour dire un truc qu'on dit en 20 secondes normalement) et ils trouve des bonnes idées dans tout sans forcement détailler en quoi c'est bon. J'avais vu aussi une autre de ses critiques et pas convaincu du tout.
Et quand le mec dit que Chris Pratt qui dompte des velociraptors c'est ridicule sur le principe mais qu'il a trouvé que le rendu était super bien fait et qu'au final on y croyait... Ba non, c'est ridicule du début à la fin et c'est pas crédible un seul moment, surtout si t'as de la viande en jeu.
Et sa note finale pour dire que jurassic world est un "putain de film" qu'il retournera surement voir....
Pour Mad Max 4, oui, on peux critiquer le fait qu'il ne conduise pas plus l'interceptor mais il le conduit déjà dans la seconde partie de Mad Max 1 et la première de Mad Max 2, avant que celui-ci ne soit détruit. Sachant qu'il n'aurait donc même pas du l'avoir pour ce film ça ne m'a pas trop choqué, par contre c'est la facilité avec laquelle il se fait capturer qui m'a choqué.
La fin en soit n'est pas choquante non plus, il n'est pas à sa place dans la société, c'est un exclu, il s'en exclu d'ailleurs lui même car il en est dégouté donc le voir repartir directement colle au perso.
Le vrai problème de ce film c'est que les perso ne sont pas posés, Max le premier (du coup on s'attache pas trop a eux et on s'en fout un peu de ce qu'il leur arrive, il faut le dire) et que le scénar est digne de mes fameux "scénar post-it".
Après ils auraient pu prendre 30 secondes en voix off (comme à la fin du deux) pour dire que Max est repartie, solitaire, vers d'autres aventures même si cela se comprend très bien comme ça.
EDIT: A si le cinéma de Durendal j'ai déjà vu, sa critique de jurassic world par exemple est incroyablement nulle... Le mec bafouille, a des trous dans ses phrases, fait des privates jokes qui n'ont rien a voir et sur le fond j'ai trouvé qu'il ne disait pas grand chose (il mets 3 minutes pour dire un truc qu'on dit en 20 secondes normalement) et ils trouve des bonnes idées dans tout sans forcement détailler en quoi c'est bon. J'avais vu aussi une autre de ses critiques et pas convaincu du tout.
Et quand le mec dit que Chris Pratt qui dompte des velociraptors c'est ridicule sur le principe mais qu'il a trouvé que le rendu était super bien fait et qu'au final on y croyait... Ba non, c'est ridicule du début à la fin et c'est pas crédible un seul moment, surtout si t'as de la viande en jeu.
Et sa note finale pour dire que jurassic world est un "putain de film" qu'il retournera surement voir....
Mais qui, qui, qui sont les Snorkys?...?